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  C'est toujours sympa de ressortir des vieux livres de cuisine et celui vient de ma grand-mère . Il s'agit de celui de Michel Guérard "mes recettes de la télévision" , c'était un précurseur loin de se douter qu'il y aurait par exemple une chaîne de télévision comme Cuisine TV dédiée qu'à la cuisine ... Un terrine , c'est assez pratique pour un buffet , un pique nique ... facile à faire et en plus elle peut être préparée 2/3 jours à l'avance .  pour 8 personnes : 500 gr de foies de poulet 200 gr de poitrine fraîche de porc 200 gr de chair à saucisse 4 feuilles de laurier 4 branches de thym 1 oeuf 40 gr de mie de pain pour la marinade : 5 cl de cognac 5 cl de porto rouge 10 gr d'ail haché 1 cuil à café de fleurs de thym 1 grosse pincée de muscade 10 gr de sel poivre La veille préparez les viandes pour les faire mariner . A l'aide d'un petit couteau , coupez les foies de volaille en 4  , profitez en pour les nettoyer . Déposez les dans un récipient  (qui ferme avec un couvercle) . Ajoutez la chair à saucisse . Coupez la poitrine de porc en petits cubes , ajoutez dans le saladier avec la mie de pain émiettée , l'oeuf et tous les ingrédients de la marinade . Mélangez bien , couvrez et laissez mariner toute une nuit au frais .  Le lendemain allumez le four à 220 °C. Hachez rapidement le mélange de viandes pour ne pas avoir de trop gros morceaux (je plonge rapidement le mixer dans le saladier ) . Mettez une cuillère à café de terrine crue dans un petit bol et faites cuire 20 secondes au micro ondes pour vérifier que la terrine est assez salée . Garnissez une terrine avec les viandes marinées . Déposez 2/3 feuilles de laurier sur le dessus . Faites cuire à couvert 1H45 au bain marie . Sortez du four et laissez refroidir 3 heures à température ambiante avant de la mettre au frais minimum une nuit .

Source: ondinecheznanou.blogspot.com

Cette fois nous retrouvons Olympe Versini, qui s'est prêtée avec gentillesse et humour à ma petite interview. Direction Casa Olympe , 48 rue Saint Georges. J'avais rencontré Olympe lors d'un dîner, et vous aviez pu découvrir une petite recette qu'elle avait accepté de partager, le Croque-Olympe. Mais ce serait bien malheureux de réduire notre Olympe à cela! Première femme à avoir eu une émission culinaire à la télévision et à la radio, étoilée par le "Guide Michelin", elle a tourné le dos à cette vie pour se consacrer à une cuisine plus généreuse et authentique.  Bernard: Qu'est-ce qui amène une jeune fille de 23 ans, dans les années 70 à ouvrir un restaurant et sans le vouloir, à décrocher une étoile? Quels sont vos antécédents? Olympe: Mon père se met à la cuisine par goût à 53 ans, alors qu'il était avocat. Ça fait un gros changement! Ma mère cuisine bien, mais pas pour un restaurant. Elle avait une auberge dans le sud et a arrêté de travailler à l'âge de 88 ans. J'avais des grands-mères qui cuisinaient, aussi bien du côté de ma mère avec des ascendants italiens, que du côté de mon père, plutôt corses. Tout cela joue dans ma culture et je ne me suis absolument pas préparée à ouvrir un restaurant. C'est le hasard qui fait que j'achète une boutique rue du Montparnasse et qu'à la suite de cela, j'ouvre un restaurant, alors que je voulais travailler dans la mode.  N'est-ce pas difficile au début de cuisiner pour son restaurant sans vraiment connaitre le métier? Car cuisiner pour soi et cuisiner pour des clients n'est pas vraiment pareil! C'est pas du tout la même chose, donc je cuisine comme chez moi. Je pense que c'est pour cette raison que ça fonctionne. C'est tellement nouveau! A l'époque c'est la nouvelle cuisine... Je commence en 1973, on ne parle que de cela. Et la manière dont je cuisine, ça rentre dans les cases de cette époque car je n'ai justement pas appris la cuisine. Je ne fais pas des choses compliquées parce que je n'ai pas le temps, donc je fais des choses "minute", ce qui est nouveau aussi.  Y a-t'il beaucoup de femmes, à cette époque, qui cuisinent? Non, il y a peu de femmes, il y en a toujours peu d'ailleurs. Il y a Darroze et cetera mais il y en a pas beaucoup plus qu'avant. À l'époque il y en a peu et en plus elles sont âgées. A Lyon, il y a les "mères"  comme Madame Brazier. À Paris il y a des femmes qui ont des restaurants qui sont réputés. Il y en a une qui a mon âge ou un tout petit plus âgée, mais sinon ce sont des femmes plus âgées. Dans la capitale, il y a six ou sept femmes qui sont connues, c'est tout. Qu'est ce que pour vous la grande cuisine? Je trouve que le mot "grande cuisine" est un peu démodé. Ça me fait penser un peu à la cuisine des années cinquante. Alors que la cuisine aujourd'hui, peut être comme celle de Ferran Adria qui est une cuisine très moderne. On n'emploie plus ce terme. Mais je ne me suis jamais vraiment posée la question. Je pense que le principal de la cuisine, c'est qu'elle doit être bonne, avec des bons produits et laisser à chacun la liberté de la concevoir, un peu comme Thierry Marx et sa cuisine très moderne. Mais je suis toujours étonnée. Car c'est une cuisine moderne dans la présentation, mais finalement dans le goût, ça reste toujours la même chose. Si Ferran Adria il y a 10 ans fait des petit pois, en réalisant une restructuration de petits pois très complexe à la fabrication,  c'est en fait pour retrouver le petit pois. C'est pour retrouver un liquide enrobé qui a le goût de petit pois. Je trouve que c'est assez marrant de le goûter une fois, deux fois. Mais ce que j'aimerais, c'est que l'on me donne d'autres goûts. Et d'autres goûts, je n'en connais pas! J'ai toujours découvert des goûts, même dans cette cuisine extrêmement moderne, mais qui reste toujours des goûts que l'on connait. Il faudrait que ce soit plus innovant, dans des goûts inconnus. Je pense qu'ils sont trop vieux pour chercher ces goûts! Vous dites que ce qui compte dans la cuisine c'est avant tout "le produit, de nouveau le produit... et la cuisson!". Est-ce vraiment tout et n'importe qui peut-il cuisiner avec ces éléments? Encore le produit! Et non, si on donne de bons produits à quelqu'un qui ne sait pas cuisiner... Et je pense qu'il faut justement savoir cuisiner pour maîtriser la cuisson. Et ça, ou c'est inné ou alors on l'apprend. Mais c'est assez complexe, c'est la chose qui est la plus difficile. Et apprendre à maîtriser la cuisson, ça veut dire quoi? Ca veut dire arriver à donner au maximum de personnes, la même cuisson pour tout le restaurant, ou la cuisson choisie par le client. Et d'ailleurs mon goût, avec le temps, a changé. Je vais vers des cuissons plus cuites aujourd'hui. Pour mon goût personnel. Pourquoi je ne sais pas! Mon goût change et il y a des produits qui ne sont plus ce que j'ai connu, alors je les préfère un peu plus cuits etc... Mais le goût pour des jeunes d'aujourd'hui, reste quand même dans leurs têtes, une cuisine où les produits ne doivent pas être trop cuits. Et même cela n'est pas évident. Donc on peut rater la cuisine à cause de la cuisson, malgré de bons produits. Mauvaise nouvelle donc! (rires) En 1993, vous avez changé complètement de cap. Vous avez ouvert "Casa Olympe", qui était un restaurant tenu à l'époque par une dame de 84 ans, le "Casa Miguel". Vous avez donc tourné le dos à cette vie assez médiatisée, la radio, la télévision, la fameuse "étoile". N'y a-t'il jamais eu de regret?  Ah non, il n'y jamais eu absolument aucun regret. Car c'est très prenant. Si on veut atteindre un trois étoiles, il faut beaucoup d'investissement. Et ça ne m'intéresse pas de donner de l'argent aux banques. Je n'ai pas une famille qui m'a laissé des restaurants ou des choses comme ça! Je n'avais pas les moyens, et il faut être deux, car c'est extrêmement complexe. On est un peu prisonnier de son travail et moi, je n'ai jamais eu envie d'être prisonnière de rien. Je me suis trouvée beaucoup mieux dans cette restauration que je fais aujourd'hui. Et à l'époque, en 1993, les cartes "menu", les restaurants à tendance "bistrot", la cuisine servie dans la cocotte, tout cela était nouveau. J'avais même eu une photo, pour un article sur mon restaurant, avec une cocotte dans le Figaro! Servir la cuisine dans le plat dans lequel elle a été préparée, c'était nouveau pour beaucoup de monde. Une de vos passions est la lecture. Est-ce vrai que vous ne consultez jamais de livres de cuisine? Oui c'est vrai, je n'ai jamais lu de livre de cuisine au complet. Mon père m'avait mis dans la tête de lire les recettes d'Ali Bab (Gastronomie Pratique). Je les ai donc consultées, mais elles sont extrêmement complexes. Car c'est une cuisine que l'on ne fait plus. Il fallait cuire 4 lièvres pour faire une sauce... En revanche, il m'arrive d'acheter des livres de cuisine, uniquement pour les images. Mais j'ai donné toute ma bibliothèque de livres de cuisine, je l'ai distribuée. Je consulte encore un peu des magazines culinaires aussi, mais toujours pour les photos. Ça me donne des idées. Ça ne me donne pas l'idée de la recette, mais l'idée d'un produit, d'une présentation.  C'est donc plus visuel que la vraie lecture d'une recette. J'ai essayé des recettes de pâtisserie, parce que ce n'est pas mon fort. Mais je n'ai rien compris! (rires) Certains des tableaux présents dans la salle de Casa Olympe, ont été peints par votre maman. Vous peignez également. Y a-t'il pour vous un parallèle entre la création d'un tableau et la cuisine? Oui! Ma maman était peintre. Depuis toute petite, j'ai baigné dans les odeurs d'huile de lin et autre peinture... Je n'ai pas appris le mélange des couleurs. Je n'ai pas de mémoire, je suis incapable de me souvenir du nom d'une couleur que j'ai mélangée. Je ne le retrouve qu'en le voyant et c'est en mélangeant que je trouve les couleurs qui m'intéressent. C'est assez facile, j'arrive à recréer une couleur, si je sais ce que je veux. Et c'est un peu comme travailler des épices. Ça ressemble à ça. On mélange les odeurs pour obtenir un produit avec lequel on va travailler. J'aime beaucoup les couleurs comme j'aime les épices, mais je mets moins d'épices qu'auparavant. Je voudrais arriver à faire une cuisine sans épice et sans herbe. Ce n'est pas évident, mais petit à petit j'y arrive.  Vous adorez voyager. On sait qu'il y a trente ans, ces voyages influençaient beaucoup votre cuisine. Est-ce toujours le cas aujourd'hui?  Les voyages m'influencent beaucoup moins, car quand j'ai pris ce lieu, je n'ai pas voulu de notes exotiques dans la cuisine. Je ne veux pas , quoique j'aime beaucoup, que l'on retrouve dans ma cuisine des influences de Thaïlande ou de Chine. Je veux éviter cela. Mais à l'époque oui beaucoup! C'était d'abord le Japon pour ses modes de cuisson, ses découpages et ses techniques, plus bien sûr, que pour ses épices. Je suis allée assez peu en Asie, hormis le Japon. mais comme j'aime beaucoup aussi la cuisine chinoise, on pouvait retrouver ses influences dans ma cuisine. Mais aujourd'hui c'est ce que je veux éviter.  Y a-t'il un chef, homme ou femme, en France ou à l'étranger, que vous admirez aujourd'hui?  Je suis allée il y a plus de dix ans chez Ferran Adria et j'avais beaucoup aimé. Cela m'avait beaucoup plu,  dans le goût et dans l'idée de la présentation. Je n'y suis pourtant plus retournée depuis 2000. Quant à admirer... j'admire très difficilement, surtout les cuisiniers. J'ai eu bien sûr beaucoup d'admiration il y a longtemps, mais maintenant je ne sors plus dans les restaurants. Je vais chez des copains dont j'aime bien la cuisine. Je ne fréquente pas vraiment le milieu. Il y avait dans les années 80, Frédy Girardet, qui était à Crissier en Suisse que j'aimais beaucoup et Jean-Marie Amat à Bordeaux. Ils étaient des cuisiniers qui m'avaient marquée étant jeune, et qui étaient vraiment intéressants.  Vous étiez la première femme en France à avoir une émission culinaire dans les années 70. Comment cela se passait-il à l'époque? Quel regard portez-vous sur l'hyper-médiatisation d'aujourd'hui de la cuisine, que ce soit des blogs comme moi, les livres, les magazines, les sites, les chaines et les émissions de télévision? Sur la médiatisation télévisuelle: c'est vrai qu'à l'époque j'étais la seule femme. Il y avait des hommes, comme Raymond Oliver, son fils, Michel Oliver et Michel Guérard. C'est tout et moi j'arrive, la quatrième, une femme, qui fait des émissions de télévision. J'ai fait ça pendant quatre ans et je faisais ça en direct! On me disait : "aujourd'hui tu as onze minutes". La fois d'après c'était neuf minutes, et il fallait que je me débrouille pour faire une recette et la faire comprendre aux téléspectateurs. C'était très complexe, mais ça fonctionnait pas trop mal. Et pourtant je n'ai jamais été trop fan de la télé. J'aimais beaucoup la radio. Il y avait trop de stress à la télévision.  Pour la médiatisation d'aujourd'hui, c'est vrai qu'il ne faut pas avoir peur du ridicule. Ça ne m'intéresse pas en tant que spectatrice pour apprendre quelque chose. Je trouve que ces émissions comme "top chef"n'ont pas beaucoup d'intérêt. Ce n'est pas la réalité. Quand les chefs se mettent à gueuler comme à l'armée, cela devient du guignol. Il faut savoir être autoritaire en cuisine, mais pas de cette façon! Pour les blogs: je ne savais pas ce que c'était, car je n'en regarde jamais. J'en ai découvert quand nous nous sommes rencontrés (Diner par Lagostina). Je dois dire que je prenais les blogueurs de cuisine pour des pseudo journalistes. Je ne connaissais pas. Maintenant j'ai compris que c'est complètement différent. Ce sont des gens qui aiment vraiment ce qu'ils font, qui le partagent et qui en même temps,  sont complètement détachés de la chose, car ils ne gagnent pas d'argent avec leurs blogs. Ils le font vraiment pour le plaisir et sont plutôt sympathiques. Donc c'était plutôt une agréable découverte. Ce qui m'a donné l'idée de faire peut être un blog à partir de la rentrée. Ce serait pour raconter des choses, qu'en tant que cuisinière j'approche plus que vous. Je ne dis pas que ce sera tout le temps car c'est un vrai boulot, et je n'ai pas vraiment le temps, mais peut être des humeurs avec des idées de recettes, plus que de vraies recettes. J'en ai marre d'écrire des recettes! (rires) Comme j'adore faire de la photo! Cela fait cinq ans que je m'y suis mise, mais je ne veux pas apprendre, comme pour la cuisine.  Auriez-vous un message ou un conseil à faire passer aux lecteurs de mon blog?  Quand on a une passion pour la cuisine, il faut tout d'abord persévérer. Il ne faut rien craindre et il faut faire comme on aime. Je fais d'ailleurs la photo et la cuisine comme cela. Même sans savoir, en aimant, en ayant son "oeil", qui sera différent des autres. Et parfois les grands cuisiniers ne sont pas si grands que cela... Je finirai avec ça! (rires) Ils se croient parfois très grands, mais ils sont plutôt...lourds! Donc tout le monde peut encore cuisiner!  Merci à Olympe pour cet entretien! N'oubliez pas de consulter le Croque-Olympe:

Source: lesrecettesdebernard.blogspot.com

Mémoire terminé, plaisir retrouvé! Enfin j'ai pu reprendre place en cuisine après plusieurs semaines d'inactivité à cause d'un mémoire, qui a quand même pour thème l'alimentation. Heureusement pour ma motivation! Bref petit moment de relâche qui me permet de vous proposer cette nouvelle recette aux fruits et légumes de saison. Cette recette est inspirée de mon dernier achat de livre de cuisine en date. L'été arrive, alors oui ce n'est pas un scoop de dire que beaucoup d'entre nous cherchent à perdre un peu par-ci par-là. Oui mais en ce qui me concerne, en tant que bonne vivante, manger mieux oui manger moins sûrement pas! Le principal étant de se faire plaisir en n'ayant pas l'impression de se priver, donc d'être frustrée, donc d'être insupportable avec notre entourage! ^^ Oui oui ça peut déteindre, voila pourquoi ce livre me semble être une des clés pour profiter sans complexe! Ce livre: Minceur Essentielle du chef aux 3 étoiles Michel Guérard.  Des recettes pour tous les jours avec des produits divers, variés et gourmands. Même si le mot "Minceur" est mentionné dans le titre, aucune recette composant ce livre ne se rapporte à quelconques régimes. Seul le nombre de calories par recette est mentionné. Pour le gazpacho qui suit j'annonce la couleur: 75calories! Alors tous à vos notes... Ingrédients pour 4 personnes 800g de tomates mûres 240g de fraises (gariguette au printemps) 1c.c de concentré de tomate 4 bouquets de basilic frais 1c à s de vinaigre de xérés 1c à s de vinaigre balsamique 2c.à.c d'huile d'olive sel & poivre Enlevez délicatement le pédoncule des tomates avec un petit couteau pointu. Les blanchir quelques secondes dans une casserole d'eau bouillante. Les retirer et les plonger dans un récipient d'eau glacée. Mondez les tomates (enlevez la peau des tomates) facilement.  Lavez et équeutez les fraises. Les mettre dans un mixeur avec les tomates préalablement coupées en quartier. Ajoutez le concentré de tomate. Mixez le tout jusqu'à ce qu'un mélange homogène se forme. Passez le mélange au chinois. Mélangez dans un ramequin les deux vinaigre, l'huile d'olive, le sel et le poivre. Réservez au frais.  Servez frais agrémenté de quelques feuilles de basilic si vous voulez et de quelques gouttes d'huile d'olive supplémentaires. Pourquoi pas ne pas réaliser des croutons de pain maison à tremper dans le gazpacho? J'en profite d'ailleurs pour participer au concours Fraîch' Attitude organisé par Emilie Il est encore temps de participer alors n'hésitez pas! Rendez- vous sur le blog d' Emilie !

Source: saveurs-espiegles.blogspot.com

Aujourd'hui je vous propose une recette qui est issus de la cuisine turc, le confit bayaldi, un plat inventé en 1976 par Michel Guérard. C'est une version plus raffinée et plus contemporaine de la ratatouille. Ce plat est tiré d'une recette d'origine turc "imam bayildi" une recette composée d'aubergine. j'ai donc fait ce bayaldi agrémenté de gambas flambées au rhum, un pur délice simple et efficace. Avec cette recette je participe au kkvkvk 46 organisé par du miel et de la guimauve je vous mets le lien ci-après n'hésitez pas à participer!! pour participer c'est ici Ingrédients pour 4 personnes  : bayaldi   -3 petites tomates   -1 petite courgette   -2 mini aubergines gambas   -20 gambas   -2 c à soupe de crème fraiche épaisse   -1 échalote ciselée   -1 pincée de piment d'espelette   -1 botte de coriandre coupée finement   -15 cl de rhum blanc   - huile d'olive, sel et poivre Préparation  : trancher finement les aubergines, la courgette, et les tomates en rondelles semblables. Poelez-les séparément à l'huile d'olive, assaisonnez, puis dressez en petits domes sur une plaque de four recouverte de papier sulfurisé. réservez. Retirez les boyaux des gambas en les incisant légèrement sur le dessus. Poelez les gambas à l'huile d'olive de chaque coté. Ajoutez l'échalote, la coriandre et le piment d'espelette. Flambez au rhum puis ajoutez la crème. Rectifiez l'assaisonnement. Passez les légumes 5 minutes au four à 160 degrés. Disposez les gambas tout le tour de l'assiette arrosées de leur sauce déposez au milieu le bayaldi de légumes et parsemez d'un peu de coriandre. Je vous souhaite une bonne dégustation et je vous dit à très bientot pour un autre voyage culinaire.

Source: pimentetchoco.blogspot.com

1 personne, 4 pp, 3 flexip. 100g de carottes50g de champignons blancs 50g de céleri rave- le tout rapé 1cs de vin blanc un peu de lait écrémé sel et poivre 10 g de poisson maigre ou 100 g de filet de poulet Râper les légumes. Mettre le poisson ou la viande avec les légumes,un peu de lait ,le vin , le sel et le poivre cuire à feu doux(pas trop longtemps). Réserver la viande ou le poisson au chaud, mixer les légumes jusqu'à obtention d'une sauce mousseuse.

Source: fragoline-mespetitsplaisirs.blogspot.com

Chaleureuse atmosphère de maison de famille où la cuisine ne trompe pas son monde, Le Clos Basque inventé par l'adorable Béatrice Viatteau est désormais aux mains d'Edgar Duhr, cuisinier ouvert et enthousiaste dans la lignée des Chefs du Pays Basque dont les adresses s’échangent par le bouche à oreille. Même si sa réputation n’est plus à faire, il est bon de rappeler que notre Chef, passé par les cuisines de belles maisons comme celles de Michel Guérard avant de s'offrir quelques escapades parisiennes pour mieux revenir à Biarritz. Adepte du marché quotidien, il renouvelle sa carte au fil des jours en se donnant un mal fou pour tenir ses prix sans lâcher sur la qualité et offrir des propositions de belles factures mais raisonnablement facturées. Edgar travaille les légumes et les fruits en fonction des saisons, le poisson quand il est bon et le gibier quand il est frais. Maison d’autrefois, mais non pas du passé, Le Clos Basque d'Edgar Duhr est une maison de toujours, jeune à jamais, car loin des modes. Ingrédients pour 4 personnes : Pour le Txangurro de crabe : - 150g de chair de crabe cuit - 50g d’oignon - 75g de blanc de poireaux - 1 grosse tomate - 1 cuiller à café de Pastis - 1 cuiller à café de Cognac - 5cl d’huile d’olive - 1 cuiller à soupe de persil plat - Sel, poivre, piment d’Espelette Pour le yaourt d’artichaut : - 200g de fonds d’artichaut cuits - 80g de yaourt nature - 4cl d’huile d’olive Pour la tartine croustillante : - 4 tranches de pain baguette - 50g de petites girolles fraîches - 4 artichauts bouquet - 1 gousse d’ail - 3cl d’huile d’olive - 20g de beurre - ½ tomate - 2 tranches de jambon Ibaïona Préparation de Txangurro de crabe : Ciseler l’oignon, couper en petits dés le blanc de poireau, tailler la tomate en petits cubes. Dans un petit sautoir faire fondre l’oignon et le poireau avec l’huile d’olive, saler, poivrer. Ajouter la tomate et la chair de crabe. Compoter le tout à petit feu 3 mn. Déglacer avec le Cognac et le Pastis. Refaire cuire 2 mn, ajouter le persil haché et le piment d’Espelette. Faire refroidir. Préparation des yaourts d’artichaut : Dans le bol du mixer verser l’artichaut taillé en petits morceaux, ajouter le yaourt, l’huile d’olive, du sel, du poivre et du piment d’Espelette. Mixer le tout pour obtenir une purée fine et onctueuse. Préparation des tartines croustillantes : Dans une poêle chaude verser les girolles avec le beurre et cuire rapidement, saler, poivrer. Réserver au chaud. Dans la même poêle cuire les artichauts bouquet émincés, avec l’huile d’olive. Saler, poivrer. Réserver au chaud. Toaster les tartines de pain Pour la finition : Quelques chips de pomme de terre vitelotte, 4 brindilles de pourpier, et de la fleur de sel. Dressage : Répartir dans 4 pots en verre à yaourt le txangurro. Verser dessus l’appareil de yaourt d’artichaut. Décorer de quelques chips de pomme de terre vitelotte, de pourpier et d’une tranche d’artichaut poêlée. Frotter les tartines avec la gousse d’ail, puis avec la tomate (comme en Espagne). Disposer dessus harmonieusement les girolles et les tranches d’artichaut bouquet. Finir par la fleur de sel et le jambon taillé en lichettes. 12, rue Louis Barthou 64200 Biarritz Tél. 05 59 24 24 96

Source: lagazettegourmande.blogspot.com

Cette recette est à la base une recette du chef Michel Guérard, qu'il a publié dans son livre minceur essentielle. Il emploie du fructose, mais personnellement c'est un substitut qui n'est pas très recommandable du fait qu'il est maintenant connu pour provoquer des cirrhoses du foie. J'ai donc employer de la stévia, mais si vous n'aimez pas le goût, le dosage en fructose reste le même. 4 personnes, 1 pp Pour l'aspic: 0 pp 250 g de fraises 1 dl d'eau une belle poignée de feuilles de menthe fraîche 2 cs de stévia cristallisée 2 feuilles de gélatine ou 2 g d'agar agar 250 g de fraises Pour le biscuit: 1 pp le biscuit 14 g de beurre 41 % 30 g de farine 1 cs d'eau 1 cs de stévia ou sucre glace (+ 1 pp) Pour le sorbet: 0 pp 500 g de fraises 1 jus de citron 1 dl d'eau 4 cs de stévia 1 blanc d'oeuf La veille, préparer le sorbet: Mixer les fraises et le citron. Dans un poêlon, faire chauffer l'eau et la stévia,afin que celle-ci se dilue, attention ne pas laisser évaporer le liquide. Verser sur les fraises et mixer à nouveau. Verser dans une bouteille propre et la réserver au réfrigérateur 12 heures. Le lendemain, ajouter le blanc d'oeuf battu en neige. Passer à la sorbetière ou mettre au congélateur dans une boîte et remuer toutes les 2 heures avec une fourchette. Réserver au congélateur. Il restera certainement un peu de sorbet mais comme il ne compte pas de pp, cela n'a pas d'incidence sur les pp de la recette. Préparer l'aspic: Faire chauffer de l'eau dans une casserole sur laquelle vous pourrez adapter un saladier afin de faire un bain-marie. Equeuter les fraises, laver la menthe. Mettre tout les ingrédients dans le saladier. Le poser sur la casserole d'eau bouillante, puis baisser le feu afin de laisser l'eau à frémissement. Couvrir et laisser cuire 20'. Retirer la menthe. Filtrer au chinois et verser 20 cl de jus de fraises dans un poêlon;* Si vous employez de la gélatine, la faire tremper 5' dans de l'eau froide, puis l'ajouter au jus chaud après avoir retiré le poêlon de la source de chaleur. Si vous utilisez de l'agar agar, faire chauffer le liquide à frémissement, verser l'agar agar, mélanger et maintenir le frémissement 2'. Pendant que l'infusion cuit, équeuter et couper les fraises en dés de 1 cm. Les disposer dans des petites coupelles ou comme je l'ai fait dans des moules à muffins; Verser l'infusion dessus, laisser refroidir puis réserver 4 heures au réfrigérateur. * Les fraises infusées serviront à aromatiser un fromage blanc ou un yaourt. Préparer les biscuits/ Passer le beurre 5 secondes au micro-ondes, il ne doit pas fondre, juste ramollir. Lui incorporer le reste des ingrédients. Préchauffer le four à 180°. Etaler la pâte soit comme le chef à la spatule sur du papier sulfurisé. Soit poser un deuxième papier sur la pâte et étaler au rouleau. Le chef préconise une épaisseur de pâte de 2 mm, mais personellement pour obtenir 4 petits cercles, j'ai du étaler plus finement. Pour le 4eme cercle, j'ai récupérer quelques chutes afin de retailler un beau cercle. Tailler les cercles à l'aide d'un petit emporte pièce de la grandeur du fond des aspics. Enfourner pour 7', puis laisser refroidir. Démouler les aspics délicatement sur les cercles, poser sur chque aspic 1 quenelle de sorbet formée avec 2 cs. Garnir de menthe, d'une fraise, de fleurs er de jeunes feuilles de fraises. La petite fleur sur le sorbet est un oeillet comestible. On peut bien sur se contenter de l'aspic ou du sorbet seul pour 0 pp. Pour l'infusion, on peut utiliser des fraises déclassées parce que mal formées ou autre, mais en veillant toutefois à ce qu'elles ne soient pas gâtées.

Source: fragoline-mespetitsplaisirs.blogspot.com

L’engouement et la curiosité dont vous avez fait preuve en ce qui a trait à la betterave jaune m’a incitée à cuisiner ce légume ensoleillé de nouveau. En 2007, Pierre Gingras, journaliste à La Presse écrivait ceci au sujet de ce légume racine : Mise en marché dans les années 40 par la firme américaine Burpee, la «Burpee's Golden» est la plus connue des betteraves à chair jaune. Elle est délicieuse, une des meilleures selon moi. Très prisée en restauration, on la retrouve rarement sur les étals et habituellement elle se vend à prix élevé, probablement parce que les graines sont les plus chères, du moins quand on les achète en grande quantité. Le taux de germination est aussi un peu plus faible que chez les autres variétés. Pourtant, elle est facile à cultiver. Sa peau est orangée, ses dimensions moyennes, et on peut la cueillir après les premiers gels d'automne. Sa chair, jaune ou orangée, est parfois dotée de traits foncés circulaires, un peu comme le bois d'un arbre. Elle conserve sa saveur exquise et très sucrée même quand il s'agit de gros spécimens. On retrouve d'autres cultivars de betteraves jaunes sur le marché mais leur origine est obscure. Il s'agit probablement de variantes de la «Burpee's Golden» ou encore de la même variété commercialisée sous un autre nom. Les betteraves jaunes existent depuis au moins 200 ans, mais à l'époque elles servaient de fourrage. Les semences sont relativement faciles à trouver. Source, cliquer ici . Sept ans plus tard, les betteraves jaunes sont maintenant plus faciles à trouver sur les étals québécois. L’hiver, on les retrouve en feuilles au supermarché, en provenance des États-Unis, mais celles avec lesquelles j’ai réalisé mon entrée d’aujourd’hui proviennent du Québec, donc cueillies l’automne dernier. Les méthodes de conservation très pointues en vigueur de nos jours permettent d’offrir sur le marché des légumes parfaits en goût, même quelques mois après leur cueillette. Si dans votre région, la betterave jaune est difficile à trouver, il n’est pas trop tard pour semer quelques graines de ce légume racine dans votre potager, avril et mai étant les bons mois pour le faire, lorsque le risque de gel est disparu. La recette que je vous propose dans ce billet en est une du chef Daniel Vézina . En principe, un carpaccio doit se réaliser à partir de produits crus. Comme dans ma préparation les betteraves tranchées finement sont cuites, il aurait été erroné, il me semble, de nommer ce plat carpaccio, comme le propose le chef Vézina, d’où l’entourloupette dans mon titre. Vous connaissez la sauce vierge? Cette sauce froide très simple, mais tellement goûteuse, à base d’huile d’olive extra vierge, de tomates, d'ail ou d'échalote sèche, de fines herbes, de jus de citron ou de vinaigre a d’abord été créée pour accompagner le poisson. Maintenant, on en a fait plusieurs versions qui rehaussent aussi bien les viandes que les légumes. Pour ce qui est de l’origine de son nom, l’auteure du blog Autant que ce soit bon reprend pour amuser ses lecteurs cette explication plutôt farfelue : Les explications se perdent en conjectures. D’aucuns y vont pour le fait que la sauce est à la base d’huile d’olive non seulement vierge, mais extra vierge. Pragmatique, mais peu imaginatif. (Et puis, logiquement, ça se serait appelé sauce «extra vierge», non?!) D’autres avanceront que c’est là une recette mise au point pour la reine Elizabeth, la première du nom, réputée pour avoir traversé la vie dans cet état premier (plutôt que… second) (d’où la «Virginie», nommée en son honneur). Résistez à cette explication. D’abord, la sauce vierge est une invention résolument méridionale — qui n’a absolument rien à voir avec la Margaret Thatcher Tudor. Ensuite, comme disait le brave père jésuite à un parterre de religieuse en commentant le règne de cette dernière: «Entre nous soi dit, mes sœurs, elle était aussi peu vierge que vous et moi… Mais c'est ici qu’on trouve véritablement la réponse, de la bouche même de l’auteur, le chef français Michel Guérard, qui a révélé à Julie Andrieu pourquoi il avait baptisé ainsi cette sauce : Par curiosité, j’ai demandé à Michel d’où venait cette fameuse sauce. À ma grande surprise, il m’a confié l’avoir inventée à ses débuts et appelée «vierge» en référence à la qualité de l’huile utilisée. Me voilà donc dépositaire d’un scoop de plus! Betteraves jaunes à la manière d'un carpaccio et sa sauce vierge 2 portions 1 betterave jaune assez grosse, cuite 1 betterave jaune crue Sauce vierge : 25 ml d'huile d'olive extra vierge 1/2 c. à soupe (8 ml) de vinaigre de vin rouge 1/2 échalote sèche hachée finement 1/2 gousse d'ail hachée (pas mis) 1/2 tomate, épépinée et coupée en brunoise 1/2 c. à soupe (8 ml) de ciboulette hachée 1/2 c. à soupe (8 ml) d'estragon haché quelques gouttes de jus de citron sel et poivre Cuire la plus grosse betterave jaune non épluchée, à grande eau, à mi-couvert, entre 25 et 30 minutes. Laisser refroidir la betterave dans l'eau froide quelques minutes. L'éplucher et la couper en tranches de 4-5 mm avec une mandoline. Tapisser une assiette avec les tranches de betteraves, sans les superposer (il est préférable de les tailler si nécessaire). Préparer les ingrédients de la sauce vierge à l'avance. Juste avant de servir combiner tous les ingrédients de la sauce, assaisonner et bien mélanger. Tailler une partie de la betterave crue en juliennes ou en spaghetti et déposer dans l'assiette. Verser la sauce vierge sur les betteraves et servir.

Source: augredumarche.blogspot.com

Le repas de Noël s'est bien passé. Je n'ai pas innové cette année, avec un menu très classique : Huîtres (excellentes Utah Beach) Araignées de mer avec sa mayonnaise verte et ses endives Saumon fumé sauce Gravelax Salade gourmande de Michel Guérard (foie gras, saint-jacques, haricots verts et mesclun) Carpaccio de Boeuf aux truffes Trou normand : mon fameux Sorbet au Mojito Et pour finir, le traditionnel Chapon rôti aux marrons, qui, de l'avis général, fut le plus réussi de ma carrière. Cuisson parfaite, chair juteuse , et peau croustillante. Le tout servi avec une purée assaisonnée au sel de truffes. Du coup, j'ai mis à jour sur mon blog la recette du chapon , afin de tirer des enseignements de ce succès. Tout à disparu, tout fut englouti, pas un reste (à part la purée que j'avais préparé pour un régiment). Je ne suis pas mécontent de moi. Par contre, je me suis carrément planté sur le planning, et n'ayant commencé à cuisiner qu'à partir de 16 heures, et malgré l'aide très efficace des enfants et de ma femme, nous n'avons pu passer à table qu'à 23h30! Une demi heure avant le passage du Père Noël! J'ai même du interrompre la cuisson du chapon au bout de 2h30, pour la continuer 20 kilomètres plus loin, dans la maison familiale. Mais le transfert n'a pas nuit à cette réalisation, bien au contraire. Ouf! Par contre, je dois dire que j'ai eu moins de chance avec le Sorbet au Mojito, car une fois arrivé à destination, ma femme avait sur ses genoux, un plat de soupe de Mojito qui l'inondait à chaque virage ! fort heureusement, avec le retard accumulé, le temps de se mettre à table et de déguster les autres plats, le sorbet eut à peu près le temps de redevenir plus solide. Le problème du sorbet, c'est la capacité de la sorbetière : lorsque l'on met le mélange dans la sorbetière, il va doucement prendre la bonne consistance. Lorsque tout se passe bien, le sorbet commence à tourner avec le mélangeur, signe qu'il est fin prêt. Mais lorsque la capacité de l'accumulateur de froid est dépassée par la quantité à refroidir, ce point n'est jamais atteint, et le sorbet commence à perdre le peu de consistance lentement acquise et retombe lamentablement. Dans ce cas, rien n'est perdu : il faut terminer la prise au congélateur, en remuant à la main toutes les dix minutes. Pour éviter cette mésaventure, il faut refroidir le mélange au maximum avant de la transférer vers la sorbetière, ou alors, solution que j'ai finalement adopté : avoir deux sorbetières. Ceci dit, quand je vois le menu, je me dis que je me répète. Alors promis, l'année prochaine, on change tout!

Source: khatran.blogspot.com

Levé à la bourre après une grosse bouffe au baratin. 12 heures de sommeil, il va falloir speeder pour ce soir. Le menu : - plateau de fruits de mer - salade folle de Môssieur Guérard - carpaccio de boeuf aux truffes - l'incontournable sorbet au mojito - Filet de boeuf, purée de pommes de terre aux truffes - une fois n'est pas coutume, je me lance dans le vacherin : Mangue et Framboise. Mais n'ayant toujours pas récupéré ma deuxième sorbetière, (je ne sais plus à qui je l'ai prêtée), ça va être sportif. 3 sorbets à confectionner, une sorbetière. Alors joyeux Noël à tous Kha

Source: khatran.blogspot.com

Toujours dans mon recueil de recettes rétro , j'ai trouvé pour les années 80, la salade folle. C'est Michel Guérard qui invente l'originale avec de la truffe ... Elle sera copiée des millions de fois à travers le monde et souvent réinterprétée. Ce qui me surprend en revanche, c'est qu'elle soit dénommée "salade gourmande" dans son livre de cuisine intitulé "La cuisine gourmande". Il l'a peut-être rebaptisée "salade folle" dans "La cuisine minceur" qu'il a écrit ensuite. Bref, sans truffe, la mienne sera appelée "salade à moitié folle". Pour 4 personnes 350 g de haricots verts frais 12 pointes d'asperges fraîches Feuille de chêne rousse Tomates cerises 120 g de foie gras mi-cuit 1 échalote 1 gousse d'ail 3 cs d'huile d'olive 1 cs de vinaigre de Xérès Sel, poivre Persil, cerfeuil, estragon ... Cuire les haricots verts "al dente" dans l'eau bouillante salée, à découvert pendant huit minutes. Les égoutter et les rincer à l'eau froide pour qu'ils conservent leur couleur verte. Peler les asperges et les cuire à la vapeur une dizaine de minutes, selon la grosseur. Bien les goutter également. Préparer la vinaigrette, détailler le foie gras en fines escalopes. Disposer les feuilles de salade lavées dans le fond des assiettes ou mieux d'un saladier. Dresser dessus en forme de dôme les haricots verts et planter çà et là les pointes d'asperges. Assaisonner et répartir le foie gras.

Source: cuisinedisca.blogspot.fr

Au jeu de la malédiction " tu ne peux plus manger qu'un seul et même plat jusqu'à la fin de tes jours, qu'est-ce que c'est?", et bien je pense que ce serait le poulet rôti avec ses légumes et pommes de terre fondantes. Alors, comme j'ai la chance de pouvoit varier les plaisirs, et que j'avais adoré mon premier essai de poulet farci sous la peau , j'ai eu envie de tester cette variante. Cette fois-ci j'ai pratiquement fait un copié collé de la recette de Michel Guérard, un des premiers chefs à révolutionner la cuisine traditionelle pour s'intéresser à l'équilibre dans l'assiette et promouvoir une cuisine "minceur". Quand équilibre rime avec saveur, difficile de résister. Et dans tout ça, ça donne quoi ce poulet? Une farce très goûtue et tendre qui aromatise complètement le poulet avec un moelleux sublime en contraste avec le croustillant de la peau. Un goût peut-être un peu trop corsé pour moi qui ait trouvé qu'il écrasait un peu celui du poulet. Mais définitivement à essayer! Ingrédients : 1 poulet fermier 1/2 botte d’estragon 1/2 bouquet de persil plat 30 g de beurre 1/2 bouquet de ciboulette 2 c à soupe d’échalotes hachées 1 gousse d’ail hachée 50 g de champignons de Paris hachés 50 g de fromage blanc 50 g de lard fumé haché très fin 1 jus de citron Sel et poivre Préchauffez le four à 160 °C (th. 5-6) – il faut éviter de commencer la cuisson à chaleur trop forte pour ne pas risquer de faire craquer la peau du poulet. Détachez ensuite les brins de persil et d’estragon, lavez-les en les séchant bien et hâchez les menus. Faites fondre les échalotes, l’ail et les champignons sur feu doux avec un peu de beurre. Retirez du feu. Incorporez le beurre en pommade aux herbes hâchées et mixez de nouveau (il ne faut surtout pas que le beurre soit fondu, au risque de liquéfier la préparation). Mélangez les deux préparations dans une jatte avec le lard fumé, le jus de citron, le beurre d’herbes, la ciboulette hachée et le fromage blanc. Assaisonnez puis réservez. Entaillez les bords du poulet et décollez la peau du poulet en passant la main entre la peau et la chair en vous aidant de vos pouces et sans oublier les cuisses. Versez la préparation dans un sac alimentaire ou une poche à douille, glissez la pommade d’herbes sous la peau et répartissez-la. Ou bien, comme moi, utilisez une simple cuillère. Faites cuire votre poulet pendant une heure et demie, soit à la broche si vous en avez, soit dans un plat en l’arrosant régulièrement,soit comme moi sur une grille et en laissant le jus du poulet arroser les légumes posés sur un lèche-frite en dessous (une tuerie !).

Source: danslassiettedesautres.blogspot.com

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