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Vu comme ça on dirait un tartare de bœuf et son œuf ou encore de la cervelle (que je regrette de n'avoir pas fait pour Halloween d'ailleurs...). Et bien non, c'est ici un très savoureux et crémeux risotto à la betterave (et son beurre blanc). Une délicieuse recette de Michel Troisgros . LA RECETTE DU RISOTTO A LA BETTERAVE : La liste des courses : 4 betteraves cuites 10cl de vin blanc sec 1 échalote ciselée 60g de beurre frais 1 litre d'eau minérale 1 tablette de bouillon de légumes 1 oignon haché 200g de riz canaroli (rond à risotto) 20g de parmesan sel, poivre Peler la betterave et la passer à la centrifugeuse pour récupérer le jus (personnellement j'ai trouvé que cela faisait vraiment trop peu alors j'ai aussi ajouté quelques bonnes cuillères de pulpe bien fine récupérée dans le bol de la centrifugeuse. Dans une petite casserole, verser la vin et le faire réduire avec l'échalote. Baisser le feu, ajouter 50g de beurre en plusieurs fois en fouettant. Assaisonner. Verser quelques gouttes de vin. Réserver. Dans une autre casserole, porter à ébullition l'eau et le bouillon de légumes. Dans une sauteuse, faire revenir l'oignon dans 10g de beurre. Verser le riz. Mouiller avec deux louches de bouillon et baisser le feu pour laisser gentiment bouillonner. Laisser cuire environ 15 minutes en arrosant de bouillon régulièrement. Lorsque tout est absorbé, ajouter peu à peu le jus de betterave. Incorporer le parmesan et la moitié du beurre blanc. Assaisonner. Servir avec le reste de beurre blanc.

Source: dismamanonmangequoi.blogspot.com

Relais & Châteaux lance le site internet www.grandschefs.com à l’occasion de la réunion annuelle de Grands Chefs à Beaune A l’occasion de la 5ème édition de la réunion de ses Grands Chefs, Relais & Châteaux lance un nouveau site web www.grandschefs.com, disponible en 4 langues ; français, anglais, allemand, espagnol, et bientôt en italien. Ce site rassemble l’élite de la cuisine mondiale. Chaque chef dispose d’une page dédiée où il présente aux internautes sa personnalité, ses envies et son savoir-faire unique. Les visiteurs pourront y découvrir les recettes emblématiques qui font la renommée de ces Grands Chefs, mais également leurs vidéos, leurs livres & DVD, les liens vers leurs boutiques en ligne et la possibilité de réserver une table dans leurs restaurants. Pour Jaume Tàpies, Président International de Relais & Châteaux, « grandschefs.com est non seulement un outil de promotion de l’excellence de Relais & Châteaux mais également un outil de promotion de la gastronomie mondiale » Le site des Grands Chefs Relais & Châteaux a été développé en partenariat avec AllClad et compte avec la collaboration de Saveurs du Monde, le site de référence pour tous les gourmets. A propos des Grands Chefs Relais & Châteaux Ils sont l’avant-garde de la plus belle association du monde. 160 chefs sur 5 continents, trustant les récompenses, jouant les stars gourmandes de leurs pays, mais toujours les premiers chez eux dans leur cuisine. Ils aiment la tradition, la modernité et revendiquent les meilleurs produits. Sont présents à New York, Genève, Sydney, Tokyo, Londres ou Paris, mais aussi à la campagne, là où une auberge couverte de lierre, un palace dans son parc, une villégiature au bord de l’océan ou d’un fleuve appellent le calme et le repos. Ils travaillent en famille depuis plusieurs générations, ont créé des dynasties célèbres, revendiquant un « esprit maison » (Michel Troisgros à Roanne, Michel Roux Jr à Londres et Michel et Alain Roux à Bray on Thames, Jean-Michel Lorain à Joigny, Georges Blanc à Vonnas, Nadia et Giovanni Santini en Italie, Jacques Lameloise à Chagny, Hélène Darroze à Paris après Villeneuve de Marsan, Juan Mari et Elena Arzak à Saint Sébastien, Jean-André Charial aux Baux de Provence, Michel et Sébastien Bras à Laguiole et Régis et Jacques Marcon à St Bonnet le Froid) ou ont fondé leur propre légende (Daniel, le Bernardin ou Jean-Georges à New-York, Jean-Pierre Vigato à Paris, Michel Guérard à Eugénie, Heinz Winkler à Aschau, Annie Féolde à Florence, Tetsuya Wakuda en Australie et Kiyomi Mikuni au Japon). Ils sont des chefs de légende. Leur seul nom fait rêver. Qui irait à Crissier sans Philippe Rochat, à Vienne sans Patrick Henriroux, à Vézelay sans Marc Meneau, à Mayerling sans Heinz Hanner, à Yountville sans Thomas Keller ? Ils sont les étoiles scintillantes de leur ville : Marseille, on le sait, c’est Gérald Passédat, Strasbourg, Emile Jung et La Rochelle Christopher Coutanceau, comme Vancouver c’est Lumière et Montréal Toqué ! Des créateurs échevelés, comme Martin Berasategui ou Jean-Georges Klein, des passionnés, comme Michel Rostang ou Heinz Reitbauer, des généreux, comme Frédéric Anton ou Patrick Bertron. Ils sont tous des exemples pour les générations de chefs futurs. A propos de Relais & Châteaux : Relais & Châteaux est une collection exclusive de 480 des meilleurs hôtels de charme et restaurants gastronomiques présents dans 56 pays. Créée en France en 1954, l'association a pour vocation le rayonnement d'un art de vivre unique à travers le monde en sélectionnant des établissements d'excellence au caractère unique. Au-delà, Relais & Châteaux est une famille d'hôteliers et de grands chefs venant de tous horizons réunis par la passion et l'engagement personnel de faire vivre à leurs hôtes un moment d'harmonie exceptionnel, une célébration des sens inoubliables. Des vignes de la Napa Valley aux plages de Bali, des oliviers de Provence aux réserves d'Afrique du Sud, Relais & Châteaux rassemble les étapes de la plus belle route à la découverte de chaque terroir et de chaque pays. La signature de Relais & Châteaux est le reflet de cette ambition : "PARTOUT DANS LE MONDE, UNIQUE AU MONDE." Informations et réservations : tel : 0 825 32 32 32 web : www.relaischateaux.com Maison des Relais & Châteaux : 33 boulevard Malesherbes, 75008 Paris

Source: thymcitron2.blogspot.com

En ce jour de rentrée, j'ai essayé tant bien que mal de coller au thème ;-) Aaah, le saumon à l'oseille de la cantine... Ou plutôt devrais-je dire "beurk" le saumon à l'oseille de la cantine (pour moi en tout cas). Il a hanté mes cauchemars gustatifs pendant des années, même après avoir arrêté le fréquenter la cantine. Puis un jour, en piquant dans le plat de mon voisin au restaurant - mauvaise habitude qui me poursuit, mais que contrairement à certains , j'accepte très bien en retour - j'ai finalement découvert ce que pouvait être le saumon à l'oseille. Un plat très simple, aux goûts francs et avec un côté presque acidulé. Dans mon souvenir d'enfant, le plat était surtout amer et je pense que c'est cet aspect qui me déplaisait principalement, au delà de mon refus systématique de manger du poisson. Et en regardant un peu ce qui se tramait dans les livres de cuisines, j'ai découvert que c'est la trop longue cuisson de l'oseille qui renforce ce côté amer à l'extrême. Donc en suivant les grands principes des frères de la Maison Troisgros qui sont à l'origine la recette, j'ai décidé de faire mon premier saumon à l'oseille. Et franchement, c'est bien meilleur qu'à la cantine ;-) Bonne rentrée à tous :-) Saumon à l'oseille (pour 4 personnes) 4 pavés de saumon 200 g d’oseille 1 petite échalote 1/2 verre de vin blanc 3 grosses CS de crème fraîche 30 g de beurre 1 CS d'huile d'olive Une pincée de noix de muscade fraîchement râpée Sel, poivre Laver l'oseille à l'eau claire. L'équeuter et retirer la partie dure au centre de la feuille. Dans une poêle, faire revenir à feu doux l'échalote émincée finement dans le beurre. Lorsqu'elle devient translucide, ajouter le vin blanc et laisser réduire pendant une petite dizaine de minute. Ajouter l'oseille découpée en lanières grossières ainsi que la crème fraîche puis laisser cuire doucement 5 à 7 minutes. Rectifier l’assaisonnement, râper un peu de noix de muscade sur la crème, mélanger et réserver. Retirer les grosses arrêtes du saumon. Saler et poivrer les pavés et les mettre à cuire dans une poêle bien chaude avec un peu d'huile d'olive. Les faire cuire entre 10 et 15 minutes (en fonction de l'épaisseur) en les retournant à mi-cuisson. Dans des assiettes, répartir la sauce à l'oseille puis poser par dessus les pavés de saumon. Servir immédiatement.

Source: petite-cuilliere-et-charentaise.blogspot.com

C'est un peu ma marotte du moment : cuisiner des produits du Limousin. Cette fois, un peu au hasard d'une rencontre, je me suis attaquée au Cul noir limousin . Non, je n'ai pas perdu toute retenue dans mon langage... C'est tout simplement le nom d'une race de porc du sud de la Haute-Vienne qui après avoir été proche de la disparition est en train de revenir doucement sur le devant de la scène (même les grands chefs comme Pierre Troisgros vantent ses qualités gustatives). Petit retour sur ce cochon dans lequel tout est vraiment bon. Il a été délaissé pendant des années pour ce qui fait toute sa renommée à l'heure actuelle : c'est un petit porc qui fait beaucoup de gras (donc pas très rentable pour les industriels). Élevé en plein air, il se nourrit notamment de châtaignes (autre symbole de la région) ce qui participe grandement à son goût. La production étant limitée, il est souvent difficile de trouver la viande à l'état brut (vous trouverez beaucoup plus facilement du jambon ou des pâtés) et son prix - même directement chez le producteur - reste très élevé. Mais je vous assure que le jeu en vaut la chandelle et que ça n'a rien à voir avec la viande de porc que l'on trouve habituellement. Ici, la viande est accompagnée d'une purée assez simple mais savoureuse : des choux-fleurs et de la tome (presque un aligot ;-) Bon dimanche à tous :-) Porc Cul Noir et Purée de Choux-Fleur à la Tome (pour 2 personnes) 2 belles côtes de porc Cul-noir limousin 1 CS d'huile d'olive Poivre Sel Pour la purée de choux-fleur : 400 g de choux fleur (environ la moitié d'un gros) 1 grosse pomme de terre (environ 120 g) 100 g de tome fraîche 20 g de beurre Préparer la purée. Laver la pomme de terre, l'éplucher et la découper en gros cubes. Laver le choux-fleur et le détailler en petits bouquets. Faire bouillir une grande quantité d'eau. Lorsqu'elle arrive à ébullition, saler et y plonger la pomme de terre et le choux-fleur. Laisser cuire une bonne quinzaine de minutes, jusqu'à ce que les légumes deviennent tendres. Égoutter les légumes, les réduire en purée et ajouter la tome coupée en dés en mélangeant bien afin qu'elle fonde. Remettre la casserole contenant la purée sur le feu et ajouter le beurre tout en mélangeant jusqu'à ce que la purée devienne homogène. Tenir au chaud. Préparer les côtes de porc. Les sortir du réfrigérateur quelques minutes avant de les cuire. Saler et poivrer la viande de chaque côté. Faire chauffer à feu vif une poêle anti-adhésive. Mettre un peu d'huile d'olive dans le fond et saisir les côtes de porc 5 minutes d'un côté puis 5 minutes de l'autre. Baisser le feu et couvrir la poêle d'un couvercle afin que la viande reste la plus tendre possible. Servir les côtes de porc avec la purée et le jus de viande.

Source: petite-cuilliere-et-charentaise.blogspot.com

Il y a quelques semaine j'ai été invité avec plein d'autres auteurs culinaire à Roanne au salon Savoirs et Saveurs. Le soir, nous avons été invités à diner chez Troisgros, au Grand Couvert, un restaurant magnifique en pleine campagne. Comme vous vous en doutez déjà, il y avait des pommes dauphine et cela faisait vraiment longtemps que je n'en avais pas mangées... J'ai donc eu envie d'en refaire en arrivant à la maison et voilà !! Je vous propose la recette. Un délice avec une viande juste saisie, des épinards à la crème et un bon verre de vin rouge... Recette des pommes dauphine: Pâte à choux: -75ml d'eau -75ml de lait -150ml d'œufs (il faut un volume pour que la pâte à choux réussisse! cela fait environ 3 œufs) -85g de farine -65g de beurre demi-sel -5g de sel Purée: -200g de chair de pommes de terre cuite -25g de beurre demi-sel Faites cuire vos pommes de terre à la vapeur. Épluchez-les et passez-les au presse-purée ou écrasez-les soigneusement à la fourchette. Vous devez obtenir une purée assez lisse. Pesez-en 200g et mettez les dans une casserole dans les 25g de beurre demi-sel. Faites chauffer sur feu modéré pendant 5 minutes pour l'assécher un peu. Réservez cette purée et préparez la pâte à choux. Mettez le lait, l'eau, le beurre demi-sel et le sel dans une casserole. Portez à ébullition sur feu doux. Ajoutez la farine d'un coup hors du feu. Mélangez bien (même assez vivement!!) puis remettez sur feu doux pendant 1 minute afin d'assécher la pâte. Il faut mélanger constamment. La pâte va se détacher du fond de la casserole. Versez la pâte dans un bol. Ajoutez les 150ml d'œufs battus petit à petit sur la pâte. Mélangez bien avant d'ajouter le reste des œufs. Mélangez de façon énergique pour homogénéiser le tout. Ajoutez la purée et mélangez de nouveau. Faites chauffer une casserole d'huile. Quand l'huile est assez chaude, prélevez une cuillerée à café de pâte et faites-la tomber en vous aidant d'une deuxième cuillère. Faites frire les pommes dauphine jusqu'à ce qu'elles se colorent bien. Mettez-les au fur et à mesure sur du papier absorbant. Dégustez-les encore bien croustillantes avec une viande et des épinards à la crème par exemple... Pour les recettes inédites contenues dans mon premier livre, c'est par ici:

Source: lesrecettesdebernard.blogspot.com

Mobilis in Mobile, tel le Nautilus (mythique véhicule du cap'taine Nemo) continuons, en immersion, l'exploration de notre belle Wallonie, direction Soheit-Tinlot, une maison en pierres au coeur du Condroz, le Coq aux Champs. Invitation au voyage immobile, certes, mais qu'importe, ce qui compte c'est de trouver la touche "pause" qui te permet de suspendre le cours des choses. V iens, je t'emmène . . .  Choux rave / saumon / cristalline. Complètement fan de cette fine et délicate mise en bouche. Le Coq aux Champs, pour nous, n'est pas une découverte. Nous avons eu l'occasion plusieurs fois de savourer la cuisine de Christophe Pauly et de le voir évoluer, depuis notre première visite (en 2009, j'ai compté sur mes doigts) dont j'ai encore en mémoire la langoustine de Guilvenec et un pigeonneau de Racan en deux services . . .  Le souvenir, pour moi c'est un signe qui ne trompe pas, quand tes papilles frétillent, que c'est comme gravé en toi. Il est évident qu'il y a mille tables ou tu te sens bien, ou tu vis un beau moment de convivialité, mais serais-tu capable, même 3 jours plus tard, de te souvenir de ce que tu y as mangé ? Bien sur les attentes, références et valeurs évoluent, mais c'est là que tu reconnais le génie d'un grand chef, il sait écouter et se remettre en question pour se renouveler sans cesse.  Butternut / mousse de speck. J'affectionne tout particulièrement ce type de mise en bouche à base de purée riche et onctueuse, ça te renvoie à l’âge des culottes courtes. Cristalline de cèpe et foie gras Le Chef au premier abord est posé, discret, et pourtant une étoile au Michelin et un 17/20 au Gault & Millau aurait pu lui monter à la tête, mais non. En vrai tu découvres réellement ce mec quand il est dans ses murs, là où est ce qui compte pour lui, sa famille, sa cuisine et sa très jeune équipe qu'il surnomme affectueusement "les p'tis gars". Perfectionniste jusqu'au moindre détail, son crédo tient en une seule ligne, l’excellence des produits. Chaque "ingrédient" est sélectionné, gouté et décortiqué avec minutie avant de pouvoir passer en cuisine.  Noix de St Jacques Rôties / Chou-fleur / Spéculoos / Beurre noisette-xérès (avant la sauce) La cuisine, parlons-en, ni porte ni vitre entre elle et la salle, elle est ouverte "pour de vrai", légèrement en contrebas, un peu comme un petit théâtre en représentation permanente où chaque p'ti gars à sa place, son rôle, c'est plaisant, ça bouge, ça vit, . . . en fonction des convives, de la lumière, du temps, acteurs et/ou spectateurs, libre circulation, échanges et partages, pas de limites.   Cabillaud / Trompette de la mort / Bouillon de coques au vin jaune / Haddock fumé (avant la sauce). Équilibre parfait pour cette association forte, j'ai adoré Ce qui m'a le plus marqué lors de ce repas : la puissance des sauces. C'est surprenant, maîtrisé, couillu, aucune fausses notes, un acte volontaire du chef qui veut que tout se recentre, pas de fioritures, pas de décors inutile, aller à l'essentiel, au goût, à la gourmandise. Les assiettes arrivent à table dressées avec art et minutie, la sauce longuement réduite, bien chaude, est versée devant le convive, les parfums qui s'en dégagent accentues l'excitation des sens, les yeux s'émerveillent, l'odorat s'enthousiasme, les mains pourraient applaudir, mais non, elles tiennent déjà les couverts et plongent rapidement vers ce généreux et évident objet du désir . . . dans tous les yeux on voit se refléter cette note de bien-être total, de réconfort, d'abandon. Le pain fait partie de ce rituel, d'une texture aérée et spongieuse il est préparé pour inviter à consciencieusement saucer les assiettes, on ne s'est pas privé . . . . Bordel k'sè bon !! Chevreuil, choux rouge / sureau et oignons grelots infusés au sapin et baies de genévrier (avant la sauce) - cuisson impeccable et, de nouveau, quelle sauce, une caresse pour les papilles et une incroyable longueur en bouche. Je saluerais aussi la parfaite maitrise de la pomme de terre soufflée (si tu t'es déjà essayé à cette technique tu sais à quel point le résultat peut être aléatoire, respect) Après le chevreuil le chef viens vers nous : "Goutez-moi ça je viens juste de terminer la préparation d'un Lièvre à la Royale". Sortie d'un vieux grimoire, Christophe à choisi de perpétuer la recette apprise lors de sa formation chez Troisgros (***) à Roanne. La méthode dite "du sénateur Couteaux" préconise de mijoter longuement le lièvre avant de l'effilocher et de le servir nappé d'une sauce liée au sang. Un petit bol, une grande cuillère, on plonge, une chair tendre et moelleuse, une sauce corsée toute en puissance, c'est exceptionnel. Le bonheur d’une bonne table, le plaisir simple de prendre le temps, c'est goûtu, intemporel, convivial, magnifique. Côté vins, Catherine Jarbinet propose des accords en parfaite harmonie avec mes goûts. Retiens son nom car, depuis le départ de Dimitri, il aura fallu attendre l'arrivée de cette souriante et pétillante sommelière pour me réconcilier avec le choix des crus !! Le service assuré par Claude est impeccable, attentionné et fluide, pas de manières empesées, ambiance décontractée, j'aime. Chocolat / Crème brûlée / Noisette / Passion Les belles surprises continuent avec les desserts qui, ici, ne sont pas les parents pauvres du menu. Christophe les nomme "Ma cuisine sucrée", il explique que le dessert à l'assiette permet de se lâcher car il est servi directement et ne doit pas supporter de transport. Ça permet d'utiliser des techniques de cuisinier (et non de pâtissier). En résulte un parfait mariage de textures et de températures, de crèmes très peu collées, onctueuses, c'est délicat et gourmand, on en lécherait sans retenue le fond des assiettes. Oseille – Fromage blanc – Pomme granny - Simple, pur et frais, coup de coeur, je m'en pourlèche encore les babines au souvenir. Chariot de mignardises - Bonbon violette - Cake aux pommes à partager, dont mon homme aurait adoré chiper le reste ;-) En résumé un menu surprenant, savoureux, équilibré et cohérent. La maitrise des cuissons, associations et assaisonnements, évidement, mais surtout la subtile magie du temps suspendu . . . Christophe, Catherine(s), Claude, les p'tis gars, ... Merci :-)

Source: pourquoi-pas-isa.blogspot.com

Juillet 2015 ...je n'ai pas eu l'occasion de te le dire, alors j'ai décidé de te l'écrire. Voilà juste que je rentre de Dranouter, et déjà, je sais que je ne l'oublierai pas! Tu ne me connais sans doute pas, et ne dois certainement pas te rappeller de ma venue dans ton repère culinaire de campagne... ...et pourtant, moi, je te connais depuis longtemps... ...bien avant même que je n'assiste à The Flemish Primitive (en 2011) , ce fameux évènement culinaire international lors duquel tu avais partagé la scène de l'Ostendzaal avec ton ami-voisin Alexandre Gauthier de La Grenouillère (Montreuille-sur-mer). Un bel échange sur les similitudes de votre terroir respectif: rude, rocailleux et humide, entre terre et mer. Je me souviens de tes jets de houblon en deux cuissons , poêlés au beurre et marinés à cru, et dont j'avais surtout retenu la crème réduite jusqu'à caramélisation (moitié lait battu et moitié crème) qui accompagnait. Caramélisation?! Ca m'a parlé! Je m'étais d'ailleurs promis de tester un jour tant l'idée m'avait animée... (mais comme beaucoup d'idée, toujours pas encore essayé à ce jour!). Puis il y a eut l' Omnivore Food Festival à Bruxelles, cet évènement qui fait la part belle à la "jeune cuisine" créative. Là je me souviens de la présentation de ton céleri rave cuit (séché?) en croûte de sel au four durant 24h qui avait des arômes concentrés incroyables! Je t'aurais alors déjà volontiers comparé au maître Redzepi. Puis entre les coups, j'ai adoré le livre "In de Wulf" ( que j'avais d'ailleurs mentionné comme une de mes bibles dans l'un de mes articles pour Victoire (Le Soir)). Puis il y a eu tous ces nombreux prix et reconnaissances, dont encore il y a peu, celui de meilleur restaurant d'Europe selon l'association OAD (Opinionated About Dining) qui te plaçait en tête devant Troisgros, le Noma ou encore le Fat Duck! cueillette du matin :) Bref, je commençais à vraiment, vraiment, avoir envie de visiter ce fameux In de Wulf ! ... mais le problème, toujours le même, c'est que, Dranouter, ça n'était jamais sur ma route ! En attendant, je suis allée à Gand, faire une totale Flemish Foodie ,dont notamment De Vitrine, ton repaire de ville . Cuisine du marché à prix d'amis aux notes rock'n roll , comme un avant-gout bistronomique de Dranouter. J'ai adoré (et conforté mon envie de prendre la route d'In De Wulf). Puis il y a eu l'ouverture de De Superette et ses fantastiques pains au feu de bois . Mon ami caviste me racontant d'ailleurs dernièrement s'y rendre de Bruxelles tous les dimanches matins pour y promener sa "belle bécane" (ça c'est l'excuse ;)) et puis surtout pour ramener ensuite le petit déjeuner a tous les amis de la capitale ! (C'est te dire s'ils aiment!) Et puis, et puis,... arrive le rdv annuel belge des foodies du pays: Culinaria . Ce "restaurant éphémère le plus étoilé du monde" qui permet de découvrir plusieurs chefs en un seul menu annonçait parmi les nouveaux venus de l'édition 2015 ... Kobe Desramault ! Fête! Ton fabuleux "Kerremelkstampers" m'a transporté ! C'était trop... et décidé, pour mon prochain anniversaire, quoi qu'il arrive, je m'offrirai In de Wulf ! Et nous y voilà! J'ai "prétexté" la visite de l'expo sur Jasper Morrisson au Grand Hornu pour rejoindre la route d'In de Wulf. Et quelle route! Petits sentiers paisibles au milieux des champs qui nous mènent dans ton antre! En arrivant, j'étais presqu'un peu émue, c'est vrai... et puis surtout impatiente! Je ne sais pas t'expliquer, mais à peine passé l'entrée, je savais que ça allait être magique! Le cadre, l'ambiance, la chaleur, l'accueil, la petite terrasse ensoleillée,... et la musique aussi, y avait du bon son...je me sentais déjà bien. le jardin "aromatique" les ruches ! J'ai aimé la chambre 3, qui m'a rappelé Lewis Caroll et son Alice avec ses plafonds en toiture étroits, ses délicieux cookies "EAT ME", ou encore la poétique carte de promenade (bon, pas de loup chez Alice mais bon...). Puis vient enfin l'heure d' In de Wulf! C'est si joli ta pergola qui couvre la terrasse qu'on y a pris l'apéro. Tout aussi joli et surtout lot of flavor la ribambelle de mises en bouche qui a suivi. Tout est équilibré, bien dosé, chaque bouchée est une surprise. Le décollage est déjà inoubliable. Pickels de pomme de terre?! Raaah c'est fou comme ça peut être bon une pomme-de-terre crue, j'aurais jamais "cru". Mais ta sauce verte qui accompagne c'est une bombe de saveurs ! 'Crudités' Et cette laitue ! Une laitue, bordel! Dingue ce qu'elle nous a fait un effet chic en bouche avec son croquant et son végétal accompagnant le maquereau et ces capucines en pickles! Bulots (en bas) - Maquereau, coeur de laitue (en haut) Dans le genre, les mini cromesquis d'escargots de 'Commines' ne dénotaient pas! Tendres et croquants à souhait. Et à nouveau cette petite sauce qui explosait d'estragon qu'on aurait dit une béarnaise mais tout verte! Escargots de 'Comines' (gauche) - Foie de lotte, seigle (droite) Et ce petit toast croustillant au seigle et foie de lotte ...ce fut un doux moment de bonheur méditatif!...silence. L'oeuf, miso de graines A ce stade de l'aventure, on vole déjà haut! On était chaud patate! Ta sommelière anglaise était adorable, très attentive et à l'écoute. Même si je connaissais la moitié de la carte (on travaille de toute évidence avec des cavistes communs ;-)) elle m'a sorti quelques belles découvertes! ça m'a plu! L'accueil en fanfare du personnel lors du passage en salle par la cuisine m'a rappelé l'Ippudo de NYC ou plus proche de toi, le Noma de Redzepi . On voit que tu bosses bien ton team spirit . (Alléchant au passage tes frigos exhibant vos salaisons, beurre et pain homemade, vos fromages...) son f***ing wood fire oven ! A ce propos, ton pain cuit au feu de bois est carrément une TUERIE ! the best bread ever! Je comprends que mon ami-caviste fasse autant de km le dimanche matin pour aller à De Superette! La salle de ton restaurant est charmante, authentique et chaleureuse! A table, le bloc à couvert, bien moins rigide que l'armée de fourchette et couteaux traditionnelle, est top! A faire breveter ça ?! Pour le vin , on a pris du rouge, ne m'en veut pas, je n'ai pas suivi l'accord mets et vin qui était 100% blanc, j e ne bois pas beaucoup de blanc . Mais le Fleurie de Julien Sunier , le Côte de Provence d'Henri Millan et le Faugère de (...j'ai oublié de noter, c'était de qui déjà?) conseillés par la sommelière étaient parfaits! Fleurie 2013 - Julien Sunier (Beaujolais) Salade 'Monde de Mille Couleur' La Distesa Terre Silvate "2012" Côté vaisselle, à mon avis, ta grand-mère date de la mienne. Elles avaient les mêmes assiettes, les blanches avec les arabesques bleues qui servaient l'extra frais roll up du maraîcher nourri au saindoux , ainsi que celles qui servaient le tourteau en fleur et son flan de chou-fleur que jamais de ma vie je n'ai mangé un flan aussi moelleux! Tourteaux de la mer du Nord, chou-fleur On les a revues plus tard aussi pour l'inoubliable Zurkelstoemp à faire soi-même. You, guys, definitely sexed up the stoemp ! Je te jure, j'ai cru un instant que j'étais chez ma grand-mère! Ces pommes de terres grenailles en croute de sel qui goûte le terroir et ce beurre qui goûte le lait... et ces verdures qu'on se croirait au coeur du potager... Si simple et pourtant...silence! "Zurkelstoemp" Le gaspacho de courgette glacé et algues nous ont transporté en mer au soleil et ton homard , moelleux, juteux et tendre à souhait nous a séduit, on en parle encore... Homard d'Audresselles Mais le plus dingue, c'était encore ces moules du coin du Mont-Saint-Michel , fumées à la paille, cuites serrées comme des sardines dans la vapeur de leurs coquilles, le goût et le moelleux de de ces mollusques, était magique! "Eclade de moules" Côté viande, on s'est pourléché les babines du croustillant de cervelle de porc tout en admirant l'ossature spectaculaire du dit animal! (J'ai eu une pensée tout de même pour les végétariens qui doivent pâlir à la vue de cette scène :-D ) Quant à la volaille de 'Lauwe' , elle n'a pas manqué de nous fasciner tant le moelleux de sa chaire était pur et merveilleux en terre-mer avec les salicornes ! Poulet de 'Lauwe', salicorne, câpres d'ail des ours Flamiche vieux-gris de Lille Au rayon fromage, on a apprécié de découvrir ce puissant "Puant de Lille" (qui tient bien son nom) en Flamiche . C'était du costaud! Caillé de chèvre, verveine Les desserts étaient plein de surprises. Tout en fraîcheur avec ce granité estival d'oseille et concombre , puis romantiques avec la crème brulée de prunes et coquelicots servie à la cuillère et enfin, plus rock'n roll, avec ce caillé de chèvre et verveine entouré de pickles . Oseille, concombre Si l'intitulé semblait risqué, à chaque fois pourtant le foodpairing à gagné! Prunes, coquelicots Après tout ça, j'avoue que clôturer avec un beignet, c'était un peu dur. Or ils étaient pourtant si beaux...je n'ai pas osé demander un Doggy bag ;-) Là on atteri, quel voyage! Mais au matin, ça repart, t he show must go on! B estemming ontbijtzaal ! ça c'est du poêle ! Oeuf et lard maison ! poêlé minute Quelle douceur, telle une madeleine de Proust , ce délicat moment au levé du jour m'a rappelé mon enfance. Oui, c'était un peu ça, à nouveau entre Lewis Caroll et Beatrix Potter! Entre l'omniprésence du terrifiant Wulf de Charles Perrault , des lapins de Beatrix qui se délectaient dans ton potager et les cookies d'Alice, on se croirait dans un monde enchanté! Je goute encore le chaleureux eggs & bacon home-made , l'excellent muesli, miel et charcuteries maisons. Mais surtout, je n'oublierai jamais ce croissant! De loin le meilleur de ma vie ! Décidément, ce four outdoor au feu de bois , c'est une tuerie! Enfin, voilà Kobe, je pourrais encore continuer des heures à te raconter comment j'ai vécu chaque instant, chaque minute, chaque seconde de ce séjour mais tu finirais par ne plus me croire, mais mieux que ça, je reviendrai, c'est certain!(Et en attendant, faut que je me remette) Alors tout simplement, MERCI ! "Nous voulons être honnêtes au sujet de qui nous sommes et d’où nous venons. Les limites que cela implique sont notre plus grand défi et notre plus belle motivation. Notre cuisine est donc parfois brutale, parfois douce, mais toujours naturelle." Kobe Desramaults

Source: squisitoo.blogspot.com

C'est un peu ma marotte du moment : cuisiner des produits du Limousin. Cette fois, un peu au hasard d'une rencontre, je me suis attaquée au Cul noir limousin . Non, je n'ai pas perdu toute retenue dans mon langage... C'est tout simplement le nom d'une race de porc du sud de la Haute-Vienne qui après avoir été proche de la disparition est en train de revenir doucement sur le devant de la scène (même les grands chefs comme Pierre Troisgros vantent ses qualités gustatives). Petit retour sur ce cochon dans lequel tout est vraiment bon. Il a été délaissé pendant des années pour ce qui fait toute sa renommée à l'heure actuelle : c'est un petit porc qui fait beaucoup de gras (donc pas très rentable pour les industriels). Élevé en plein air, il se nourrit notamment de châtaignes (autre symbole de la région) ce qui participe grandement à son goût. La production étant limitée, il est souvent difficile de trouver la viande à l'état brut (vous trouverez beaucoup plus facilement du jambon ou des pâtés) et son prix - même directement chez le producteur - reste très élevé. Mais je vous assure que le jeu en vaut la chandelle et que ça n'a rien à voir avec la viande de porc que l'on trouve habituellement. Ici, la viande est accompagnée d'une purée assez simple mais savoureuse : des choux-fleurs et de la tome (presque un aligot ;-) Bon dimanche à tous :-) Porc Cul Noir et Purée de Choux-Fleur à la Tome (pour 2 personnes) 2 belles côtes de porc Cul-noir limousin 1 CS d'huile d'olive Poivre Sel Pour la purée de choux-fleur : 400 g de choux fleur (environ la moitié d'un gros) 1 grosse pomme de terre (environ 120 g) 100 g de tome fraîche 20 g de beurre Préparer la purée. Laver la pomme de terre, l'éplucher et la découper en gros cubes. Laver le choux-fleur et le détailler en petits bouquets. Faire bouillir une grande quantité d'eau. Lorsqu'elle arrive à ébullition, saler et y plonger la pomme de terre et le choux-fleur. Laisser cuire une bonne quinzaine de minutes, jusqu'à ce que les légumes deviennent tendres. Égoutter les légumes, les réduire en purée et ajouter la tome coupée en dés en mélangeant bien afin qu'elle fonde. Remettre la casserole contenant la purée sur le feu et ajouter le beurre tout en mélangeant jusqu'à ce que la purée devienne homogène. Tenir au chaud. Préparer les côtes de porc. Les sortir du réfrigérateur quelques minutes avant de les cuire. Saler et poivrer la viande de chaque côté. Faire chauffer à feu vif une poêle anti-adhésive. Mettre un peu d'huile d'olive dans le fond et saisir les côtes de porc 5 minutes d'un côté puis 5 minutes de l'autre. Baisser le feu et couvrir la poêle d'un couvercle afin que la viande reste la plus tendre possible. Servir les côtes de porc avec la purée et le jus de viande.

Source: petite-cuilliere-et-charentaise.blogspot.com

C'est un peu ma marotte du moment : cuisiner des produits du Limousin. Cette fois, un peu au hasard d'une rencontre, je me suis attaquée au Cul noir limousin . Non, je n'ai pas perdu toute retenue dans mon langage... C'est tout simplement le nom d'une race de porc du sud de la Haute-Vienne qui après avoir été proche de la disparition est en train de revenir doucement sur le devant de la scène (même les grands chefs comme Pierre Troisgros vantent ses qualités gustatives). Petit retour sur ce cochon dans lequel tout est vraiment bon. Il a été délaissé pendant des années pour ce qui fait toute sa renommée à l'heure actuelle : c'est un petit porc qui fait beaucoup de gras (donc pas très rentable pour les industriels). Élevé en plein air, il se nourrit notamment de châtaignes (autre symbole de la région) ce qui participe grandement à son goût. La production étant limitée, il est souvent difficile de trouver la viande à l'état brut (vous trouverez beaucoup plus facilement du jambon ou des pâtés) et son prix - même directement chez le producteur - reste très élevé. Mais je vous assure que le jeu en vaut la chandelle et que ça n'a rien à voir avec la viande de porc que l'on trouve habituellement. Ici, la viande est accompagnée d'une purée assez simple mais savoureuse : des choux-fleurs et de la tome (presque un aligot ;-) Bon dimanche à tous :-) Porc Cul Noir et Purée de Choux-Fleur à la Tome (pour 2 personnes) 2 belles côtes de porc Cul-noir limousin 1 CS d'huile d'olive Poivre Sel Pour la purée de choux-fleur : 400 g de choux fleur (environ la moitié d'un gros) 1 grosse pomme de terre (environ 120 g) 100 g de tome fraîche 20 g de beurre Préparer la purée. Laver la pomme de terre, l'éplucher et la découper en gros cubes. Laver le choux-fleur et le détailler en petits bouquets. Faire bouillir une grande quantité d'eau. Lorsqu'elle arrive à ébullition, saler et y plonger la pomme de terre et le choux-fleur. Laisser cuire une bonne quinzaine de minutes, jusqu'à ce que les légumes deviennent tendres. Égoutter les légumes, les réduire en purée et ajouter la tome coupée en dés en mélangeant bien afin qu'elle fonde. Remettre la casserole contenant la purée sur le feu et ajouter le beurre tout en mélangeant jusqu'à ce que la purée devienne homogène. Tenir au chaud. Préparer les côtes de porc. Les sortir du réfrigérateur quelques minutes avant de les cuire. Saler et poivrer la viande de chaque côté. Faire chauffer à feu vif une poêle anti-adhésive. Mettre un peu d'huile d'olive dans le fond et saisir les côtes de porc 5 minutes d'un côté puis 5 minutes de l'autre. Baisser le feu et couvrir la poêle d'un couvercle afin que la viande reste la plus tendre possible. Servir les côtes de porc avec la purée et le jus de viande.

Source: petite-cuilliere-et-charentaise.blogspot.com

Des mélanges de saveurs détonnant pour ce velouté que j'ai voulu tester ce soir ! Dans la recette de Mr TROISGROS il s'agit d'un velouté à la crème fleurette, d'une écume de crème sur le dessus, des amandes effilées et de la fourme d'ambert émiettée. J'ai cuit mon velouté au bouillon de légumes, pour l'écumer ensuite avec de crème citronnée. Pour 2 tasses de velouté : - 250 g de topinambours - 1 l de bouillon de légumes - un filet de jus de citron, - 1 c à s de crème légère - une pincée de poudre d'amande ou amandes effilées - 30 g de forme d'Ambert émiettée Préparation : * éplucher et couper les légumes en morceaux * les mettre à cuire 40 mn dans le bouillon, saler et poivrer * mixer le velouté * fouetter la crème avec le jus de citron pour former une écume * dresser le velouté, l'écumer, les amandes et la fourme. C'est doux avec de la puissance, très bon !

Source: ligneetplaisir.blogspot.com

Ecrit et réalisé par Very Easy Kitchen Je voulais faire un dessert un peut « hot » pour clôturer l’hiver et commencer à célébrer le printemps. Les premières fraises sont sur les étals et j’avoue déjà avoir craqué. Ce dessert est un assemblage (pas de cuisson ou préparation longue) mais il vous faudra impérativement des meringues suisses et de la crème double de Gruyères (canton de Fribourg). Vous en trouverez chez les très bons crémiers et quelques épiceries fines. Sur Annecy on en trouve chez Pierre Gay MOF fromager et aussi chez O’Terra. Les meringues suisses de Gruyères sont très légères et aérées. Elles sont divines avec de la crème double de la même région qui doit contenir au minimum 50% de matières grasses. Malgré la simplicité de ce dessert, ce sont ces deux ingrédients qui en font autant la délicatesse que la gourmandise. La recette est de César Troisgros, digne héritier de la dynastie. Vous pouvez bien sûr la déguster avec d’autres fruits et sans alcool (avec des framboises ce dessert est une merveille). Impossible de trouver des oranges sanguines sur le marché, j’ai donc pris une orange navel et j’ai rajouté pour un esprit encore plus brésilien, une belle mangue. Je vous donne la recette telle qu’elle a été imaginée par César. Meringue passionnée de César Troisgros Pour 4 personnes 4 meringues suisses de Gruyères 1 pot de crème double de Gruyères 1 orange sanguine 2 fruits de la passion 1 pouce de gingembre 1 citron vert De la cachaça Pelez l’orange à vif et coupez-la en tranches fines. Taillez le gingembre en brunoise.Cassez grossièrement les meringues dans deux coupelles avec le dos d’une cuillère. Déposez sur chacune 1 cuillère de crème fraîche, parsemez de gingembre et recouvrez avec les tranches d’orange. Coupez les fruits de la passion en deux. Déposez la pulpe sur les tranches d’orange. Terminez avec un trait de cachaça et parsemez de zeste de citron

Source: veryeasykitchen.blogspot.com

Voici une recette d'un chef triplement étoilé Michelin que même nous sommes capables de préparer. Cette omelette pourrait figurer sur un menu de Pâques. En plus elle est très économique et antigaspi car on peut utiliser 2 blancs d'œuf qu'on a conservés d'une autre recette au congélateur. Si vous voulez la présenter comme le Chef César Troisgros commencez par mariner les légumes. Ingrédients pour 2 personnes: 2 jaunes d’œufs 4 blancs d’œufs 20 g de farine 150 g de lait 20 g de beurre 150 g fourme d'Ambert Pour la garniture : 2 oignons de printemps 3 radis quelques fleurs comestibles (en option) Préparation : Préchauffer le four à 180° Dans une casserole, mettre du lait et du beurre, puis porter le tout à ébullition Séparer les blancs et les jaunes d’œufs Ajouter un peu de farine aux jaunes d’œufs puis ajouter le mélange de lait et de beurre et fouetter le tout Mettre cette préparation sur le feu, continuer à battre le mélange jusqu’à épaississement de celui-ci Monter les blancs en neige Incorporer délicatement les blancs en neige aux œufs et mélanger doucement Démarrer la cuisson de la préparation dans une poêle beurrée jusqu'à ce que le fond soit doré Enfourner ensuite à 180° pendant environ 3 minutes pour sécher les dessus de l'omelette Laisser reposer l’omelette dans la poêle pendant 4 minutes Mettre le Fourme d'Ambert sur une moitié de l'omelette, puis la plier Pour la garniture : Couper radis en 4, saler, laisser 10 minutes puis rincer Nettoyer les oignons de printemps Mariner les légumes au moins 1 heure dans vinaigre blanc, eau minérale, miel et un peu de sucre Dresser l'omelette avec les légumes marinés J'ai ajouté quelques fleurs comestibles pour la couleur. Pour voir la vidéo de la recette c'est ici

Source: theblogdeclementine.blogspot.fr/search/label/recette

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