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Vu comme ça on dirait un tartare de bœuf et son œuf ou encore de la cervelle (que je regrette de n'avoir pas fait pour Halloween d'ailleurs...). Et bien non, c'est ici un très savoureux et crémeux risotto à la betterave (et son beurre blanc). Une délicieuse recette de Michel Troisgros . LA RECETTE DU RISOTTO A LA BETTERAVE : La liste des courses : 4 betteraves cuites 10cl de vin blanc sec 1 échalote ciselée 60g de beurre frais 1 litre d'eau minérale 1 tablette de bouillon de légumes 1 oignon haché 200g de riz canaroli (rond à risotto) 20g de parmesan sel, poivre Peler la betterave et la passer à la centrifugeuse pour récupérer le jus (personnellement j'ai trouvé que cela faisait vraiment trop peu alors j'ai aussi ajouté quelques bonnes cuillères de pulpe bien fine récupérée dans le bol de la centrifugeuse. Dans une petite casserole, verser la vin et le faire réduire avec l'échalote. Baisser le feu, ajouter 50g de beurre en plusieurs fois en fouettant. Assaisonner. Verser quelques gouttes de vin. Réserver. Dans une autre casserole, porter à ébullition l'eau et le bouillon de légumes. Dans une sauteuse, faire revenir l'oignon dans 10g de beurre. Verser le riz. Mouiller avec deux louches de bouillon et baisser le feu pour laisser gentiment bouillonner. Laisser cuire environ 15 minutes en arrosant de bouillon régulièrement. Lorsque tout est absorbé, ajouter peu à peu le jus de betterave. Incorporer le parmesan et la moitié du beurre blanc. Assaisonner. Servir avec le reste de beurre blanc.
Source: dismamanonmangequoi.blogspot.comC'est dans un petit village situé en région liégeoise, à Soheit-Tinlot (Wallonie, Belgique) que se trouve ce très joli restaurant appelé Le Coq au Champs . Après déjà deux visites mémorables, il y a quelques années, c'est donc avec beaucoup d'enthousisame et d'attentes que nous sommes retournés profiter des nouvelles créations de Christophe Pauly , jeune chef coq talentueux et bien inspiré. Après quelques passages parmi les tous grands de la restauration, dont Troisgros, il a en effet repris, il y a maintenant environ 7 ans, cet adorable restaurant, en compagnie de son épouse et ne cesse, depuis, de grandir en qualité et en prestige. Petite ballade gourmande et créative donc en campagne condruzienne... Le cadre est très lumineux, nappes blanches et serviettes blanches, murs gris clair tacheté de quelques touches de rouge venant des tableaux d'artistes (Mi Van Landuyt) représentant des ... coqs ! A table, des grissinis accompagnés d'une sauce crémeuse et des olives noires nous attendent. La maison propose, en apéritif, une coupe de champagne avec une crème de mûre. Ici, servi sur demande, sans la crème de mûre. Le menu. Le 4 services (voir photo ci-dessus, sans le point rouge) est proposé à 50€ + 25€ vin compris et le 5 services 65€ + 35€ pour les vins. Avec le champagne, viennent d'abord les mises en bouches: Parmentier de joues de porc au curry Madras. Très savoureux! Les joues de porc sont très moelleuses et l'émulsion de pomme de terre délicate. J'adore! Panisse aux olives taggiasche (spécialité ligure à base de pois chiche) Cela ressemble en fait à de la polenta mais en plus crémeux. Excellente association avec les olives, elles aussi particulièrement goûteuses. Scampi en tempura, brunoise de concombre et mayonnaise soja et ail torréfié. Délicieuse petite japanese touch! Les mises en bouches sont très réussies! Nous apprécions tous! Le pain: ressemblant à des mini cakes, très aéré, un peu comme une éponge, et plein de bons goûts! Vient ensuite la première entrée. Huîtres Gillardeau : racines de chez Ben/seigle/jus et épices pékin style. N'étant pas une fan des huitres , j'étais néanmoins curieuse de la découvrir. On goûte une huitre d'excellente qualité, bien charnue avec beaucoup de goût et parfaitement associée aux fines tranches de racines...mais cependant, l'huître n'en devient toujours pas pour autant ma grande amie...un jour peut-être! La seconde entrée est: St- Jacques de Dieppe : chou-fleur/estragon/bouillabaisse/gomasio de noisettes/jambon Bellota. J'ai particulèrement apprécié les petits cubes de gelée d'estragon qui donnaient subtilement leurs saveurs au plat. L'association classique du fumé et des st-jacques était très réussie. Peti bémol malgré tout à ce stade du repas, la cadence des vins et des plats qui s'enchaînent un peu trop rapidement à notre goût. Mais il faut dire qu'on aime prendre notre temps et qu'après l'avoir simplement signalé, la suite nous a été servie à un rythme moins soutenu. Le plat principal: Noisettes de chevreuil du pays : poire conférence/céleri rave/crumble de lard fumé/ jus d’oignons caramélisés au malt. Mon coup de coeur de la soirée. Le goût bien respecté et la cuisson parfaite du chevreuil, contrebalancé par des accompagnements particulièrement délicats et réussis. Le tout, servi avec un vin dont le nom ne risque pas de se perdre dans mon carnet de note. Un délicieux Pic Saint-Loup composé de syrah et grenache, appelé...Le champ du coq! Bref, un grand moment de saveurs! Ensuite, on nous amène la carte des fromages. L'un de nous optera pour la Fourme d’Ambert : cuisinée en beignet/poire rôtie/réduction de Maury N'aimant pas les fromages bleus, j'ai néanmoins voulu goûter cette jolie présentation...et je ne saurais vous en dire plus car je n'aime définitevement vraiment pas le bleu!! Après ce petit interlude fromager vient,le, ou plutôt, les desserts: Gourmandises : idée Kinder (forêt noir 2009/2010)/crème brûlée, pamplemousse, pistaches/bonbon violette Une coque en chocolat Valrhona nous est servie accompagnée d'une sauce au chocolat chaud versée dessus, devant nous. Tel un Kinder surprise, la coque une fois cassée, dévoile un très agréable mélange de chocolat, cerise , et crème, inspiration Forêt Noire. Délicieux! En même temps, nous recevons une crème brûlée avec un confit de pamplemousse et une éponge de pistache ainsi qu' un sorbet à la violette , très frais et très... violette! Mon préféré va au Kinder dont les textures, la présentation et bien entendu les saveurs m'ont beaucoup plu! Petite remarque néanmoins par rapport au dessert, j'aurais préféré ne pas recevoir ces trois desserts en même temps mais plutôt séparément pour en apprécier plus particulièrement leurs originalités et leurs parfums. Ceux-ci n'ayant en effet,selon moi,pas vraiment de lien entre eux. Ceci dit, le tout demeure vraiment très bon et plein de surprises! Viennent, en fin, pour accompagner nos thés, les mignardises ! Fausse raviole de framboise à la vanille et crunchy . Délicieux!! On goûte vraiment bien la framboise et avec la vanille, l'association est parfaite. En soulevant la raviole de framboise, on découvre ensuite un panna cotta au miel, Golden et Calvados . Le préféré de mes camarades gourmands! Avec cela, une petite sucette au chocolat Valrhona fourrée d'une crème... caramel je crois... Mais encore, mini financier et meringue ! Moelleux et crémeux à la fois...Très bon! Et enfin, ces délicates tuiles à la gruée de cacao et au caramel salé ! Miam miam!!! Excellente touche finale! On termine donc comme on a commencé...délicieux et créaif! En résumé, on est sorti du champ de ce grand coq plein de bons souvenirs dans la bouche et les yeux et avec déjà l'envie d'y retourner très vite! (Dommage d'ailleurs que le chef ne soit passé en salle pour qu'on puisse le féliciter!) Bonne continuation! CoCoricoooo! Le Coq aux Champs Rue du Montys 71 4557 Soheit-Tinlot T. 085/51 20 14 http://www.lecoqauxchamps.be/
Source: squisitoo.blogspot.comEn ce jour de rentrée, j'ai essayé tant bien que mal de coller au thème ;-) Aaah, le saumon à l'oseille de la cantine... Ou plutôt devrais-je dire "beurk" le saumon à l'oseille de la cantine (pour moi en tout cas). Il a hanté mes cauchemars gustatifs pendant des années, même après avoir arrêté le fréquenter la cantine. Puis un jour, en piquant dans le plat de mon voisin au restaurant - mauvaise habitude qui me poursuit, mais que contrairement à certains , j'accepte très bien en retour - j'ai finalement découvert ce que pouvait être le saumon à l'oseille. Un plat très simple, aux goûts francs et avec un côté presque acidulé. Dans mon souvenir d'enfant, le plat était surtout amer et je pense que c'est cet aspect qui me déplaisait principalement, au delà de mon refus systématique de manger du poisson. Et en regardant un peu ce qui se tramait dans les livres de cuisines, j'ai découvert que c'est la trop longue cuisson de l'oseille qui renforce ce côté amer à l'extrême. Donc en suivant les grands principes des frères de la Maison Troisgros qui sont à l'origine la recette, j'ai décidé de faire mon premier saumon à l'oseille. Et franchement, c'est bien meilleur qu'à la cantine ;-) Bonne rentrée à tous :-) Saumon à l'oseille (pour 4 personnes) 4 pavés de saumon 200 g d’oseille 1 petite échalote 1/2 verre de vin blanc 3 grosses CS de crème fraîche 30 g de beurre 1 CS d'huile d'olive Une pincée de noix de muscade fraîchement râpée Sel, poivre Laver l'oseille à l'eau claire. L'équeuter et retirer la partie dure au centre de la feuille. Dans une poêle, faire revenir à feu doux l'échalote émincée finement dans le beurre. Lorsqu'elle devient translucide, ajouter le vin blanc et laisser réduire pendant une petite dizaine de minute. Ajouter l'oseille découpée en lanières grossières ainsi que la crème fraîche puis laisser cuire doucement 5 à 7 minutes. Rectifier l’assaisonnement, râper un peu de noix de muscade sur la crème, mélanger et réserver. Retirer les grosses arrêtes du saumon. Saler et poivrer les pavés et les mettre à cuire dans une poêle bien chaude avec un peu d'huile d'olive. Les faire cuire entre 10 et 15 minutes (en fonction de l'épaisseur) en les retournant à mi-cuisson. Dans des assiettes, répartir la sauce à l'oseille puis poser par dessus les pavés de saumon. Servir immédiatement.
Source: petite-cuilliere-et-charentaise.blogspot.comMe baladant à la Fnac ce weekend, j'ai vu que Michalak avait sorti un dernier livre. Je n'ai pas encore craqué à ce jour, vous si ? Comment est-il ? Quoiqu'il en soit j'ai eu envie de ressortir " Les desserts qui me font craquer ", et mon dévolu s'est jeté sur cette brioche dont il explique avoir obtenu la recette par ses cousins germains Michel et Marie-Pierre Troisgros . En grande fan je me devais d'essayer. Niveau préparation pas plus facile que ça si vous avez un robot mixeur muni d'une lame ! Ingrédients : 190g de farine 4g de sel fin 30g de sucre semoule 10g de levure fraiche 13cL de lait 3,5cL d'huile d'olive (il explique que l'on peut aussi utiliser une bonne huile parfumée style noisette, criton, truffes noires...) 1 oeuf 50g de sucre en grains 25g de sésame Préparation : Dans la cuve du mixeur muni d'une lame, mettre la farine, le sel, le sucre, la levure préalablement dissoute dans le lait tiède et l'huile. On mixe le tout 2 min. On étale une feuille plastique sur le plan de travail, on verse la pâte dessus et on laisse lever pendant 1h ! Ensuite rabattre la feuille plastique sur la boule et hop au frigo pour une nouvelle heure. Détailler la pâte en tronçons de 35g et les disposer dans des moules en silicone. Laisser lever encore 1 heure environ jusqu'à ce que la pâte double de volume (j'ai laissé une nuit!) à température ambiante. Battre l'oeuf en omelette et en badigeonner les brioches. Saupoudrer de sucre en grains et de sésame puis enfourner dans un four préchauffer à 180°C pendant 15min. Démouler tant que c'est encore tiède puis ... Bon appétit !
Source: siropgrenadine.blogspot.comC'est un peu ma marotte du moment : cuisiner des produits du Limousin. Cette fois, un peu au hasard d'une rencontre, je me suis attaquée au Cul noir limousin . Non, je n'ai pas perdu toute retenue dans mon langage... C'est tout simplement le nom d'une race de porc du sud de la Haute-Vienne qui après avoir été proche de la disparition est en train de revenir doucement sur le devant de la scène (même les grands chefs comme Pierre Troisgros vantent ses qualités gustatives). Petit retour sur ce cochon dans lequel tout est vraiment bon. Il a été délaissé pendant des années pour ce qui fait toute sa renommée à l'heure actuelle : c'est un petit porc qui fait beaucoup de gras (donc pas très rentable pour les industriels). Élevé en plein air, il se nourrit notamment de châtaignes (autre symbole de la région) ce qui participe grandement à son goût. La production étant limitée, il est souvent difficile de trouver la viande à l'état brut (vous trouverez beaucoup plus facilement du jambon ou des pâtés) et son prix - même directement chez le producteur - reste très élevé. Mais je vous assure que le jeu en vaut la chandelle et que ça n'a rien à voir avec la viande de porc que l'on trouve habituellement. Ici, la viande est accompagnée d'une purée assez simple mais savoureuse : des choux-fleurs et de la tome (presque un aligot ;-) Bon dimanche à tous :-) Porc Cul Noir et Purée de Choux-Fleur à la Tome (pour 2 personnes) 2 belles côtes de porc Cul-noir limousin 1 CS d'huile d'olive Poivre Sel Pour la purée de choux-fleur : 400 g de choux fleur (environ la moitié d'un gros) 1 grosse pomme de terre (environ 120 g) 100 g de tome fraîche 20 g de beurre Préparer la purée. Laver la pomme de terre, l'éplucher et la découper en gros cubes. Laver le choux-fleur et le détailler en petits bouquets. Faire bouillir une grande quantité d'eau. Lorsqu'elle arrive à ébullition, saler et y plonger la pomme de terre et le choux-fleur. Laisser cuire une bonne quinzaine de minutes, jusqu'à ce que les légumes deviennent tendres. Égoutter les légumes, les réduire en purée et ajouter la tome coupée en dés en mélangeant bien afin qu'elle fonde. Remettre la casserole contenant la purée sur le feu et ajouter le beurre tout en mélangeant jusqu'à ce que la purée devienne homogène. Tenir au chaud. Préparer les côtes de porc. Les sortir du réfrigérateur quelques minutes avant de les cuire. Saler et poivrer la viande de chaque côté. Faire chauffer à feu vif une poêle anti-adhésive. Mettre un peu d'huile d'olive dans le fond et saisir les côtes de porc 5 minutes d'un côté puis 5 minutes de l'autre. Baisser le feu et couvrir la poêle d'un couvercle afin que la viande reste la plus tendre possible. Servir les côtes de porc avec la purée et le jus de viande.
Source: petite-cuilliere-et-charentaise.blogspot.comEn ce jour de rentrée, j'ai essayé tant bien que mal de coller au thème ;-) Aaah, le saumon à l'oseille de la cantine... Ou plutôt devrais-je dire "beurk" le saumon à l'oseille de la cantine (pour moi en tout cas). Il a hanté mes cauchemars gustatifs pendant des années, même après avoir arrêté le fréquenter la cantine. Puis un jour, en piquant dans le plat de mon voisin au restaurant - mauvaise habitude qui me poursuit, mais que contrairement à certains , j'accepte très bien en retour - j'ai finalement découvert ce que pouvait être le saumon à l'oseille. Un plat très simple, aux goûts francs et avec un côté presque acidulé. Dans mon souvenir d'enfant, le plat était surtout amer et je pense que c'est cet aspect qui me déplaisait principalement, au delà de mon refus systématique de manger du poisson. Et en regardant un peu ce qui se tramait dans les livres de cuisines, j'ai découvert que c'est la trop longue cuisson de l'oseille qui renforce ce côté amer à l'extrême. Donc en suivant les grands principes des frères de la Maison Troisgros qui sont à l'origine la recette, j'ai décidé de faire mon premier saumon à l'oseille. Et franchement, c'est bien meilleur qu'à la cantine ;-) Bonne rentrée à tous :-) Saumon à l'oseille (pour 4 personnes) 4 pavés de saumon 200 g d’oseille 1 petite échalote 1/2 verre de vin blanc 3 grosses CS de crème fraîche 30 g de beurre 1 CS d'huile d'olive Une pincée de noix de muscade fraîchement râpée Sel, poivre Laver l'oseille à l'eau claire. L'équeuter et retirer la partie dure au centre de la feuille. Dans une poêle, faire revenir à feu doux l'échalote émincée finement dans le beurre. Lorsqu'elle devient translucide, ajouter le vin blanc et laisser réduire pendant une petite dizaine de minute. Ajouter l'oseille découpée en lanières grossières ainsi que la crème fraîche puis laisser cuire doucement 5 à 7 minutes. Rectifier l’assaisonnement, râper un peu de noix de muscade sur la crème, mélanger et réserver. Retirer les grosses arrêtes du saumon. Saler et poivrer les pavés et les mettre à cuire dans une poêle bien chaude avec un peu d'huile d'olive. Les faire cuire entre 10 et 15 minutes (en fonction de l'épaisseur) en les retournant à mi-cuisson. Dans des assiettes, répartir la sauce à l'oseille puis poser par dessus les pavés de saumon. Servir immédiatement.
Source: petite-cuilliere-et-charentaise.blogspot.comC'est la saison , dans mon jardin l'oseille abonde à nouveau (non ça ne veut pas dire que mon jardinier est riche ^^ ) , l'oseille c'est cette petite plante à feuilles verte acidulées , qui ressemble un peu aux épinards , son gout acide fait merveille avec le saumon , dans une sauce crémeuse et riche à base de crème liquide et de mascarpone (ma touche perso pour ce grand classique ) . En effet c'est un des grands classiques de la cuisine Française époque nouvelle cuisine (années 60-70 ) , mise à l'honneur chez les frères Troisgros ( qui n'étaient que deux et pas si gros que ça ^^ ). En principe le saumon est en escalope (taillé en biais dans le filet donc) , mais comme j'avais seulement des pavés sans peau j'ai transigé avec la recette originale , plus le saumon est coupé fin plus vite il cuit , et c'est vraiment ce qui fait l’intérêt de cette recette , le temps de faire cuire le riz ce sera prêt. Pour 4 personnes vous aurez besoin de : - 4 escalopes ou a défaut 4 pavés pas trop épais - 30 grammes de beurre - 2 petites échalotes hachées finement - 10 cl de vin blanc sec (Sancerre) - 5 cl de martini blanc - 250 grammes d'oseille - 10 cl de crème liquide - 100 grammes de mascarpone - 180 grammes de riz thaï jasmin - 1 bouillon cube de légumes - sel et poivre du moulin Lavez et équeutez l'oseille. En équeutant ôtez la nervure centrale , puis déchirez les feuilles à la main en deux ou trois suivant la taille des feuilles . Faites fondre le beurre avec l'échalote hachée salez et poivrez , ajoutez 10 cl de sancerre+ 5 cl de martin blanc (ou 15 cl de bouillon de légumes) dans une sauteuse. Laissez réduire presque à sec ajoutez y la crème et le mascarpone ajoutez l'oseille et laissez la se flétrir , cela va très vite . Ne remuez pas trop sinon l'oseille va se réduire en purée. Si vous ne trouvez pas d'oseille vous pouvez envisager de réaliser ce plat avec de jeunes pousse d'épinards et un trait de vinaigre ou de citron . Faites bouillir l'eau avec le bouillon cube de légumes et du sel , faites cuire le riz en cuisson créole pendant 12 minutes . Laissez mijoter la sauce à feu doux le temps de cuire le saumon. Poêlez le saumon que vous aurez salé et poivré sur la face qui ne se voit pas au service , à sec dans une poêle anti adhésive très chaude , une à deux minute par face (suivant l'épaisseur) , le cœur doit être encore rosé. Égouttez le riz , déposez le dans l'assiette , puis déposez l'escalope de saumon , couvrez de sauce à l'oseille. (en principe on pose la sauce à l'oseille et on dépose le saumon dessus , mais la sauce chaude continue de cuire le saumon et j'aime bien quand il est couvert de sauce ^^ ) Servez immédiatement. Régalez vous.
Source: keskonmangemaman.blogspot.frTout d'abord, bonjour à tous et à toutes. Belle surprise pour moi ce weekend, j'ai été taguée par Juléa de " Ma petite cuisine au quotidien " et Marlène de " Ma palette gourmande ". Un grand merci à toutes les deux. Le but de ces tags étant de faire connaître de nouveaux blogs et surtout ceux et celles qui sont derrière. Voici le principe. On inscrit 11 choses sur soi. On répond aux 11 questions de la personne qui nous a tagué. On pose 11 nouvelles questions. On invite 11 autres blogs à participer. Bonne lecture 11 choses sur moi : Je déteste l'hiver (sauf au moment de Noël), je préfère le printemps et l'été, J'adore cuisiner, Je suis têtue, Je suis gourmande, Je suis trop cool, Je ne supporte pas les injustices, Je déteste la violence, Je ne supporte pas que l'on fasse du mal aux animaux, J'aime faire plaisir à ceux que j'aime, J'adore les weekends en amoureux avec mon homme, J'adore les promenades en forêt pour aller cueillir des champignons et des myrtilles. Questions de Juléa "Ma petite cuisine au quotidien" et mes réponses 1 - D'où viens ton surnom, le nom de ton blog ? Schotzy, est le surnom que m’a donné mon chéri peu après notre rencontre, le mot exact est normalement « schatzala » qui veut tout simplement dire « chérie » en alsacien. Je suis née et j’ai vécu en Alsace pendant 28 ans, mes origines par contre sont celles du sud de la France. 2 - Quelles sont tes passions ? La cuisine, les produits cosmétiques faits maison et bien d’autres choses. Les journées ne sont d’ailleurs pas assez longues pour faire tout ce que je voudrais. 3 - Un endroit dans le monde où tu aimerais vivre ? Y a-t-il vraiment un pays où il fait vraiment bon vivre, bien qu’une petite île déserte quelques mois de l’année ne me déplairais pas. 4 - As-tu un héros ? Une héroïne ? Non pas de héros, ni d’héroïne. 5 - Plutôt salade niçoise ou tartiflette ? Les deux, la niçoise sans tomate (je déteste surtout cru), un plat d’été que j’aime, mais que je ne fais pas souvent. La tartiflette par gourmandise, un plat réconfortant en hiver. 6 - Si tu pouvais dîner à la table d'un grand chef, qui serait-il ? Anne-Sophie Pic à Valence, Les frères Pourcel à Montpellier, où encore Michel Troisgros à Roanne, et Michel Bras à Laguiole. Je m’arrête là, parce qu’il y en a d’autres mais je ne peux pas tous les citer. 7 - Quel est ton plus beau souvenir ? Le jour où j’ai rencontré l’homme de ma vie et la naissance de mes enfants. 8 - Quel est le gâteau de tes rêves ? Je crois qu’il n’existe pas, en tout cas pour le moment, mais il devra être léger comme une plume et surtout pas écoeurant. 9 - Le plat que tu adores cuisiner, ou que tu cuisines tout le temps ? Un plat tout simple que j’adore, la pizza au Serrano, mais je ne le cuisine pas tout le temps, j’aime la variété dans la cuisine. 10 - Pourrais-tu envisager de devenir végétarienne ? Peux-tu être un jour, mais j’aime trop de choses pour imaginer le devenir dans les mois à venir. 11 - Un défi, une résolution pour la nouvelle année ? Terminer tout ce que j’ai pu entreprendre depuis quelques mois et m’améliorer dans la pâtisserie, qui est vraiment mon point faible. Les 11 questions de Marlène "Ma palette Gourmande" et mes réponses 1 - Quelle est ta recette fétiche ? Une pizza toute simple faite maison, ma pizza au jambon de Serrano, un peu de roquette, arrosée d’un petit filet d’huile d’olives aromatisée à la truffe. 2 - Quelle recette, ingrédient, odeur te rappelle le plus ton enfance ? Une omelette sucrée, flambée au rhum, c’est fabuleux et c’est une recette toute simple que faisait ma maman. 3 - Quel est ton moment préféré de la journée ? Le matin. 4 - Comment s'est développée ta passion pour la cuisine et ton envie de faire un blog ? Maman était très gourmande, que ce soit en sucré ou salé, tout était fait maison, elle cuisinait divinement bien. Ensuite j’ai rencontré l’homme de ma vie, très gourmand également. Petite anedocte, notre 1 er cassoulet à mijoté plus de 8 h…. Je devais initialement faire un blog pour des producteurs de fruits & légumes, de volailles….. et finalement j’ai créé le mien. 5 - Te souviens-tu de ta 1ere expérience culinaire ? Oui, j’avais 16 ans, ma 1 ère tarte aux pommes réalisée un samedi matin, mais pas assez cuite, appelant mon papa au secours parce que j’étais toute paniquée de ne pas pouvoir la remettre dans son moule pour terminer la cuisson. 6 - Une autre passion dans la vie que la cuisine ? Les cosmétiques faits maison. 7 - Les trois objets que tu emmenerais sur une île déserte. Alors là, il faut être très réaliste, à ce jour ou plutôt à notre époque, mon portable, mon PC et un coussin tout moelleux. Trois cela fait un peu juste, je ne suis pas Robinson Crusoé. 8 - Ton pire ratage culinaire ? La brioche. 9 - Ton meilleur souvenir gourmand ? J’en ai plusieurs, je vous citerais donc les plus récents. Le premier, la pana cotta aux graines de sésame noir de « Tomo » à Lyon, un dessert tout simple, mais qui fut une belle découverte pour mes papilles, délicieusement bon. Le second, un repas de St Valentin « Au 14 février » à Lyon. 10 - La destination de tes rêves Il y en a 2 : les Seychelles, parce que notre voyage de noces a été fabuleux et le Japon. 11 - La recette que tu n'as pas encore réalisée mais qui te fait très envie ? En ce moment c’est les croissants. Mes 11 questions : Aimes-tu les émissions culinaires ? Si oui, lesquelles ? Plutôt salé ou sucré ? Aimes-tu le mélange sucré/salé ? Au restaurant, prends-tu toujours un dessert ? La ville ou région où tu aimerais vivre ? L’aliment que tu détestes le plus ? Tes épices préférées ? Tes lectures ? Cuisine du monde, laquelle préfères-tu ? Que penses-tu de la cuisine fast-food ? Les vacances idéales pour toi, c’est quoi ? Et voici les 11 blogs qui vont devoir répondre à mes questions : Aux délices de Géraldine Les gourmandises de Ya Ghislaine cuisine Mes petites créations culinaires La cuisine de Niya Parfums sucrés & salés Kriket's fooding Une cuillère en bois Les recettes de Mélanie La dînette de Nelly Ppomme cannelle
Source: shotzycooking.blogspot.comDes mélanges de saveurs détonnant pour ce velouté que j'ai voulu tester ce soir ! Dans la recette de Mr TROISGROS il s'agit d'un velouté à la crème fleurette, d'une écume de crème sur le dessus, des amandes effilées et de la fourme d'ambert émiettée. J'ai cuit mon velouté au bouillon de légumes, pour l'écumer ensuite avec de crème citronnée. Pour 2 tasses de velouté : - 250 g de topinambours - 1 l de bouillon de légumes - un filet de jus de citron, - 1 c à s de crème légère - une pincée de poudre d'amande ou amandes effilées - 30 g de forme d'Ambert émiettée Préparation : * éplucher et couper les légumes en morceaux * les mettre à cuire 40 mn dans le bouillon, saler et poivrer * mixer le velouté * fouetter la crème avec le jus de citron pour former une écume * dresser le velouté, l'écumer, les amandes et la fourme. C'est doux avec de la puissance, très bon !
Source: ligneetplaisir.blogspot.comIl arrive que l'année de bep se termine. Il arrive que l'examen soit passé ( pratique : tarte aux pommes : OK, brioche nanterre : OK, entremets bavaroise : OK ; théorie : décrire avec foisonnement de détails le processus ô combien complexe du lavage de mains en bonne et due forme : OK) Il arrive que les vacances arrivent. Une semaine, jours comptés pour profiter, déguster, se reposer, se laisser aller. Pour commencer, on pouvait difficilement mieux faire : trois jours à la Colline du Colombier , blottis dans une des trois cadoles de Michel et Marie-Pierre Troisgros, sur les hauteurs d'Iguerande, à quinzaine de kilomètres de Roanne. Une cadole, comme une niche sur la nature, dans la nature du pays Charollais, une petite maison sur pilotis, de bois, de laine et de toile. Une cabane (très) améliorée, en somme. Après des heures de route, de sommeil et d'engourdissement, nous arrivons au panneau : Colline du Colombier. Elles sont là devant nous, plus ahurissantes encore que nous en avions rêvé, perchées à flan de colline, imposantes d'élégance et d'épure. J'entre, excitée comme une puce, mais soudain la nature du lieu devient envahissante ; la chambre est une son alcôve tissée de cordage, délicatement éclairée par deux hublots, d'où l'on aperçoit les deux autres cadoles sans jamais être en vis-à-vis. La sensation d'être protégé, d'être bien, de retrouver un cocon fœtal, un sein. Le sentiment est si fort que l'émotion me submerge littéralement. Hors du commun, hors du monde et hors du temps, c'est un écrin originel. Notre premier réflexe et notre première envie est de retirer nos chaussures, d'entrer en contact avec le lieu, de ressentir le bois. Le premier soir, nous vivons un merveilleux orage, abrités sur la terrasse. Nous resterons là trois jours, rythmé par des nuits de sommeil profond, des champs d'oiseau, des balades sur les chemin, des siestes réparatrices , des panier garnis du petit-déjeuner : cakes moelleux, confitures maison, pain craquant, fruits frais et colorés, jus de fruit exceptionnels. Michel et Marie-Pierre Troigros font plus qu'offrir un gîte moderne et confortable, ils créent un lieu unique, bien loin d'une certaine nostalgie campagnarde, un refuge en harmonie avec l'environnement et fidèle à leur univers de simplicité, alliant art, architecture, design et respect des lieux, restés dans leur jus. Au Grand Couvert, l'immense pièce qui abritait le bétail a été a peine retouchée pour se faire auberge. La pierre et le bois se mêlent au béton, d'immense lustres en verre structurent la hauteur. On s'attable devant une cuisine d'esprit campagne, des omelettes, des salades fraîches et vives, des viandes exquises ; on se délecte de meringues on ne peut plus sexy avec leur forme de sein et leur petite noisette, fragiles et délicates, à la coque à peine séchée et au cœur onctueux. Tout comme les cakes du petit-déjeuner, les nourritures sont dépouillées et essentielles, simplement faites avec passion et amour ; et parsemées des herbes qui poussent dans le jardin : menthe poivrée, thym citron, absynthe, sauge ... Sur le barbecue aux sarments de vigne, notre côte de bœuf (1 kilo ...) est éventée avec soin et attention par Cédric, le jeune chef venu du Central, l'annexe bistrot de Roanne. Les serveuses et cuisiniers ont d'ailleurs tous le sourire aux lèvres, comme portés par l'atmosphère paisible des lieux. On serait restés encore un peu dans ce petit paradis, à rêvasser, lire, dormir, manger, vivre ... Alors on reviendra se ressourcer, on reviendra s'échapper dans ce lieu fait exclusivement pour les amoureux. On reviendra, on viendra même de plus loin : de Londres, où je pars m'installer prochainement. Mais c'est une autre histoire. Quelques autres photos, nourriture des yeux ... La Colline du Colombier 71340 Iguerande 03 85 84 07 24 www.troisgros.fr
Source: tronchedecake.blogspot.comEcrit et réalisé par Very Easy Kitchen Je voulais faire un dessert un peut « hot » pour clôturer l’hiver et commencer à célébrer le printemps. Les premières fraises sont sur les étals et j’avoue déjà avoir craqué. Ce dessert est un assemblage (pas de cuisson ou préparation longue) mais il vous faudra impérativement des meringues suisses et de la crème double de Gruyères (canton de Fribourg). Vous en trouverez chez les très bons crémiers et quelques épiceries fines. Sur Annecy on en trouve chez Pierre Gay MOF fromager et aussi chez O’Terra. Les meringues suisses de Gruyères sont très légères et aérées. Elles sont divines avec de la crème double de la même région qui doit contenir au minimum 50% de matières grasses. Malgré la simplicité de ce dessert, ce sont ces deux ingrédients qui en font autant la délicatesse que la gourmandise. La recette est de César Troisgros, digne héritier de la dynastie. Vous pouvez bien sûr la déguster avec d’autres fruits et sans alcool (avec des framboises ce dessert est une merveille). Impossible de trouver des oranges sanguines sur le marché, j’ai donc pris une orange navel et j’ai rajouté pour un esprit encore plus brésilien, une belle mangue. Je vous donne la recette telle qu’elle a été imaginée par César. Meringue passionnée de César Troisgros Pour 4 personnes 4 meringues suisses de Gruyères 1 pot de crème double de Gruyères 1 orange sanguine 2 fruits de la passion 1 pouce de gingembre 1 citron vert De la cachaça Pelez l’orange à vif et coupez-la en tranches fines. Taillez le gingembre en brunoise.Cassez grossièrement les meringues dans deux coupelles avec le dos d’une cuillère. Déposez sur chacune 1 cuillère de crème fraîche, parsemez de gingembre et recouvrez avec les tranches d’orange. Coupez les fruits de la passion en deux. Déposez la pulpe sur les tranches d’orange. Terminez avec un trait de cachaça et parsemez de zeste de citron
Source: veryeasykitchen.blogspot.comVoici une recette d'un chef triplement étoilé Michelin que même nous sommes capables de préparer. Cette omelette pourrait figurer sur un menu de Pâques. En plus elle est très économique et antigaspi car on peut utiliser 2 blancs d'œuf qu'on a conservés d'une autre recette au congélateur. Si vous voulez la présenter comme le Chef César Troisgros commencez par mariner les légumes. Ingrédients pour 2 personnes: 2 jaunes d’œufs 4 blancs d’œufs 20 g de farine 150 g de lait 20 g de beurre 150 g fourme d'Ambert Pour la garniture : 2 oignons de printemps 3 radis quelques fleurs comestibles (en option) Préparation : Préchauffer le four à 180° Dans une casserole, mettre du lait et du beurre, puis porter le tout à ébullition Séparer les blancs et les jaunes d’œufs Ajouter un peu de farine aux jaunes d’œufs puis ajouter le mélange de lait et de beurre et fouetter le tout Mettre cette préparation sur le feu, continuer à battre le mélange jusqu’à épaississement de celui-ci Monter les blancs en neige Incorporer délicatement les blancs en neige aux œufs et mélanger doucement Démarrer la cuisson de la préparation dans une poêle beurrée jusqu'à ce que le fond soit doré Enfourner ensuite à 180° pendant environ 3 minutes pour sécher les dessus de l'omelette Laisser reposer l’omelette dans la poêle pendant 4 minutes Mettre le Fourme d'Ambert sur une moitié de l'omelette, puis la plier Pour la garniture : Couper radis en 4, saler, laisser 10 minutes puis rincer Nettoyer les oignons de printemps Mariner les légumes au moins 1 heure dans vinaigre blanc, eau minérale, miel et un peu de sucre Dresser l'omelette avec les légumes marinés J'ai ajouté quelques fleurs comestibles pour la couleur. Pour voir la vidéo de la recette c'est ici
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