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C'est toujours sympa de ressortir des vieux livres de cuisine et celui vient de ma grand-mère . Il s'agit de celui de Michel Guérard "mes recettes de la télévision" , c'était un précurseur loin de se douter qu'il y aurait par exemple une chaîne de télévision comme Cuisine TV dédiée qu'à la cuisine ... Un terrine , c'est assez pratique pour un buffet , un pique nique ... facile à faire et en plus elle peut être préparée 2/3 jours à l'avance . pour 8 personnes : 500 gr de foies de poulet 200 gr de poitrine fraîche de porc 200 gr de chair à saucisse 4 feuilles de laurier 4 branches de thym 1 oeuf 40 gr de mie de pain pour la marinade : 5 cl de cognac 5 cl de porto rouge 10 gr d'ail haché 1 cuil à café de fleurs de thym 1 grosse pincée de muscade 10 gr de sel poivre La veille préparez les viandes pour les faire mariner . A l'aide d'un petit couteau , coupez les foies de volaille en 4 , profitez en pour les nettoyer . Déposez les dans un récipient (qui ferme avec un couvercle) . Ajoutez la chair à saucisse . Coupez la poitrine de porc en petits cubes , ajoutez dans le saladier avec la mie de pain émiettée , l'oeuf et tous les ingrédients de la marinade . Mélangez bien , couvrez et laissez mariner toute une nuit au frais . Le lendemain allumez le four à 220 °C. Hachez rapidement le mélange de viandes pour ne pas avoir de trop gros morceaux (je plonge rapidement le mixer dans le saladier ) . Mettez une cuillère à café de terrine crue dans un petit bol et faites cuire 20 secondes au micro ondes pour vérifier que la terrine est assez salée . Garnissez une terrine avec les viandes marinées . Déposez 2/3 feuilles de laurier sur le dessus . Faites cuire à couvert 1H45 au bain marie . Sortez du four et laissez refroidir 3 heures à température ambiante avant de la mettre au frais minimum une nuit .
Source: ondinecheznanou.blogspot.comCette fois nous retrouvons Olympe Versini, qui s'est prêtée avec gentillesse et humour à ma petite interview. Direction Casa Olympe , 48 rue Saint Georges. J'avais rencontré Olympe lors d'un dîner, et vous aviez pu découvrir une petite recette qu'elle avait accepté de partager, le Croque-Olympe. Mais ce serait bien malheureux de réduire notre Olympe à cela! Première femme à avoir eu une émission culinaire à la télévision et à la radio, étoilée par le "Guide Michelin", elle a tourné le dos à cette vie pour se consacrer à une cuisine plus généreuse et authentique. Bernard: Qu'est-ce qui amène une jeune fille de 23 ans, dans les années 70 à ouvrir un restaurant et sans le vouloir, à décrocher une étoile? Quels sont vos antécédents? Olympe: Mon père se met à la cuisine par goût à 53 ans, alors qu'il était avocat. Ça fait un gros changement! Ma mère cuisine bien, mais pas pour un restaurant. Elle avait une auberge dans le sud et a arrêté de travailler à l'âge de 88 ans. J'avais des grands-mères qui cuisinaient, aussi bien du côté de ma mère avec des ascendants italiens, que du côté de mon père, plutôt corses. Tout cela joue dans ma culture et je ne me suis absolument pas préparée à ouvrir un restaurant. C'est le hasard qui fait que j'achète une boutique rue du Montparnasse et qu'à la suite de cela, j'ouvre un restaurant, alors que je voulais travailler dans la mode. N'est-ce pas difficile au début de cuisiner pour son restaurant sans vraiment connaitre le métier? Car cuisiner pour soi et cuisiner pour des clients n'est pas vraiment pareil! C'est pas du tout la même chose, donc je cuisine comme chez moi. Je pense que c'est pour cette raison que ça fonctionne. C'est tellement nouveau! A l'époque c'est la nouvelle cuisine... Je commence en 1973, on ne parle que de cela. Et la manière dont je cuisine, ça rentre dans les cases de cette époque car je n'ai justement pas appris la cuisine. Je ne fais pas des choses compliquées parce que je n'ai pas le temps, donc je fais des choses "minute", ce qui est nouveau aussi. Y a-t'il beaucoup de femmes, à cette époque, qui cuisinent? Non, il y a peu de femmes, il y en a toujours peu d'ailleurs. Il y a Darroze et cetera mais il y en a pas beaucoup plus qu'avant. À l'époque il y en a peu et en plus elles sont âgées. A Lyon, il y a les "mères" comme Madame Brazier. À Paris il y a des femmes qui ont des restaurants qui sont réputés. Il y en a une qui a mon âge ou un tout petit plus âgée, mais sinon ce sont des femmes plus âgées. Dans la capitale, il y a six ou sept femmes qui sont connues, c'est tout. Qu'est ce que pour vous la grande cuisine? Je trouve que le mot "grande cuisine" est un peu démodé. Ça me fait penser un peu à la cuisine des années cinquante. Alors que la cuisine aujourd'hui, peut être comme celle de Ferran Adria qui est une cuisine très moderne. On n'emploie plus ce terme. Mais je ne me suis jamais vraiment posée la question. Je pense que le principal de la cuisine, c'est qu'elle doit être bonne, avec des bons produits et laisser à chacun la liberté de la concevoir, un peu comme Thierry Marx et sa cuisine très moderne. Mais je suis toujours étonnée. Car c'est une cuisine moderne dans la présentation, mais finalement dans le goût, ça reste toujours la même chose. Si Ferran Adria il y a 10 ans fait des petit pois, en réalisant une restructuration de petits pois très complexe à la fabrication, c'est en fait pour retrouver le petit pois. C'est pour retrouver un liquide enrobé qui a le goût de petit pois. Je trouve que c'est assez marrant de le goûter une fois, deux fois. Mais ce que j'aimerais, c'est que l'on me donne d'autres goûts. Et d'autres goûts, je n'en connais pas! J'ai toujours découvert des goûts, même dans cette cuisine extrêmement moderne, mais qui reste toujours des goûts que l'on connait. Il faudrait que ce soit plus innovant, dans des goûts inconnus. Je pense qu'ils sont trop vieux pour chercher ces goûts! Vous dites que ce qui compte dans la cuisine c'est avant tout "le produit, de nouveau le produit... et la cuisson!". Est-ce vraiment tout et n'importe qui peut-il cuisiner avec ces éléments? Encore le produit! Et non, si on donne de bons produits à quelqu'un qui ne sait pas cuisiner... Et je pense qu'il faut justement savoir cuisiner pour maîtriser la cuisson. Et ça, ou c'est inné ou alors on l'apprend. Mais c'est assez complexe, c'est la chose qui est la plus difficile. Et apprendre à maîtriser la cuisson, ça veut dire quoi? Ca veut dire arriver à donner au maximum de personnes, la même cuisson pour tout le restaurant, ou la cuisson choisie par le client. Et d'ailleurs mon goût, avec le temps, a changé. Je vais vers des cuissons plus cuites aujourd'hui. Pour mon goût personnel. Pourquoi je ne sais pas! Mon goût change et il y a des produits qui ne sont plus ce que j'ai connu, alors je les préfère un peu plus cuits etc... Mais le goût pour des jeunes d'aujourd'hui, reste quand même dans leurs têtes, une cuisine où les produits ne doivent pas être trop cuits. Et même cela n'est pas évident. Donc on peut rater la cuisine à cause de la cuisson, malgré de bons produits. Mauvaise nouvelle donc! (rires) En 1993, vous avez changé complètement de cap. Vous avez ouvert "Casa Olympe", qui était un restaurant tenu à l'époque par une dame de 84 ans, le "Casa Miguel". Vous avez donc tourné le dos à cette vie assez médiatisée, la radio, la télévision, la fameuse "étoile". N'y a-t'il jamais eu de regret? Ah non, il n'y jamais eu absolument aucun regret. Car c'est très prenant. Si on veut atteindre un trois étoiles, il faut beaucoup d'investissement. Et ça ne m'intéresse pas de donner de l'argent aux banques. Je n'ai pas une famille qui m'a laissé des restaurants ou des choses comme ça! Je n'avais pas les moyens, et il faut être deux, car c'est extrêmement complexe. On est un peu prisonnier de son travail et moi, je n'ai jamais eu envie d'être prisonnière de rien. Je me suis trouvée beaucoup mieux dans cette restauration que je fais aujourd'hui. Et à l'époque, en 1993, les cartes "menu", les restaurants à tendance "bistrot", la cuisine servie dans la cocotte, tout cela était nouveau. J'avais même eu une photo, pour un article sur mon restaurant, avec une cocotte dans le Figaro! Servir la cuisine dans le plat dans lequel elle a été préparée, c'était nouveau pour beaucoup de monde. Une de vos passions est la lecture. Est-ce vrai que vous ne consultez jamais de livres de cuisine? Oui c'est vrai, je n'ai jamais lu de livre de cuisine au complet. Mon père m'avait mis dans la tête de lire les recettes d'Ali Bab (Gastronomie Pratique). Je les ai donc consultées, mais elles sont extrêmement complexes. Car c'est une cuisine que l'on ne fait plus. Il fallait cuire 4 lièvres pour faire une sauce... En revanche, il m'arrive d'acheter des livres de cuisine, uniquement pour les images. Mais j'ai donné toute ma bibliothèque de livres de cuisine, je l'ai distribuée. Je consulte encore un peu des magazines culinaires aussi, mais toujours pour les photos. Ça me donne des idées. Ça ne me donne pas l'idée de la recette, mais l'idée d'un produit, d'une présentation. C'est donc plus visuel que la vraie lecture d'une recette. J'ai essayé des recettes de pâtisserie, parce que ce n'est pas mon fort. Mais je n'ai rien compris! (rires) Certains des tableaux présents dans la salle de Casa Olympe, ont été peints par votre maman. Vous peignez également. Y a-t'il pour vous un parallèle entre la création d'un tableau et la cuisine? Oui! Ma maman était peintre. Depuis toute petite, j'ai baigné dans les odeurs d'huile de lin et autre peinture... Je n'ai pas appris le mélange des couleurs. Je n'ai pas de mémoire, je suis incapable de me souvenir du nom d'une couleur que j'ai mélangée. Je ne le retrouve qu'en le voyant et c'est en mélangeant que je trouve les couleurs qui m'intéressent. C'est assez facile, j'arrive à recréer une couleur, si je sais ce que je veux. Et c'est un peu comme travailler des épices. Ça ressemble à ça. On mélange les odeurs pour obtenir un produit avec lequel on va travailler. J'aime beaucoup les couleurs comme j'aime les épices, mais je mets moins d'épices qu'auparavant. Je voudrais arriver à faire une cuisine sans épice et sans herbe. Ce n'est pas évident, mais petit à petit j'y arrive. Vous adorez voyager. On sait qu'il y a trente ans, ces voyages influençaient beaucoup votre cuisine. Est-ce toujours le cas aujourd'hui? Les voyages m'influencent beaucoup moins, car quand j'ai pris ce lieu, je n'ai pas voulu de notes exotiques dans la cuisine. Je ne veux pas , quoique j'aime beaucoup, que l'on retrouve dans ma cuisine des influences de Thaïlande ou de Chine. Je veux éviter cela. Mais à l'époque oui beaucoup! C'était d'abord le Japon pour ses modes de cuisson, ses découpages et ses techniques, plus bien sûr, que pour ses épices. Je suis allée assez peu en Asie, hormis le Japon. mais comme j'aime beaucoup aussi la cuisine chinoise, on pouvait retrouver ses influences dans ma cuisine. Mais aujourd'hui c'est ce que je veux éviter. Y a-t'il un chef, homme ou femme, en France ou à l'étranger, que vous admirez aujourd'hui? Je suis allée il y a plus de dix ans chez Ferran Adria et j'avais beaucoup aimé. Cela m'avait beaucoup plu, dans le goût et dans l'idée de la présentation. Je n'y suis pourtant plus retournée depuis 2000. Quant à admirer... j'admire très difficilement, surtout les cuisiniers. J'ai eu bien sûr beaucoup d'admiration il y a longtemps, mais maintenant je ne sors plus dans les restaurants. Je vais chez des copains dont j'aime bien la cuisine. Je ne fréquente pas vraiment le milieu. Il y avait dans les années 80, Frédy Girardet, qui était à Crissier en Suisse que j'aimais beaucoup et Jean-Marie Amat à Bordeaux. Ils étaient des cuisiniers qui m'avaient marquée étant jeune, et qui étaient vraiment intéressants. Vous étiez la première femme en France à avoir une émission culinaire dans les années 70. Comment cela se passait-il à l'époque? Quel regard portez-vous sur l'hyper-médiatisation d'aujourd'hui de la cuisine, que ce soit des blogs comme moi, les livres, les magazines, les sites, les chaines et les émissions de télévision? Sur la médiatisation télévisuelle: c'est vrai qu'à l'époque j'étais la seule femme. Il y avait des hommes, comme Raymond Oliver, son fils, Michel Oliver et Michel Guérard. C'est tout et moi j'arrive, la quatrième, une femme, qui fait des émissions de télévision. J'ai fait ça pendant quatre ans et je faisais ça en direct! On me disait : "aujourd'hui tu as onze minutes". La fois d'après c'était neuf minutes, et il fallait que je me débrouille pour faire une recette et la faire comprendre aux téléspectateurs. C'était très complexe, mais ça fonctionnait pas trop mal. Et pourtant je n'ai jamais été trop fan de la télé. J'aimais beaucoup la radio. Il y avait trop de stress à la télévision. Pour la médiatisation d'aujourd'hui, c'est vrai qu'il ne faut pas avoir peur du ridicule. Ça ne m'intéresse pas en tant que spectatrice pour apprendre quelque chose. Je trouve que ces émissions comme "top chef"n'ont pas beaucoup d'intérêt. Ce n'est pas la réalité. Quand les chefs se mettent à gueuler comme à l'armée, cela devient du guignol. Il faut savoir être autoritaire en cuisine, mais pas de cette façon! Pour les blogs: je ne savais pas ce que c'était, car je n'en regarde jamais. J'en ai découvert quand nous nous sommes rencontrés (Diner par Lagostina). Je dois dire que je prenais les blogueurs de cuisine pour des pseudo journalistes. Je ne connaissais pas. Maintenant j'ai compris que c'est complètement différent. Ce sont des gens qui aiment vraiment ce qu'ils font, qui le partagent et qui en même temps, sont complètement détachés de la chose, car ils ne gagnent pas d'argent avec leurs blogs. Ils le font vraiment pour le plaisir et sont plutôt sympathiques. Donc c'était plutôt une agréable découverte. Ce qui m'a donné l'idée de faire peut être un blog à partir de la rentrée. Ce serait pour raconter des choses, qu'en tant que cuisinière j'approche plus que vous. Je ne dis pas que ce sera tout le temps car c'est un vrai boulot, et je n'ai pas vraiment le temps, mais peut être des humeurs avec des idées de recettes, plus que de vraies recettes. J'en ai marre d'écrire des recettes! (rires) Comme j'adore faire de la photo! Cela fait cinq ans que je m'y suis mise, mais je ne veux pas apprendre, comme pour la cuisine. Auriez-vous un message ou un conseil à faire passer aux lecteurs de mon blog? Quand on a une passion pour la cuisine, il faut tout d'abord persévérer. Il ne faut rien craindre et il faut faire comme on aime. Je fais d'ailleurs la photo et la cuisine comme cela. Même sans savoir, en aimant, en ayant son "oeil", qui sera différent des autres. Et parfois les grands cuisiniers ne sont pas si grands que cela... Je finirai avec ça! (rires) Ils se croient parfois très grands, mais ils sont plutôt...lourds! Donc tout le monde peut encore cuisiner! Merci à Olympe pour cet entretien! N'oubliez pas de consulter le Croque-Olympe:
Source: lesrecettesdebernard.blogspot.comMémoire terminé, plaisir retrouvé! Enfin j'ai pu reprendre place en cuisine après plusieurs semaines d'inactivité à cause d'un mémoire, qui a quand même pour thème l'alimentation. Heureusement pour ma motivation! Bref petit moment de relâche qui me permet de vous proposer cette nouvelle recette aux fruits et légumes de saison. Cette recette est inspirée de mon dernier achat de livre de cuisine en date. L'été arrive, alors oui ce n'est pas un scoop de dire que beaucoup d'entre nous cherchent à perdre un peu par-ci par-là. Oui mais en ce qui me concerne, en tant que bonne vivante, manger mieux oui manger moins sûrement pas! Le principal étant de se faire plaisir en n'ayant pas l'impression de se priver, donc d'être frustrée, donc d'être insupportable avec notre entourage! ^^ Oui oui ça peut déteindre, voila pourquoi ce livre me semble être une des clés pour profiter sans complexe! Ce livre: Minceur Essentielle du chef aux 3 étoiles Michel Guérard. Des recettes pour tous les jours avec des produits divers, variés et gourmands. Même si le mot "Minceur" est mentionné dans le titre, aucune recette composant ce livre ne se rapporte à quelconques régimes. Seul le nombre de calories par recette est mentionné. Pour le gazpacho qui suit j'annonce la couleur: 75calories! Alors tous à vos notes... Ingrédients pour 4 personnes 800g de tomates mûres 240g de fraises (gariguette au printemps) 1c.c de concentré de tomate 4 bouquets de basilic frais 1c à s de vinaigre de xérés 1c à s de vinaigre balsamique 2c.à.c d'huile d'olive sel & poivre Enlevez délicatement le pédoncule des tomates avec un petit couteau pointu. Les blanchir quelques secondes dans une casserole d'eau bouillante. Les retirer et les plonger dans un récipient d'eau glacée. Mondez les tomates (enlevez la peau des tomates) facilement. Lavez et équeutez les fraises. Les mettre dans un mixeur avec les tomates préalablement coupées en quartier. Ajoutez le concentré de tomate. Mixez le tout jusqu'à ce qu'un mélange homogène se forme. Passez le mélange au chinois. Mélangez dans un ramequin les deux vinaigre, l'huile d'olive, le sel et le poivre. Réservez au frais. Servez frais agrémenté de quelques feuilles de basilic si vous voulez et de quelques gouttes d'huile d'olive supplémentaires. Pourquoi pas ne pas réaliser des croutons de pain maison à tremper dans le gazpacho? J'en profite d'ailleurs pour participer au concours Fraîch' Attitude organisé par Emilie Il est encore temps de participer alors n'hésitez pas! Rendez- vous sur le blog d' Emilie !
Source: saveurs-espiegles.blogspot.com1 personne, 4 pp, 3 flexip. 100g de carottes50g de champignons blancs 50g de céleri rave- le tout rapé 1cs de vin blanc un peu de lait écrémé sel et poivre 10 g de poisson maigre ou 100 g de filet de poulet Râper les légumes. Mettre le poisson ou la viande avec les légumes,un peu de lait ,le vin , le sel et le poivre cuire à feu doux(pas trop longtemps). Réserver la viande ou le poisson au chaud, mixer les légumes jusqu'à obtention d'une sauce mousseuse.
Source: fragoline-mespetitsplaisirs.blogspot.comwww.recettesnoillyprat.com : les nouvelles recettes du mois d'Août Le 19 juillet dernier nous vous annoncions l'ouverture du 1 er blog culinaire de Noilly Prat : www.recettesnoillyprat.com ... Aujourd'hui, vous pouvez d'ores et déjà découvrir les nouvelles recettes du mois d'août pour profiter du reste de l'été comme il se doit. Noilly Prat … Les Chefs le mettent à l'honneur Partez à la rencontre de Chefs et de passionnés de cuisine autour d'un produit phare : le célèbre vermouth Noilly Prat . Des Chefs heureux de présenter leur savoir faire au travers de plats authentiques et raffinés face à des internautes passionnés de gastronomie, à la recherche de nouvelles découvertes et sensations gustatives. Depuis le mois de juillet, des Chefs français offrent aux internautes des recettes inédites à base de Noilly Prat . Chaque mois, un Chef sera mis à l'honneur. En août, retrouver le chef : Jacques Chibois Après un début d'études agricoles, Jacques Chibois découvre rapidement sa voie et entre en apprentissage dans un restaurant étoilé proche de sa ville natale. En 1971, il entreprend un tour de France qui va lui permettre de travailler avec les plus grands chefs et de rencontrer Michel GUERARD avec lequel il travaillera durant cinq années. Responsable de ses émissions télévisées, Maréchal Chef des Logis au service militaire ou encore Directeur des cuisines du Club REGINE'S à Paris, Londres et New York, Jacques Chibois est sans nul doute un Chef d'exception. En 1981, Jacques CHIBOIS devient le Chef de l'hôtel GRAY D'ALBION à Cannes et ouvre, en Mai 1996, sa propre maison « LA BASTIDE SAINT ANTOINE », au cœur de la campagne Grassoise. Témoignage authentique de l'art de vivre au soleil de Provence. Jacques CHIBOIS, cuisinier passionné, aime surtout les choses simples. S'il est fou de cuisine créative, il n'en respecte pas moins les vraies valeurs du terroir. En témoignent ses deux recettes au Noilly Prat , élaborées pour les internautes, Chefs en herbe : Le Petit Rouget à la Fondue de Poireaux au Citron, Sauce Citron Vert au Noilly Prat La Tarte Framboise et Melon à l'Orange Meringuée de Fruits Secs & ses Coulis au Noilly Prat Avec Noilly Prat devenez vous aussi le Chef du mois Les internautes gastronomes sont invités à réaliser des recettes à base de Noilly Prat et à les envoyer sur le site au Chef du mois. Après sélection, les quatre meilleures recettes seront publiées sur le blog. Le public votera ensuite et élira le Chef internaute Noilly Prat du mois. Le gagnant se verra offrir un panier gourmand qui lui sera adressé. Découvrez, d'ores et déjà, le chef internaute Noilly Prat du mois de juillet sur www.recettesnoillyprat.com Les recettes savoureuses et originales de Jacques Chibois au Noilly Prat Le Petit Rouget à la Fondue de Poireaux au Citron, Sauce Citron Vert au Noilly Prat Le marché pour 4 personnes Ingrédients principaux : 4 rougets de 250g 350g de petits poireaux épluchés avec peu de vert et lavés 20g d'olives noires hachées et blanchies deux fois 15g de beurre 35g d'huile d'olive 1 citron jeune non-traité 30g de gros sel pour la cuisson Sel, poivre Pour la sauce citron vert au Noily Prat : 120g de crème fleurette liquide 10cl de Noilly Prat Sel, poivre 1 pointe de curcuma en poudre Déroulement de la recette : Confection de la pâte - Couper les poireaux en deux, émincez-les en 5 mm d'épaisseur, relavez les puis égoutter, - Faire cuire dans une casserole à découvert sur feu vif avec 1 litre ½ d'eau et 20g de gros sel, plonger-les à ébullition, vérifier la cuisson pour qu'ils restent cuits mais tendres, - Ensuite, à l'aide d'une passoire plongez-les dans de l'eau froide avec quelques glaçons jusqu'à ce qu'ils soient froids et égouttez-les aussitôt, - Râper la moitié d'un beau citron jaune non-traité avec une râpe fine et ensuite les hacher, - Eplucher l'autre moitié de citron à l'aide d'un couteau économe pour obtenir une épluchure sans le blanc mais uniquement le jaune. Avec un couteau bien coupant, faire une julienne très fine, - Mélanger dans une casserole le poireau émincé avec les olives hachées, les 25g d'huile d'olive, 15g de beurre, les zestes râpés, hachés, sel et poivre, - Faire chauffer en remuant constamment sur un feu doux et les tenir en température. Préparation de la sauce citron vert : - Dans une petite casserole faire bouillir environ 1 minute la crème fleurette avec le zeste de citron vert râpé et haché, les 10 Cl de Noilly Prat une pincée de sel et une pincée de poivre, une pincée de curcuma. Avant de servir, presser quelques gouttes de citron vert dans la sauce jusqu'à votre convenance, - Cuire les filets, saler, poivrer, dans une poêle non-adhésive froide avec 10g d'huile d'olive. Monter en température lentement et retourner les filets au bout de deux minutes. Après avoir vu que les côtés blanchissent, retourner les filets et laisser autant de temps, les citronner et dresser. Dressage : Dresser dans une assiette : - Mettre au centre le poireau chaud de la même surface que le filet de poissons, - Décorer une extrémité avec les zestes de citron ciselés finement, - Napper légèrement de sauce. La Tarte Framboise et Melon à l'Orange Meringuée de Fruits Secs & ses Coulis au Noilly Prat Le marché pour 4 personnes : Ingrédients de garniture : 150g de framboises 120g de chair de melon charentais 30g de sucre en poudre 30g de miel ½ zeste d'orange non-traitée ½ zeste de citron jeune non-traité Le jus d'une moitié d'orange 20g de poudre d'amande Ingrédients de la pâte sucrée : 140g de beurre 150g de farine 50g de sucre en poudre 20g de poudre d'amande 1 œuf Garniture de fruits secs : 5g de noisettes entières 5g d'amandes 5g de pignon 5g de pistache Coulis de Melon : 100g de melon 8g de sucre 6cl de Noilly Prat 2 c. à soupe d'eau 1 pointe d'extrait de vanille Déroulement de la recette : Confection de la pâte - Mettre le beurre en pommade et mélanger tous les ingrédients ensemble. - Faire une boule et l'écraser pendant 5 minutes avec la paume de la main sur un marbre. Refaire une boule, la mettre dans un papier film et la laisser au réfrigérateur. - Reposer pendant une heure. - Etendre la pâte d'une épaisseur de 2 mm et mouler dans des cercles à tarte de 10 cm de diamètre, pour mieux égaliser ces fonds de tarte, couper des cercles de 12 cm et poser sur les cercles bien régulièrement qui permet de laisser 1 cm sur les bords. - Ensuite bien appuyer avec vos pousses pour coller la pâte sur le cercle. - Avec une fourchette, percer la pâte et cuire au four à 180° jusqu'à coloration blonde. Confection de la garniture - Prendre une poêle non-adhésive, déposer 30 g de sucre poudre, mettre sur un feu vif et obtenir un petit caramel très blond et ajouter rapidement les framboises, - Faire sauter une-demi-minute et les débarrasser dans une assiette à l'aide d'une spatule raclette, - Faire la même opération avec les melons que vous aurez coupé en dès de 8 mm en faisant chauffer uniquement le miel en ajoutant les zestes et le jus d'orange, - Faire cuire 2 mn, ajouter la poudre d'amande, mélanger et verser aussitôt dans l'assiette des framboises en mélangeant délicatement, - Laisser refroidir, - Disposer cette garniture régulièrement dans le fond des tartelettes cuites. Confection des coulis : Coulis de melon - Mettre tous les ingrédients dans une petite casserole, faire cuire pendant 5 minutes à feu doux et mixer dans un bol mixeur pour obtenir un coulis lisse. Coulis de framboise - Mettre tous les ingrédients dans le bol mixeur, mixer et passer dans une petite - passoire étamine pour enlever les pépins. Confection de la meringue : - Mettre les blancs d'œuf, le jus de citron, les zestes de citron dans le bol de votre batteur. Les monter en neige, au moment que la neige prend, ajouter le sucre, faire tourner plus doucement afin que la neige devienne lisse. - Mettre en petit dôme la meringue sur la tarte à l'aide d'une spatule fer à pâtissier. - Disposer du concassé de fruits secs. Mettre dans un four chaud 160° jusqu'à coloration blonde et saupoudrer un petit peu de sucre glace en sortant du four. Dressage : - Dresser les tartes sur assiette plate avec deux traits de coulis. - Vous pouvez si vous le désirez décorer avec des quartiers de melon et quelques framboises et quelques zestes de citron vert et d'orange. Pour tout savoir sur Noilly Prat : Le vermouth d'exception C'est en 1813 que commence la fabuleuse histoire de Noilly Prat . Au cours de l'un de ses nombreux voyages en mer, Joseph Noilly, négociant en vin, décide de goûter le contenu des fûts présents sur le pont. Exposés au soleil et aux vents depuis le début du périple, il fait une formidable découverte : un vermouth aux arômes profonds exhalés sous l'action des éléments naturels. De retour en France, il décide donc de recréer ce processus naturel pour élaborer un vermouth à la saveur incomparable. Il s'installera en 1850 à Marseillan, sur les rives de la Méditerranée pour perpétrer l'alliance subtile des « Blancs de Blancs », issus des meilleurs cépages, mariés à vingt plantes et épices récoltées aux quatre coins du monde, tels que la camomille et la gentiane de France, l'orange amer de Tunisie ou encore la noix de muscade d'Indonésie, ce subtil mélange offre à Noilly Prat ses notes fruitées de pomme et de noix de muscade. Son goût sec, raffiné et délicatement corsé est né grâce à son procédé de vieillissement unique en plein air pour une partie des vins blancs de blancs (clairette et picpoul). Cette maîtrise intemporelle des arômes fait de Noilly Prat l'un des meilleurs vermouths au monde dont les notes fines et fruitées sont idéales pour la création de recettes gastronomiques. Avec ses arômes uniques et son goût raffiné Noilly Prat est un vermouth de choix pour tous les amateurs de mixologie et de gastronomie.
Source: thymcitron2.blogspot.comChaleureuse atmosphère de maison de famille où la cuisine ne trompe pas son monde, Le Clos Basque inventé par l'adorable Béatrice Viatteau est désormais aux mains d'Edgar Duhr, cuisinier ouvert et enthousiaste dans la lignée des Chefs du Pays Basque dont les adresses s’échangent par le bouche à oreille. Même si sa réputation n’est plus à faire, il est bon de rappeler que notre Chef, passé par les cuisines de belles maisons comme celles de Michel Guérard avant de s'offrir quelques escapades parisiennes pour mieux revenir à Biarritz. Adepte du marché quotidien, il renouvelle sa carte au fil des jours en se donnant un mal fou pour tenir ses prix sans lâcher sur la qualité et offrir des propositions de belles factures mais raisonnablement facturées. Edgar travaille les légumes et les fruits en fonction des saisons, le poisson quand il est bon et le gibier quand il est frais. Maison d’autrefois, mais non pas du passé, Le Clos Basque d'Edgar Duhr est une maison de toujours, jeune à jamais, car loin des modes. Ingrédients pour 4 personnes : Pour le Txangurro de crabe : - 150g de chair de crabe cuit - 50g d’oignon - 75g de blanc de poireaux - 1 grosse tomate - 1 cuiller à café de Pastis - 1 cuiller à café de Cognac - 5cl d’huile d’olive - 1 cuiller à soupe de persil plat - Sel, poivre, piment d’Espelette Pour le yaourt d’artichaut : - 200g de fonds d’artichaut cuits - 80g de yaourt nature - 4cl d’huile d’olive Pour la tartine croustillante : - 4 tranches de pain baguette - 50g de petites girolles fraîches - 4 artichauts bouquet - 1 gousse d’ail - 3cl d’huile d’olive - 20g de beurre - ½ tomate - 2 tranches de jambon Ibaïona Préparation de Txangurro de crabe : Ciseler l’oignon, couper en petits dés le blanc de poireau, tailler la tomate en petits cubes. Dans un petit sautoir faire fondre l’oignon et le poireau avec l’huile d’olive, saler, poivrer. Ajouter la tomate et la chair de crabe. Compoter le tout à petit feu 3 mn. Déglacer avec le Cognac et le Pastis. Refaire cuire 2 mn, ajouter le persil haché et le piment d’Espelette. Faire refroidir. Préparation des yaourts d’artichaut : Dans le bol du mixer verser l’artichaut taillé en petits morceaux, ajouter le yaourt, l’huile d’olive, du sel, du poivre et du piment d’Espelette. Mixer le tout pour obtenir une purée fine et onctueuse. Préparation des tartines croustillantes : Dans une poêle chaude verser les girolles avec le beurre et cuire rapidement, saler, poivrer. Réserver au chaud. Dans la même poêle cuire les artichauts bouquet émincés, avec l’huile d’olive. Saler, poivrer. Réserver au chaud. Toaster les tartines de pain Pour la finition : Quelques chips de pomme de terre vitelotte, 4 brindilles de pourpier, et de la fleur de sel. Dressage : Répartir dans 4 pots en verre à yaourt le txangurro. Verser dessus l’appareil de yaourt d’artichaut. Décorer de quelques chips de pomme de terre vitelotte, de pourpier et d’une tranche d’artichaut poêlée. Frotter les tartines avec la gousse d’ail, puis avec la tomate (comme en Espagne). Disposer dessus harmonieusement les girolles et les tranches d’artichaut bouquet. Finir par la fleur de sel et le jambon taillé en lichettes. 12, rue Louis Barthou 64200 Biarritz Tél. 05 59 24 24 96
Source: lagazettegourmande.blogspot.comCette recette est à la base une recette du chef Michel Guérard, qu'il a publié dans son livre minceur essentielle. Il emploie du fructose, mais personnellement c'est un substitut qui n'est pas très recommandable du fait qu'il est maintenant connu pour provoquer des cirrhoses du foie. J'ai donc employer de la stévia, mais si vous n'aimez pas le goût, le dosage en fructose reste le même. 4 personnes, 1 pp Pour l'aspic: 0 pp 250 g de fraises 1 dl d'eau une belle poignée de feuilles de menthe fraîche 2 cs de stévia cristallisée 2 feuilles de gélatine ou 2 g d'agar agar 250 g de fraises Pour le biscuit: 1 pp le biscuit 14 g de beurre 41 % 30 g de farine 1 cs d'eau 1 cs de stévia ou sucre glace (+ 1 pp) Pour le sorbet: 0 pp 500 g de fraises 1 jus de citron 1 dl d'eau 4 cs de stévia 1 blanc d'oeuf La veille, préparer le sorbet: Mixer les fraises et le citron. Dans un poêlon, faire chauffer l'eau et la stévia,afin que celle-ci se dilue, attention ne pas laisser évaporer le liquide. Verser sur les fraises et mixer à nouveau. Verser dans une bouteille propre et la réserver au réfrigérateur 12 heures. Le lendemain, ajouter le blanc d'oeuf battu en neige. Passer à la sorbetière ou mettre au congélateur dans une boîte et remuer toutes les 2 heures avec une fourchette. Réserver au congélateur. Il restera certainement un peu de sorbet mais comme il ne compte pas de pp, cela n'a pas d'incidence sur les pp de la recette. Préparer l'aspic: Faire chauffer de l'eau dans une casserole sur laquelle vous pourrez adapter un saladier afin de faire un bain-marie. Equeuter les fraises, laver la menthe. Mettre tout les ingrédients dans le saladier. Le poser sur la casserole d'eau bouillante, puis baisser le feu afin de laisser l'eau à frémissement. Couvrir et laisser cuire 20'. Retirer la menthe. Filtrer au chinois et verser 20 cl de jus de fraises dans un poêlon;* Si vous employez de la gélatine, la faire tremper 5' dans de l'eau froide, puis l'ajouter au jus chaud après avoir retiré le poêlon de la source de chaleur. Si vous utilisez de l'agar agar, faire chauffer le liquide à frémissement, verser l'agar agar, mélanger et maintenir le frémissement 2'. Pendant que l'infusion cuit, équeuter et couper les fraises en dés de 1 cm. Les disposer dans des petites coupelles ou comme je l'ai fait dans des moules à muffins; Verser l'infusion dessus, laisser refroidir puis réserver 4 heures au réfrigérateur. * Les fraises infusées serviront à aromatiser un fromage blanc ou un yaourt. Préparer les biscuits/ Passer le beurre 5 secondes au micro-ondes, il ne doit pas fondre, juste ramollir. Lui incorporer le reste des ingrédients. Préchauffer le four à 180°. Etaler la pâte soit comme le chef à la spatule sur du papier sulfurisé. Soit poser un deuxième papier sur la pâte et étaler au rouleau. Le chef préconise une épaisseur de pâte de 2 mm, mais personellement pour obtenir 4 petits cercles, j'ai du étaler plus finement. Pour le 4eme cercle, j'ai récupérer quelques chutes afin de retailler un beau cercle. Tailler les cercles à l'aide d'un petit emporte pièce de la grandeur du fond des aspics. Enfourner pour 7', puis laisser refroidir. Démouler les aspics délicatement sur les cercles, poser sur chque aspic 1 quenelle de sorbet formée avec 2 cs. Garnir de menthe, d'une fraise, de fleurs er de jeunes feuilles de fraises. La petite fleur sur le sorbet est un oeillet comestible. On peut bien sur se contenter de l'aspic ou du sorbet seul pour 0 pp. Pour l'infusion, on peut utiliser des fraises déclassées parce que mal formées ou autre, mais en veillant toutefois à ce qu'elles ne soient pas gâtées.
Source: fragoline-mespetitsplaisirs.blogspot.comAu jeu de la malédiction " tu ne peux plus manger qu'un seul et même plat jusqu'à la fin de tes jours, qu'est-ce que c'est?", et bien je pense que ce serait le poulet rôti avec ses légumes et pommes de terre fondantes. Alors, comme j'ai la chance de pouvoit varier les plaisirs, et que j'avais adoré mon premier essai de poulet farci sous la peau , j'ai eu envie de tester cette variante. Cette fois-ci j'ai pratiquement fait un copié collé de la recette de Michel Guérard, un des premiers chefs à révolutionner la cuisine traditionelle pour s'intéresser à l'équilibre dans l'assiette et promouvoir une cuisine "minceur". Quand équilibre rime avec saveur, difficile de résister. Et dans tout ça, ça donne quoi ce poulet? Une farce très goûtue et tendre qui aromatise complètement le poulet avec un moelleux sublime en contraste avec le croustillant de la peau. Un goût peut-être un peu trop corsé pour moi qui ait trouvé qu'il écrasait un peu celui du poulet. Mais définitivement à essayer! Ingrédients : 1 poulet fermier 1/2 botte d’estragon 1/2 bouquet de persil plat 30 g de beurre 1/2 bouquet de ciboulette 2 c à soupe d’échalotes hachées 1 gousse d’ail hachée 50 g de champignons de Paris hachés 50 g de fromage blanc 50 g de lard fumé haché très fin 1 jus de citron Sel et poivre Préchauffez le four à 160 °C (th. 5-6) – il faut éviter de commencer la cuisson à chaleur trop forte pour ne pas risquer de faire craquer la peau du poulet. Détachez ensuite les brins de persil et d’estragon, lavez-les en les séchant bien et hâchez les menus. Faites fondre les échalotes, l’ail et les champignons sur feu doux avec un peu de beurre. Retirez du feu. Incorporez le beurre en pommade aux herbes hâchées et mixez de nouveau (il ne faut surtout pas que le beurre soit fondu, au risque de liquéfier la préparation). Mélangez les deux préparations dans une jatte avec le lard fumé, le jus de citron, le beurre d’herbes, la ciboulette hachée et le fromage blanc. Assaisonnez puis réservez. Entaillez les bords du poulet et décollez la peau du poulet en passant la main entre la peau et la chair en vous aidant de vos pouces et sans oublier les cuisses. Versez la préparation dans un sac alimentaire ou une poche à douille, glissez la pommade d’herbes sous la peau et répartissez-la. Ou bien, comme moi, utilisez une simple cuillère. Faites cuire votre poulet pendant une heure et demie, soit à la broche si vous en avez, soit dans un plat en l’arrosant régulièrement,soit comme moi sur une grille et en laissant le jus du poulet arroser les légumes posés sur un lèche-frite en dessous (une tuerie !).
Source: danslassiettedesautres.blogspot.comLors d'un petit dîner entre amis où nous voulions manger du foie gras et puisque c'était la pleine saison des cèpes, mon mari a eu la bonne idée de trouver sur la toile cette recette de salade . A la base il s'agit d'une recette du chef Michel Guérard, qui est idéale pour une entrée gourmande et savoureuse ! Le mélange des goûts et textures des cèpe cuit et cru se marient à merveille avec le foie gras. La préparation de tous les ingrédients peut se faire à l'avance pour un assemblage à la dernière minute à l'assiette. La recette : 4 pers. Préparation : 20 min Cuisson : 10 min Assemblage : 5 min 300 g de cèpes (d'environ 5 à 10 cm de haut) 150 g de foie gras de canard cru ou cuit 100 g de pousses de salade 4 cs d’huile d’olive 2 gousses d’ail non épluchées 2 branches de thym 1 feuille de laurier 4 cs d’huile de noisette 4 + 1 cs de vinaigre de xérès 20 g de noisettes Fleur de sel et poivre du moulin Nettoyer les cèpes en grattant les pieds et frottant les têtes avec un linge humide ou une brosse, jusqu’à ce que toute la terre ait disparu. Séparer les cèpes en 2 moitiés, en gardant les plus beaux pour les manger crus. Commencer par émincer ceux-là à l'aide d'une mandoline dans le sens de la longueur et réserver les plus beaux morceaux. Couper le reste des cèpes en cubes d'environ 1 à 2 cm et mélanger-les avec les moreaux de cèpes mis de côté après la découpe à la mandoline. Faire chauffer 2 cs d'huile d'olive dans une poêle et y faire dorer 8 à 10 min, les dés de cèpes avec l'ail écrasé grossièrement dans sa peau (à l'aide du plat de la lame d'un grand couteau) , les branches de thym et la feuille de laurier. Cuire à feu vif en remuant souvent pendant 3-4 min puis couvrir et baisser à feu moyen pour encore 4-5 min (pour éviter qu’ils ne se dessèchent) . En fin de cuisson, déglacer avec 1 cs de vinaigre de xérès. Remuer quelques instants sur le feu, puis réserver dans la poêle à couvert. Pendant la cuisson, préparer une vinaigrette avec 4 cs d’huile de noisette, 2 cs d'huile d'olive et 4 cs de vinaigre de xérès. Puis, dresser les fines tranches de cèpes sur une assiette (ils peuvent se chevaucher) et les-badigeonner de vinaigrette à l’aide d’un pinceau. Filmer au contact et réserver au frais. Faire dorer les noisettes à la poêle quelques min à feu vif (en surveillant qu'elles ne brûlent pas) puis les concasser grossièrement au couteau (ou très rapidement à l'aide d'un petit robot) . Réserver. Découper de fines tranches de foie gras (cru ou cuit, mais très froid) , à l’aide d’un couteau pointu (passé sous l’eau chaude) . Filmer et réserver dans une assiette au frais. Au moment du dressage, déposer les pousses de salade sur une assiette et disposer harmonieusement par dessus les cèpes crus et cuits, ainsi les copeaux de foie gras. Assaisonner avec la fleur de sel et le poivre du moulin. Et enfin, décorer avec les éclats de noisettes. Version imprimable de la recette Bon appétit !
Source: agencer-et-mijoter.blogspot.frLa carte courte et changeante de la belle adresse d’Isabelle Caulier et Alexandre Bousquet est une invitation à un retour aux sources du bon et du beau. Alexandre, Chef talentueux passé par de belles et grandes maisons - Guérard, Boyer ou Conte - interprète avec une rare sensibilité et de belle manière les meilleurs produits de la région dont il transcende le goût. En salle, Isabelle nous conte avec poésie les plats qu'elle propose. L’Atelier, une adresse plaisir où le bonheur se veut serein. Ingrédients pour 6 personnes : - 6 pavés de maigre de ligne - 12 à 18 minis carottes fanes - 100g jus de veau - 4 bulbes de fenouil - 100g de beurre - 50g de crème - 100g de pain d'épices - sel, poivre, sucre Purée de fenouil : cuire le fenouil à l'anglaise et le passer au robot-coupe avec le beurre, la crème, le sel et poivre. Carottes fanes glacées : g ratter les carottes puis les glacer avec une noisette de beurre, sel, poivre, sucre et un filet d'eau. Pâte pain d'épices : mixer le pain d'épices et 30g de beurre au robot-coupe jusqu'à l'obtention d'une pâte, l'étaler entre deux papiers sulfurisés d'environ 1 mm d'épaisseur, mettre au congélateur, sortir la pâte du congélateur et tailler des bandes de 8 cm de long sur 2 cm de large, les réserver au frais. Sauce : passer les carottes à la centrifugeuse (en garder une pour le dressage), faire réduire d'un tiers le jus de carottes, ajouter le jus de veau puis les parures du pain d'épices, lier et réserver au chaud. Maigre : marquer les pavés de maigre côté peau à l'huile d'olives, les finir au four préchauffé à 200° environ 5 minutes. Restaurant l'Atelier 18, rue de la Bergerie - 64200 Biarritz Tél. 05 59 22 09 37 www.latelierbiarritz.com
Source: lagazettegourmande.blogspot.comBonne année 2014 ! Cette année, nous avions décidé de passer le nouvel an dans notre nouvelle maison, et d'organiser une soirée gourmande avec une poignée de parents et d'amis proches. Nous voici donc une quinzaine de convives autour d'un menu mémorable : Salade folle inspirée de Maître Guérard : variation très fraîche autour du foie gras, haricots verts croquants, coquille saint-jacques et vinaigrette gourmande Tartare de truite de mer au graines de sésame et citronnelle sur pousses d'Alfalfa Détournement du sorbet au Mojito en trou normand en servant cet onctueux sorbet maison avec un peu de rhum blanc. (J'ai mis à jour ma recette car j'ai acheté une vraie turbine à glace et mis à jour la recette) Rôti de biche (magnifique) sauce au Porto, poêlée de girolles, pointes d'asperges vertes et purée de pommes de terre, d'après une recette canadienne de François Blais Et pour finir, duo de sorbet de mangue et sorbet Poire-vanille Pour en revenir à la recette, objet de ce post, c'est une entrée que nous avions dégustée il y a de cela une bonne dizaine d'année dans le regretté restaurant Shozan, rue de la tremouille, ou un chef alsacien (frithjof wimmer) mais japonisant, mariait avec bonheur cuisine française et japonaise. Ce qui donnait notamment de magnifiques sushis au foie gras qui firent sa renommée. A l'époque, nous avions fait une expérience sympathique : nous avions compilé les différents guides parisiens, et trouvé Le guide avec lequel nous partagions la même appréciation de nos restaurants favoris, en l'occurrence le Gault & Millau. Nous n'avions plus alors eu qu'à piocher les restaurants ayant la même note, au petit bonheur la chance. Le Shozan fut un des premiers élus, mais confortés par l'expérience, il y en eu plusieurs par la suite. J'ai fait cette recette avec une truite de mer, parce qu'au marché ce 31 décembre, je n'ai pas trop eu le choix : le saumon n'était pas très beau et trop gras à mon goût (trop de "persillage" blanc). Je n'ai eu qu'à me féliciter de ce choix, car effectivement, la chair grasse du saumon peut s'avérer un peu écoeurante en tartare, et si vous restez sur du saumon, alors je conseillerais de faire des petites portions genre "Mise en bouche" et prendre les pavés les moins gras (éloigné de la partie ventrale plus grasse). Au contraire, la truite de mer est moins grasse au goût très fin, et sa chair orange possède une belle couleur orange due à son alimentation. Ceci dit, la recette fonctionne également très bien avec du saumon, et j l'ai réalisée plusieurs fois avec beaucoup de succès. J'ai souvent utilisé cette recette en guise de mise en bouche, mais il constitue une entrée à part entière, surtout avec la truite de mer, moins grasse, qui autorise des portions plus grandes. Ingrédients (8 personnes) 500gr de filets de truite de mer ou de saumon 1 cas d'huile de sésame 2 cas d'huile d'olive sel, poivre 1 barquette de pousses Alfalfa (graines germées de Luzerne). On la trouve assez facilement dans tous les rayons Bio de supermarchés ou boutiques spécialisées 1 cas de graines de sésame 1 ccf de sauce soja light ou mieux, de sauce Maggi 1 bol de feuilles de basilic(thaï ou français) - optionnel car pour la décoration uniquement 3 cas d'une tige de citronnelle très finement hachée Préparation émincer très très finement la citronnelle (sinon elle sera désagréable sous la dent) dans une petite poêle, verser 2 cas d'huile d'olive et ajouter 3 cas de citronnelle hachée. A feu doux, faire dorer la citronnelle. Lorsque la citronnelle est dorée, filtrer l'huile. Réserver séparément la citronnelle et cette huile d'olive ainsi parfumée. Préparer les filets : enlever la peau, les arrêtes restantes à la pince à épiler et la partie ventrale si le le poissonnier n'a pas fait tout cela pour vous. Hacher grossièrement la chair (cubes de 5mm d'arête). Placer les filets hachés dans une jatte et saler Dans une poêle, faire griller à sec les graines de sésame sur feu moyen jusqu'à ce qu'elles soient légèrement dorées. En saupoudrer le poisson Ajouter une cas de l'huile d'olive parfumée à la citronnelle, ainsi qu'une cas de citronnelle hachée/grillée Ajouter 1 cas d'huile de sésame dans la jatte, une cas de sauce Maggi (ou sauce soja) et bien remuer sans presser la chair. Corriger l'assaisonnement avec du sel. Couvrir et laisser mariner au moins 20 min au réfrigérateur Séparer les feuilles de basilic de leur branche Faire chauffer de l'huile (arachide ou olive) à thermostat 7. Quand l'huile est chaude, ajouter les feuilles de basilic. Dès que celles-ci deviennent tout juste translucides, les sortir immédiatement dans une passoire. Puis les déposer sur un essuie-tout pour absorber l'huile de cuisson. Astuce : Cela peut demander un petit coup de main pour obtenir une belle coloration des feuilles, notamment par rapport à la température de cuisson de l'huile. Le plus simple est donc de tester sur une feuille jusqu'à ce que vous obteniez le résultat escompté. Alors seulement vous pourrez réitérer l'opération avec les feuilles restantes. Sur une assiette, faire un petit cylindre de tartare Déposer dessus un étage de pousse d'Alfalfa Puis déposer dessus un peut de feuilles de basilic frit Servir avec éventuellement une rondelle de citron pour ceux qui souhaitent en ajouter.
Source: khatran.blogspot.comSans aucun doute la meilleure, et j'en ai testé un certain nombre, pour la plupart de cuisiniers illustres ! On peut donc s'y fier sans le moindre doute, à condition de respecter les consignes à la lettre. Un détail qui a son importance : au tout début, lorsque le beurre vient juste d'être enveloppé par la détrempe, je n'étale pas la pâte en "roulant" le rouleau mais en tapotant pour éviter que les différentes couches ne se percent. Il faut y aller très délicatement. Pour un visuel détaillé, se reporter à la pâte feuilletée de "tous les jours" . Ingrédients Détrempe 250 g de farine 50g de beurre ramolli 120 g d’eau 7 g de sel Beurrage 250g de beurre Farinage Poignées de farine Confection de la détrempe : Verser dans un bol 250 g de farine, 50 g de beurre ramolli, le sel et l’eau. Mélanger à la fourchette jusqu’à ce que les ingrédients se réunissent en boule, sans insister. Prendre la pâte, l’aplatir légèrement à la main et quadriller sa surface en l’incisant légèrement au couteau pour rompre l’élasticité. Glisser la pâte dans une poche plastique et laisser reposer 2 heures au frigo. Emballer le beurre dans du film plastique en lui donnant la forme d’un carré de 15 cm de côté et mettre au frais. Beurrage de la détrempe : Sortir le beurre 10 minutes avant le tourage. Fariner légèrement le plan de travail, y étendre la détrempe au rouleau et lui donner la forme d’un carré de 25 cm de côté. Poser au centre le carré de beurre aplati en le plaçant perpendiculairement en losange. Replier soigneusement dessus les quatre triangles de détrempe laissés apparents par le losange de manière à donner l’aspect d’une enveloppe. Le beurre se trouve prisonnier de la détrempe. Pliage de la pâte : Fariner à nouveau le plan de travail et tapoter délicatement au rouleau l’enveloppe, sans trop appuyer. On obtient progressivement une bande de 25 cm de largeur sur 50 cm de longueur. La replier en trois sur elle-même, formant ainsi un nouveau rectangle de 17 cm sur 25 de longueur : le 1er tour vient d’être donné. Faire pivoter ce rectangle d'un ¼ de tour sur lui-même dans le sens des aiguilles d’une montre et l’allonger de nouveau au rouleau, toujours en tapotant devant soi pour donner une bande de 17/25 cm. Seuls les plus expérimentés peuvent utiliser le rouleau normalement. Replier la bande sur elle-même : le 2nd tour est donné. Glisser la pâte dans la poche plastique et laisser reposer ½ h au frigo. La sortir du froid et donner 2 autres tours en procédant comme pour les deux premiers. Etaler la pâte avec souplesse, sans trop enfoncer le rouleau ce qui aurait pour effet de faire passer le beurre au travers et nuirait au développement. Laisser reposer ½ h au frais, donner les deux derniers tours et détailler la pâte après un dernier repos de 30 min. Trancher net la pâte avec un couteau non cranté en quatre parts. Congeler ce qui reste.
Source: cuisinedisca.blogspot.fr