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Voici un bouillon miracle dont je vous parlais dans le post précédent: long en bouche et onctueux ce qui est rare pour un bouillon. Il s’utilise facilement car on peut le congeler en petites portions d’un 1/3 de litre. Bouillon de citronnelle, feuilles de combawa et poireau 1 litre d’eau de source 5 feuilles de combawa 2 bâtons de citronnelle 1 poireau avec sa partie verte tendre 2 feuilles de gélatine 1 noix de beurre et une cuillère d’huile d’olive Emincez le poireau, le faire suer au beurre et à l’huile d’olive. Versez l’eau, portez à ébullition, ajoutez la gélatine ramollie, et faire cuire doucement à couvert pendant 15 mn. Ajoutez citronnelle et feuilles de combawa, couvrez, arrêtez le feu et laissez infuser jusqu’à refroidissement. Filtrer ce bouillon, le réserver éventuellement au congélateur en essayant de répartit équitablement le gras si vous utilisez plusieurs contenants. Finition : Emulsionnez longuement votre bouillon en ajoutant éventuellement une noix de beurre frais et des feuilles de combawa ciselées. On peut le servir en tasse, en accompagnement d’un riz gluant, de spagetti juste arrosés d’huile d’olive et de citron, d’un crustacé à la vapeur (pas pour moi) ou d'un poisson. Ce dimance, je l’ai juste dégusté avec un pavé de saumon, courgettes et poireaux sautés et de gnocchis de pommes de terre. Malgré le concert des Chemical Brothers hier au soir, je ne suis pas totalement sourde, quelques belles images ci-dessous qui ne sont pas de moi (Confusedvision sur flickr) des moments forts du concert. Pas mal bien que j’ai préféré un concert antérieur (tournée 2002 je crois), il faut dire que j’étais dans la fosse à cette époque ! C’est je crois les seuls qui ne communiquent pas du tout avec leur public : je ne suis pas même sure qu’il y avait un micro sur scène pour nous saluer ou nous remercier. D’ailleurs, était-ce bien eux sur scène ou une simple bande enregistrée avec des figurants derrière les ordinateurs ? Block rockin’ beats

Source: veryeasykitchen.blogspot.com

Dimanche dernier a eu lieu tout près d'ici la deuxième édition des "Étoiles de Mougins, festival international de la gastronomie et des arts de vivre" . Un tel programme, ça ne se rate sous aucun prétexte ! La première édition, même sous la pluie, j'avais adoré. Comme cette année, en plus, le soleil était au rendez-vous, c'est sans hésitation que nous sommes allés y refaire un petit tour ! Eh oui, sous le soleil, tout est plus agréable ... surtout quand on sait que ce Festival se tient en extérieur, ( démonstrations sous des tentes, quand même !), le Vieux Mougins étant entièrement réquisitionné pour l'occasion ... Ce qui, je n'apprendrai rien à ceux qui connaissent déjà l'endroit, est un atout majeur pour une manifestation sur les "Arts de Vivre" ... Le bonheur commence quand, vous étant garés un peu en contrebas, vous commencez à monter entre grands arbres et villas de rêve vers le village perché ! Dès votre entrée dans le village, vous êtes accueilli par une belle statue contemporaine en hommage à Roger Vergé, le mythique cuisinier du Moulins de Mougins, avant qu'un autre grand, Alain Llorca, ne reprenne le flambeau. Vous voilà déjà dans l'ambiance ! Arts et gastronomie, ça, c'est Mougins ... Vous voilà donc dans un village de rêve ... Les maisons hautes et serrées ont toutes été magnifiquement entretenues, les rues étroites sont propres et fleuries. A chaque pas, un détail retient l'oeil ... Cette maison aux volets blancs et au rosier assorti, par exemple ... Quelques boutiques et galeries charmantes viennent égayer le paysage ... Un village d'antan, une atmosphère magique ... Les habitants sont sans doute sortis se mêler à la foule, en laissant leur terrasse sur laquelle il ferait bon prendre un petit verre de vin blanc frais ... Quand je vous disais qu'art et gastronomie sont intimement liés, ici ... Même les poissons sont dans la rue ... Les figues poussent le long des murs ! La terrasse de l'Amandier est encore vide ... Elle ne tardera pas à se remplir ! Et nous voilà aux portes du paradis ... de la cuisine ... Si l'on en croit les pancartes, le programme promet d'être dense ... A peine entrés dans l'arène, mon regard se pose sur un cuisinier que j'apprécie tout particulièrement, Pierre Gagnaire. Il est en train de remettre leurs prix aux lauréats du grand concours de cuisine amateur. En ressortant du stade des pianos, un petit âne nous accueille sur un stand particulièrement croquignolet ... C'est celui de Graine et Ficelle ... Graine et Ficelle , c'est un endroit qui doit être bien agréable ... A Saint-Jeannet, sur les hauteurs de Cagnes-sur-mer, une maison d'hôte magnifique tenue par Isabelle Sallusti, avec une ferme pédagogique, un potager bio, des brunches et repas bios eux aussi, des ateliers pour enfants, tout ça dans un cadre de rêve dans lequel j'ai bien l'intention d'aller faire un petit tour un de ces jours ... Il faut dire qu'après avoir goûté les confitures d'Isabelle, les traditionnelles comme les plus originales, oignons, poireaux ou, merveille parmi les merveilles avec un petit morceau de fromage de chèvre sec !, la "courgettes-poivrons-pignons" , on n'a plus qu'une envie ... celle d'aller goûter ces produits directement sur le lieu de leur production ! Et quand on connaît Saint-Jeannet ... Attenant au "potager", un petit stand de torchons et tabliers brodés de toute beauté ... Un peu plus loin, l'ancien lavoir du village, reconverti en galerie d'art, accueille ... ... une exposition de très beaux clichés : « Des chefs en liberté sous l'oeil des photographes de Paris-Match » C'est là que nous retrouvons Aude, d'Épices et Compagnie", et son ami Emmanuel. Un peu plus loin, Fig & Olive nous offre une dégustation d'huiles d'olives des plus intéressantes ... Clément ne s'y trompe pas, et poursuit l'entraînement de son palais ... Tony Belcastro nous initie à son "edible art" ! Cet homme est un artiste. Allez donc voir par là ce qu'il sait faire ... Nous pénétrons ensuite dans l'enceinte de l'espace Roger Vergé, pour un petit cours de cuisine japonaise ... Keisuke Matsushita , un cuisinier au solide sens de l'humour et à l'esprit on ne peut plus facétieux nous explique comment réaliser une de ses recettes fétiches, qu'il appelle "carpaccio de filet de boeuf au wasabi". Les puristes s'abstiendront de crier à l'usurpation du terme "carpaccio", la cuisson enlevant, c'est sûr, la couleur rouge si caractéristique de certains tableaux de Carpaccio ... Dans une atmosphère vraiment bon enfant, donc, le chef commence par découper un des trois énormes filets de boeuf "Simmenthal" non sans nous vanter largement au préalable les mérites des couteaux japonais ... ;o) et nous apprendre à les aiguiser ! Ensuite, une leçon de wasabi, cette racine qui pousse au Japon dans des eaux très, très pures ... Ça arrache la bouche, et nous savons maintenant que Key Matsushita préfère la forme en tube à la forme "racine en poudre" ! Ça tombe bien, j'ai le même tube à la maison, je crois ... Là, nous quittons le Japon pour une leçon de courgette-trompette, pour laquelle Key se déplace plusieurs fois par semaine sur le marché de Vintimille ! Elle servira de base, avec des fleurs de courgettes et des patates douces, à un délicat tempura ... Après avoir découpé le filet en très fines tranches, il tartine une tranche sur quatre d'une couche ultra-mince de wasabi. Il empile ensuite une tranche nature, une tranche tartinée puis deux tranches natures les unes sur les autres. Le wasabi se trouve donc au milieu du petit sandwich de filet de boeuf. Ensuite, il met un petit peu d'huile d'olive (notez comme Japon et Provence s'interpénètrent dans la cuisine de ce chef japonais installé à Nice ... Courgettes trompettes, fleurs de courgettes, huile d'olive vont cotoyer sans problème huile de sésame et wasabi ...), et il saisit les petits paquets rapidement, d'un côté, puis de l'autre. Voilà, c'est tout et sans attendre, on nous sert et on déguste ... ... avec un petits assortiments de beignets aériens. Une pâte légère, battue à l'aide de deux baguettes ... surtout pas trop ... on s'en fiche des grumeaux, en fait, paraît-il ... ;o))) Et les baguettes bien perpendiculaires au saladier, surtout !!! On immerge les petits légumes ... On les enrobe bien de pâte ... ... et on les plonge dans un bain d'huile très chaud ( enfin, ça, c'est l'idéal car le pauvre chef a toutes les peines du monde à le faire chauffer, son bain, sur sa rutilante la Cornue !). On met donc de l'huile de pépin de raisin, qui cuit bien, coupée avec un peu d'huile de sésame pour le goût ... Ensuite, on sort les beignets, on les dépose sur un papier absorbant et on les sert, juste saupoudrés d'un peu de sel. Un vrai délice, surtout ceux fait à partir de patate douce. Bon, je signale en passant qu'on n'en fait pas notre déjeuner, les proportions étant davantage adaptées à des lilliputiens qu'à des êtres humains normalement constitués, mais qu'est-ce que c'est bon !!! Mis en appétit, on continue la balade vers le "laboratoire du goût", un peu plus haut dans le village ... Chefs et petites mains s'affairent ... ... sous l'oeil intéressé de tas de connaisseurs, carnets en mains et bouches pleines de questions ... Je goûte encore des petites choses sympathiques à base de truffe ... Un apéritif avec lequel il faudra que j'essaye, comme on me l'a conseillé, de déglacer un foie gras poêlé ... Et puis un chocolat à la truffe, pas mauvais du tout ... Alléchés par tant de bonnes choses, la faim arrive et, après un double tour du village, nous trouvons enfin une table aux Trois Étages , un restaurant que j'ai en plus envie d'essayer depuis quelque temps ... Le menu nous paraît tout à fait correct ... ... et je ne regretterai pas de l'avoir choisi ! Des produits très frais, des cuissons précises, une excellente affaire ... Bon, Emmanuel préfèrerait avec son tartare de boeuf des frites "maison", mais Philippe et les enfants ne semblent pas choqués par la chose. Il faut dire qu'ils meurent littéralement de faim. En ce qui me concerne, ma "rosace de tomates" est délicieusement parfumée, avec des tranches d'une mozzarella excellente, ce qui est loin d'être une évidence dans les restaurants de la région, un pistou frais divin et un caramel de balsamique dont je rêve encore. Quant à la présentation, je vous laisse admirer ... La suite est aussi belle, avec un filet de dorade cuit juste bien, une mirepoix de petits légumes tièdes confits comme en Italie et un bon risotto crémeux ... Et pour terminer, je me régale d'un gratin de fraises avec un sabayon somptueux et un coulis de fruits rouges. Philippe se laisse tenter par un tiramisu excellent, parfumé à la grappa ... Quant à Aude, elle apprécie, je pense, son moelleux tiède au chocolat ... D'accord, le service est un peu lent ... Mais il faut dire que ce festival gastronomique draine un monde de folie ... et que ce monde compte bien se nourrir ... alors nous serons indulgents ... En plus, le service est d'une grande gentillesse, et vous commencez à savoir que devant des gens gentils, moi, je fonds !... D'ailleurs, si le monde savait comment je peux devenir déplaisante quand je me sens agressée, le monde serait toujours très, très gentil avec moi ... ;o))) Ensuite, comme si nous avions encore un peu faim, nous nous retrouvons assis devant une démonstration de quelques-uns des membres du groupe Génération C , ce collectif de jeunes cuisiniers inventifs et talentueux ... Ici, Alexandre Gauthier , et puis Flora Mikula , qu'on ne présente plus ... Une cuisine à quatre, voire six mains quand celles d' Eric Guérin viennent se joindre à celles de ses comparses ... N'est-il pas craquant derrière son grill, à surveiller la cuisson des brochettes d'encornets en nous donnant une petite leçon de "snacking" ?! ;o))) Pendant que Flora nous prépare une brandade de morue déstructurée - un gros boulot, quand même !- , Paul commence à sombrer ... ... mais il se réveille quand même au moment de la distribution du tartare de fraises et piquillos d'Alexandre Gauthier. Des goûts inhabituels, certes, mais une merveille d'équilibre ... De quoi clore cette journée en beauté ! Alors évidemment, une fois rentrée à la maison, j'étais prête à mettre en pratique ce que j'avais appris. Et j'ai choisi pour cela la fameux carpaccio de filet de boeuf au wasabi ... Non, pas le soir-même, bien sûr, même si j'ai tendance à ne pas laisser les choses traîner, mais hier midi, soit près d'une semaine plus tard ... ce qui m'a amené sans doute à oublier d'avoir la main très légère sur le wasabi !!!!!!!!! J'ai donc tartiné consciencieusement mes tranchettes de boeuf ... J'ai préparé des lamelles de courgettes et de patates douces ... ... que j'ai trempées dans une pâte à beignet légère ( 1 oeuf, 20 cl d'eau froide et 125 g de farine ) ... et que j'ai mises à cuire dans un bain de friture -huile de pépin de raisin et un peu d'huile de sésame -. Un chouilla trop longtemps, peut-être, mais néanmoins, le résultat fut délicieux. A nouveau, mention spéciale pour la patate douce, que mes gourmands ont dévorée ... Quant à leurs têtes lorsque le wasabi leur est monté au nez, je regrette de ne pas les avoir photographiées ! Notez qu'ils auraient alors eu le droit de me faire un procès ! Moralité : N'hésitez pas, ce plat est excellent ! Utilisez de la très bonne viande, et surtout, pensez à garder la main légère avec le wasabi, car un excédent peut vite devenir explosif !!! ;o))) Croyez-en Paul et Clément ! Sur ces bons conseils, à la semaine prochaine ! Je vous emmènerai voir de bien jolis bateaux ... Une petite photo pour vous mettre en appétit ...

Source: questcequonmange.blogspot.com

Versione italiana più giù Je vous avais promis du salé, un vrai truc de tous les jours...que certains mangeraient même au petit déjeuner :-) : voici donc des fausses frites au curry rouge. Je dois dire qu'elles sont très très attrayantes, savoureuses...j'en ai encore l'eau à la bouche. En plus j'avais pensé inaugurer la semaine de la pomme de terre (juste comme ça pour s'amuser) en vous proposant différents plats, français, italiens ou bien exotiques, à base de pomme de terre.  Je commence donc avec cette recette inspirée de Pascale Weeks (et oui comme hier, un peu un hasard d'ailleurs ;-) trouvée sur le site des pommes de terre dont elle anime le blog une fois par semaine. Je crois que  ne connais personne qui n'aime pas les pommes de terre et là vous trouverez plein de trésors : recettes, conseils, techniques mais aussi des anecdotes culturelles sur la pomme de terre. J'en suis très fan. Cette recette m'avait frappé pour plusieurs raisons, la première très primordiale c'est que j'avais envie d'en manger dès que je l'ai lue, la deuxième c'est qu'elle est inspirée d'une recette de Pierre Gagnaire trouvée dans le super magazine Régal (d'ailleurs même ce mois-ci il y a des articles sur la pomme de terre). Et la troisième c'est la technique : cuisson à l'eau puis au four pour obtenir enfin une presque frite L'illusion est très proche. De mon côté j'ai assaisonné les pommes de terre avec une pâte de curry rouge (qui me restait de cette soupe ). Non seulement elle donne beaucoup de caractère (le piquant, l'ail...) mais elle hydrate aussi la pomme de terre. Vous pouvez bien sûr sur la même base, utiliser d'autres herbes ou épices. Très bonnes chaudes, seules en apéritif ou avec de la viande...non les avons également dégustées froides. Fausses frites (au four) au curry rouge et origan (pour 4 personnes) - 4 pommes de terre à chair fondante (Monalisa...), 800 g environ - 2 cs de pâte de curry rouge (en grande surface ou épicerie asiatique) - 2-3 cs d'huile d'olive vierge extra - 1 feuille de laurier, origan et 1 càc de sel 1. Préchauffer le four à 200°C chaleur tournante. Peler les pommes de terre et les rincer. Les couper en morceaux de 10 cm de long et 1,5 cm de large environ. Les mettre dans une casserole avec le laurier et couvrir d'eau froide. Porter à ébullition et dès les premiers signes, les égoutter (elles doivent encore être bien fermes). Bien les sécher avec du sopalin.  2. Les assaisonner dans un saladier avec le mélange curry-origan-huile d'olive en ayant soin de bien répartir le condiment et le sel avec les mains sur chaque morceau. Poser les pommes de terre bien espacées sur une plaque couverte de papier cuisson et cuire pendant 20-30 minutes. Elles doivent dorer et devenir croustillantes en surfaces. Servir chaud. Elles sont très bonnes même froides ;-) Versione italiana Ah finalmente un po' di salato, robetta facile da fare tutti i giorni che alcuni mangerebbero anche a colazione: le finte patate fritte (sono cotte al forno il che le rende più leggere ovvio) con curry rosso. Poi avevo anche pensato, così giusto per divertirsi, di proporvi questa settimana ricette patatose nostrane o esotiche. Per questa ricetta con un appeal incredibile, mi sono ispirata ad una ricetta di Pascale trovata sul blog sulle patate che aggiorna una volta alla settimana. E' in francese e fatto benissimo, pieno di tesori su ricette, tecniche ma anche anetodi sulla patata nel mondo. Mi aveva colpito per la tecnica: cottura in acqua poi al forno per dare l'illusione della frittura (certo non è la stessa cosa ma ci si avvicina). Ci ho messo il mio zampino con la pasta curry rosso e l'origano. La pasta da curry dà un sapore magnifico (d'altra parte ci sono erbe, peperoncino, aglio....) e idrata la patate. Insomma ci sono piaciute tantissimo e sono anche un'idea carina per un aperitivo un po' diverso. Naturalmente potete poi personalizzare il tutto con altre erbe o spezie. Finte patatine fritte (al forno) con curry rosso e origano (per 4 persone) - 4 patate grosse (giovani o vecchie a seconda dei gusti ;-) 800 g circa  - 2 cucchiai di pasta da curry rosso thailandese (in negozi etnici) - 2-3 cs d'olio d'oliva - 1 foglio d'alloro, origano e 1 cucchiaino da caffè di sale 1. Scaldare il forno 200°C (ventilato). Sbucciare le patate e lavarle. Tagliare a bastoncini di 1,5 cm di larghezza e una decina di centimetri di lunghezza. Metterli in una pentola con l'alloro, coprire d'acqua fredda e portare a bollore. Non appena si formano le bolle ;-) spegnere e scolare. Asciugare accuratamente le patate con carta da cucina.  2. In una ciotola, condirle con il miscuglio olio-curry-origano e salare, avando cura di ricoprire bene ogni pezzo (farlo con le mani). Sistemare le patate su una placca coperta da carta forno. Cuocere per 20-30 minuti, le pate devono colorirsi e essere leggermente croccanti in superficie. Servire caldo (sono seducenti anche fredde ;-)

Source: undejeunerdesoleil.blogspot.com

Depuis ma première récolte , un temps humide et une lune montante aidant, ce sont de plus belles truffes (30 à 45g) que je trouvais tous les deux jours, pour encore 250 à 300g ... Je le répète, et comme le soulignait Marie Claire dans un commentaire, il s'agit là de Tuber Incinatum , dites Truffes de Bourgogne ou d'été, et non de Tuber Melanosporum , l'unique diamant noir, beaucoup plus parfumée et nettement plus chère. Lorsqu'on a recours à cette truffe de Bourgogne , il faut absolument éviter la cuisson (elle perd sa saveur) , au pire la laisser infuser quelques minutes dans une sauce chaude, hors du feu ... en revanche, elle est très pratique en beurre de truffe (avec une proportion au minimum égale à 50%) ou pour réaliser de l'huile (dans les mêmes proportions) . Si toutefois vous vous faites plaisir avec une melanosporum pour les fêtes (ce qui est notre cas tous les ans) , profitez de sa résistance à la cuisson pour des sauces savoureuses ou de délicieuses terrines, et pensez aux palais sensibles, non habitués. Poursuivons les recettes de fêtes , avec aujourd'hui un Magret de Canard & sa Poêlée de Cèpes, Jus réduit au Cacao ... Avec principalement la Maison Marcon , des champignons (notamment le cèpe) se sont immiscés dans la carte des desserts avec le chocolat ... Gagnaire fut de la partie aussi autour de pralinés, comme bien d'autres chefs. Et puis, depuis 1 ou 2 ans, nous pouvons observer un processus inverse, avec l'incursion du cacao dans la cuisine salée. Il y avait bien l'astuce du carré de chocolat avec le civet ou le boeuf bourguignon pour casser l'acidité, mais là le cacao prend une place prépondérante dans l'assiette. La preuve, le Yam #5 entièrement dédié au Cacao ... Je parlais précédemment de la lune montante, mais la recette du jour en découle en grande partie: les cèpes sont sortis en nombre voilà une dizaine de jour, au même moment que pointaient mes truffes. Nous entrions dans la saison du gras, le plat était tout trouvé. pour 2 pers. / Préparation : 20 min / Cuisson : 40 min Ce qu'il faut: - 1 beau Magret de Canard, - Persil, Sel et Poivre. ... pour la Poêlée de Cèpes: - Qq Cèpes, - Huile d'Olive, - Trait de Jus de Citron, - 4 petites gousses d'Ail dégermées, - Persil, Sel et Poivre, - Noix de Beurre. ... pour la Sauce: - 50 cl de Jus de Viande corsé, - 1 CàC de Paprika doux, - 25g de Cacao Amer, - 25g de Truffes, - facultatif: épaississant (ici Gomme Tara) . Ce qu'il faut faire: 1/ Mettre à réduire le jus avec le paprika. A consistance, hors du feu et avant de servir, jeter le cacao, bien mélanger et ajouter la truffe hachée au couteau. 2/ Nettoyer les cèpes à l'aide d'un linge légèrement humide. Les émincés et les faire revenir vivement dans un peu d'huile d'olive. Déglacer avec le jus de citron, assaisonner, ajouter l'ail haché, et cuire doucement quelques minutes. 3/ Dégraisser le canard, mettre à fondre dans une poêle un carré de graisse, cuire le magret environ 7 min de chaque côté, préalablement assaisonné. Dresser ...

Source: paladar-lepet.blogspot.com

Nombreuses sont les manières d’appréhender la Cuisine et la conception d’un plat plus particulièrement. Depuis que je suis sur le bouquin de This/Gagnaire , les approches fleurissent. Pour la recette du jour, nous partons sur les chiffres … sans entrer dans une explication de texte fastidieuse, disons que les auteurs recherchent à définir la Cuisine comme un Art, passant par la case « Philosophes Grecs » et donc, par leur vision « chiffrée » de la vie. Aujourd’hui, nous abordons une Salade Composée sur les Thèmes du Porc, de la Poire et du Kiwi, avec une approche « Binaire » en 3 parties (parce qu’il faut un nombre impair …) … heu, une explication ?!! OK: - 2 Fruits : la Poire, traitée comme d’hab’ ces derniers temps, poêlée au Balsamique, légèrement sucrée; le Kiwi afin de profiter de sa légère acidité. - 2 interprétations du Porc : de fines tranches de lard rangées en légère juxtaposition, tapissées de fines rondelles de Pommes de terre revenues dans un beurre mousseux. Le tout sera roulé après avoir été fourré d’une purée de Poire au Balsamique . De l’autre côté, des brochettes, façon Yakitoris, à base de Poire et de Whisky (Jameson pour sa saveur « caramel ») . - 2 Salades : la traditionnelle salade verte, avec une vinaigrette à base d’un jus de Kiwi (en guise de vinaigre) et d’huile de noix. Une salade de légumes du moment, croquants, juste revenus: Asperges vertes, Carottes, Radis. L’approche est vraiment sympa, le tout étant de se cantonner à un minimum d’ingrédients afin de ne pas se perdre dans les saveurs. Pas de recette « grammée » précisément, simplement des pistes: … pour les Roulés: - Fines tranches de Lard, - Fines lamelles de PdT, - Beurre Salé, - Purée de Poires caramélisées au Balsamique, - Filet d’Huile d’Olive pour cuisson. Réaliser une « nappe » de tranches de lard, recouverte de Pdt cuites au beurre mousseux, et farci de poire. Rouler comme un maki, et cuire, doucement dans le filet d’huile. … pour les Yakitoris: - Purée de Poire Caramélisée, - qq centilitres de Whisky, - viande de porc en petits dés, - fond de veau assez clair, Mettre à mariner 30 min la viande avec la poire et le whisky, égoutter, cuire dans une poêle anti adhésive, déglacer avec la marinade, réduire à consistance, remettre la viande. … pour la Vinaigrette Salade Verte: - Jus de Kiwi à l’aigre douce, - Huile de Noix, - Croutons, - Sel/Poivre, … pour la Salade de Légumes croquants: - Asperges vertes, - Carottes, - Radis. Accompagner de sauce des Brochettes .

Source: paladar-lepet.blogspot.com

Qu'est-ce qu'Omnivore ? Depuis 2003, Omnivore se consacre à la découverte des jeunes talents de la cuisine française et internationale, présentée lors de ses publications et de ses festivals. Omnivore c'est d'abord une revue mensuelle crée en 2003 par Luc DUBANCHET qui a comme objectif de donner un coup de jeune à la critique gastronomique. Mais contrairement aux guides qui existent déjà, Omnivore ne donne ni classement, ni note, mais propose un carnet de route annuel avec toutefois une grande exigence tout en faisant preuve de singularité. Ce projet aura donné naissance à trois carnets entre 2007 et 2010. Le 16 mars 2014, Omnivors présente un nouveau format biannuel : l'Omnivore Food Book dont les deux parutions sont fixées en mars et octobre. L’Omnivore Food Book rassemble trois parties éditoriales distinctes : magazine, guide (guide de restaurants en mars, guide des vins en octobre) et cahier de cuisine. Son tirage est de 5000 exemplaires pour une diffusion en librairies en France, Belgique et Canada. Prix pratiqués : 19,90 € 178 pages Le contrepoint & omnivore En librairie à partir du 19 mars Omnivore World Tour Pour sa seconde fois dans la capitale française, le World tour Omnivore prend ses quartiers à la Mutualité de Paris du 16 au 18 mars. Au menu des festivités, un programme très alléchant : rencontres et échanges autour de la gastronomie. 60 convives, parmi lesquels, Jean-François Piège, Thierry Marx, Pierre Gagnaire, des chefs de renommée internationale, les jeunes pousses les plus prometteuses et pour la première fois des artisans, tous venus des 4 coins du monde, proposent des démonstrations et des master class « sucrée » et « salée ». Le festival Omnivore se déroule aussi hors les murs et propose des fucking dinner dans divers restaurants et des pop up dinner au 104; des duos et duels de chefs pour notre plus grand régal. Et pour finir, l’Omnivious party by Banoit rouge qui aura lieu au Perchoir le lundi 17 mars sera the cherry on the cake. Pour le programme du complet World Tour Omnivore, c’est ici . Comme mise en bouche, Mydayuse vous suggère, une escapade de quelques heures à l’hôtel Notre-dame-Maître Albert ou de quelques jours à l’hôtel Agora , au cœur du mythique quartier Latin, à quelques pas de la maison de la Mutualité. Badoit, partenaire de toujours de l'Omnivore était encore très présent cette année et se veut de proposé un appel aux projets pour ceux qui souhaiteraient ouvrir leur propre restaurant. Un projet très intéressant soutenu par le Chef Thierry Marx qui à cette occasion nous avait fait partagé son expérience, en compagnie de Chef Kristin, créatrice du très réputé "Camion qui fume" et se Steven, Top Chef 2014, respectivement chef d'entreprise du 1er food Truck de France et jeune chef en voie d'ouvrir son propre restaurant. Vous retrouverez les informations, si cette aventure vous intéresse ici Festival Omnivore du 16 au 18 mars 2014 Maison de la Mutualité 24 rue Saint-Victor 75005 Paris Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur Twitter Partager sur Facebook

Source: sugarnsale.blogspot.com

Ecrit et réalisé par Very Easy Kitchen L’intitulé est long et le résultat simplement bon. J’avais conservé cette recette sans noter le nom de l'auteur. Je pense qu’elle est de Stéphane Jego , le chef de l’Ami Jean , mais je n’en suis pas sûre. Si quelqu'un a une indication, je suis preneuse. C’est tout ce que j’aime, avec mes marottes culinaires : le bouillon, la note asiatique et la simplicité d’un accompagnement comme ces pommes de terre vapeur. J’avais déjà adoré le confit de canard au bouillon thaï du Frenchie, voici une déclinaison avec du cabillaud (morue fraiche). Comme d'habitude, je vous conseille toujours d'acheter du cabillaud issu d'une pêche responsable. Chaque année les stocks diminuent même si cette diminution est moins alarmante que par le passé en raison d'une prise de conscience et des quotas institués. La Norvège continue à reconstituer ses stocks par exemple. Impossible de rater la cuisson du poisson car il cuit dans le bouillon chaud. Si vous aimez les bouillons asiatiques, je vous recommande le fabuleux bouillon à la citronnelle de Gagnaire . Etouffé de morue fraiche, citronnelle, gingembre, citron vert, bouillon de poule à l’huile d’olive Pour 4 personnes 4 pavés de cabillaud épais (dos de cabillaud) 2 bâtons de citronnelle 50g de gingembre frais 2 citrons verts 1 litre de bouillon de poule 1/3 de litre d’huile d’olive de bonne qualité Deux heures avant la cuisson, saupoudrez de sel les pavés de cabillaud. Préparez le bouillon aromatisé en ajoutant la citronnelle taillée en bâtonnets, les jus et zestes de citron vert, le gingembre épluché et taillé en fines lamelles et la moitié de l’huile d’olive. Portez à ébullition, écumez et laissez infusé à couvert pendant une heure. Un peu avant de passez à table, portez à frémissement le bouillon. Hors du feu, plongez les pavés de cabillaud que vous aurez préalablement lavé et laissez cuire 15 minutes à couvert dans la chaleur résiduelle du bouillon. Disposez les pavés de cabillaud dans chaque assiette creuse, versez une louche de bouillon (avec ou sans les fins morceaux de gingembre et citronnelle que j'ai enlevé pour ma part) et un trait d’huile d’olive. Salez et poivrez. Vous pouvez les déguster avec des pommes vapeur et quelques brins de coriandre. Si vous avez toujours peur de rater la cuisson du poisson, ce plat est parfait pour vous rassurer. Le pavé doit être bien épais afin que le coeur soit juste nacré. S'il reste du bouillon, faites cuire des nouilles chinoises ou des ramens et rajoutez dans le bol de service, une louche de ce bouillon citronné. En bonus, une petite recette de granola avec différentes noix et noisettes. C’est la saison des noisettes et celles des noix va bientôt commencer. Mixed nuts granola 200g d’un mélange de différentes noix et noisettes (noix du Brésil, noix de Grenoble, noix de cajou, noix de pécan, noisettes…) 100g de flocons d’avoine 100g d’une mélange de graines diverses (graines de lin, de courge, de sésame,…) 3 cuillères à soupe d’eau très chaude 2 cuillères à soupe d’huile de noisette ou de noix 4 grosses cuillères à soupe de sirop d’érable Préchauffez votre four à 180°C. Mixez grossièrement les noix. ils doit rester quelques morceaux conséquents. Rajoutez les flocons d’avoine et les graines. Mélangez bien. Versez dans un bol tous les ingrédients liquide. L’eau chaude va permettre à l’huile et au sirop d’érable de s’intégrer. Versez sur les noix et mélangez bien avant que l’ensemble soit bien humidifié. Versez l’ensemble sur une plaque de cuisson. Mettez au four à 180°C pour environ 40 minutes. Retournez régulièrement pour que l’ensemble soit doré. Laissez refroidir dans le four avant de conserver dans un récipient hermétique.

Source: veryeasykitchen.blogspot.com

L'année 2016 sera placée sous le signe des légumineuses, ainsi en ont décidé les Nations Unies. Pierre Gagnaire a présenté cette recette à base de légumineuses facile à réaliser à la maison à France Info. J'étais dans la voiture, donc je ne pouvais prendre des notes, mais heureusement j'ai pu retrouver sa recette sur le site de France Info. Pierre Gagnaire ouvre son premier restaurant à Saint-Etienne en 1981, est sacré 3 étoiles au Guide Michelin, puis déménage à Paris en 1996 pour ouvrir un second restaurant rue Balzac dans le 8ème arrondissement, qui sera aussi étoilé. En 2015 il a été élu meilleur chef du monde par ses pairs et a ouvert de multiples établissements à l’étranger (Tokyo, Hong-Kong, Las Vegas). Donc beaucoup de raisons pour préparer sa recette qui m'a fait saliver rien que de l'écouter à la radio. Ingrédients (pour 6 personnes) : 250 g de foie gras de canard cru en tranches épaisses 30 g de beurre 1/2 oignon émincé 70 g de lardons fumés 1 gousse d’ail épluchée 1 bouquet garni (vert de poireau dans lequel on enferme quelques queues de persil, 1 branche de thym et 1 feuille de laurier) 250 g de lentilles vertes 1 l de bouillon de légumes (ou 1 l d’eau) Sel fin et poivre noir du moulin Préparation : Faire suer au beurre l’oignon et les lardons. Ajouter l’ail, le bouquet garni et les lentilles. Mouiller de bouillon de légumes, porter à ébullition, écumer et laisser cuire doucement. Assaisonner de sel les tranches de foie gras, les poêler rapidement Retirer le bouquet garni des lentilles et les égoutter en gardant le bouillon. Mixer au blender les 3/4 des lentilles avec le foie gras, ajouter une partie du bouillon de cuisson pour obtenir une masse onctueuse Passer alors au chinois étamine. Incorporer dans cette soupe le reste des lentilles, poivrer, saler si nécessaire. Servir en soupière. On peut accompagner cette soupe de segments de clémentines, de céleri-rave et de petits croûtons. Un délice !

Source: theblogdeclementine.blogspot.fr/search/label/recette

Ecrit et réalisé par Very Easy Kitchen L’intitulé est long et le résultat simplement bon. J’avais conservé cette recette sans noter le nom de l'auteur. Je pense qu’elle est de Stéphane Jego , le chef de l’Ami Jean , mais je n’en suis pas sûre. Si quelqu'un a une indication, je suis preneuse. C’est tout ce que j’aime, avec mes marottes culinaires : le bouillon, la note asiatique et la simplicité d’un accompagnement comme ces pommes de terre vapeur. J’avais déjà adoré le confit de canard au bouillon thaï du Frenchie, voici une déclinaison avec du cabillaud (morue fraiche). Comme d'habitude, je vous conseille toujours d'acheter du cabillaud issu d'une pêche responsable. Chaque année les stocks diminuent même si cette diminution est moins alarmante que par le passé en raison d'une prise de conscience et des quotas institués. La Norvège continue à reconstituer ses stocks par exemple. Impossible de rater la cuisson du poisson car il cuit dans le bouillon chaud. Si vous aimez les bouillons asiatiques, je vous recommande le fabuleux bouillon à la citronnelle de Gagnaire . Etouffé de morue fraiche, citronnelle, gingembre, citron vert, bouillon de poule à l’huile d’olive Pour 4 personnes 4 pavés de cabillaud épais (dos de cabillaud) 2 bâtons de citronnelle 50g de gingembre frais 2 citrons verts 1 litre de bouillon de poule 1/3 de litre d’huile d’olive de bonne qualité Deux heures avant la cuisson, saupoudrez de sel les pavés de cabillaud. Préparez le bouillon aromatisé en ajoutant la citronnelle taillée en bâtonnets, les jus et zestes de citron vert, le gingembre épluché et taillé en fines lamelles et la moitié de l’huile d’olive. Portez à ébullition, écumez et laissez infusé à couvert pendant une heure. Un peu avant de passez à table, portez à frémissement le bouillon. Hors du feu, plongez les pavés de cabillaud que vous aurez préalablement lavé et laissez cuire 15 minutes à couvert dans la chaleur résiduelle du bouillon. Disposez les pavés de cabillaud dans chaque assiette creuse, versez une louche de bouillon (avec ou sans les fins morceaux de gingembre et citronnelle que j'ai enlevé pour ma part) et un trait d’huile d’olive. Salez et poivrez. Vous pouvez les déguster avec des pommes vapeur et quelques brins de coriandre. Si vous avez toujours peur de rater la cuisson du poisson, ce plat est parfait pour vous rassurer. Le pavé doit être bien épais afin que le coeur soit juste nacré. S'il reste du bouillon, faites cuire des nouilles chinoises ou des ramens et rajoutez dans le bol de service, une louche de ce bouillon citronné. Parfait aussi pour un risotto au fumet de poisson, citronnelle et huile d'olive. En bonus, une petite recette de granola avec différentes noix et noisettes. C’est la saison des noisettes et celle des noix va bientôt commencer. Mixed nuts granola 200g d’un mélange de différentes noix et noisettes (noix du Brésil, noix de Grenoble, noix de cajou, noix de pécan, noisettes…) 100g de flocons d’avoine 100g d’une mélange de graines diverses (graines de lin, de courge, de sésame,…) 3 cuillères à soupe d’eau très chaude 2 cuillères à soupe d’huile de noisette ou de noix 4 grosses cuillères à soupe de sirop d’érable Préchauffez votre four à 180°C. Mixez grossièrement les noix. Il doit rester quelques gros morceaux. Rajoutez les flocons d’avoine et les graines. Mélangez bien. Versez dans un bol tous les ingrédients liquide. L’eau chaude va permettre à l’huile et au sirop d’érable de s’intégrer. Versez sur les noix et mélangez bien afin que l’ensemble soit bien humidifié. Versez l’ensemble sur une plaque de cuisson. Mettez au four à 180°C pour environ 40 minutes. Retournez régulièrement pour que l’ensemble soit bien doré. Laissez refroidir dans le four avant de conserver dans un récipient hermétique.

Source: veryeasykitchen.blogspot.com

Comme dirait l’éminente philosophe Lorie « Ce soir, c’est le week-end » … et en ce qui me concerne, il est très attendu: synonyme de repos, de cuisine et de famille … mais surtout de repos ;o) . Bon sinon, toujours dans la spirale des asperges, le plat du jour trouve sa source dans le hasard des étals du jour, mais aussi dans un commentaire de Tiuscha . Je vous propose donc des Pièces de Thon Jaune sur leurs Asperges Vertes Lardées et Réduction de fumet aux Sucs de Pamplemousse, Pointes d’Asperges en Gelée … Une explication ? Simple … L’Albacore, ou thon jaune, a l’apparence du thon rouge, de loin, mais n’en est pas: ça se voit aussi au niveau du prix ;o) Ce genre de poisson se mêle très bien à un mariage terre/mer, et j’avais le souvenirs d’asperges vertes enveloppées de fines tranches de lard: la base du plat était trouvée. A Tiuscha de semer le trouble avec une invitation à travailler le Pamplemousse avec l’asperge: ici, j’utilise une méthode de Pierre Gagnaire consistant à réduire à l’état sirupeux le jus de l’agrume. Ensuite, on mouille avec un bon fumet, en plusieurs fois, afin de réaliser une belle réduction, haute en saveurs. L’accompagnement se situe dans la continuité des textures, en apportant cependant la sienne: les pointes d’asperges sont justes fondantes, prises dans une gelée légèrement clarifiée d’un excellent fumet de poisson avec des lamelles de tomates confites, principalement pour leur couleur. A se demander si je ne vais pas la présenter pour le concours mensuel du très dynamique site 750g , sur le thème de la Minceur ... avec, un ... ThermoMix à la clé !!!! de la folie, non ?!! Pour 2 pers. / Préparation : 30 min / Attente : 2 à 3h mini / Cuisson : 1h Ce qu’il faut: - un joli morceau de longe de Thon Albacore (sans arêtes) , - un filet de Sauce Soja, - 6 belles Asperges Vertes, - 6 fines tranches de Lard, - 10 pointes d’Asperges Vertes Fines cuites à l’anglaises (eau bouillante salée quelques instants) , - 1 Tomate séchée (ou 2 demies … hein ?!!) - 20 cl + 20 cl de Fumet de Poisson, - 1 branche de Céleri. - 2 Feuilles de Gélatines (6g), - le jus passé de 2 Pamplemousses, - le zeste blanchi d’½ Pamplemousse. Ce qu’il faut faire: 1/ Détailler le thon en médaillons, arroser d’un filet de sauce soja, enfourner à 50°C durant 30/45 min selon les goûts. 2/ Éplucher les asperges, les cuire à l’eau salée en laissant les pointes en dehors de l’eau, les piquer pour vérifier la cuisson, les refroidir à l’eau glacée, égoutter et essuyer. Les enrouler dans une tranche de lard chacune. Au moment de servir, les faire revenir dans une poêle anti-adhésive avec un petit filet d’huile d’olive. 3/ Chauffer 20 cl de fumet, ajouter la branche de céleri hachée, porter à ébullition, filtrer avant que l’odeur de ce dernier ne se dégage. Remettre sur le feu, porter de nouveau à ébullition ajouter la gélatine ramollie, laisser refroidir, avant de verser dans des nonettes avec des pointes d’asperges et des lamelles de tomate, prendre au congélo 30 min, puis au frigo. 4/ Dans une casserole, réduire en écumant le jus de pamplemousse, à l’état sirupeux/caramel mouiller avec 6 cl de fumet, réduire, puis renouveler l’expérience. Dresser … Taste Report: tout dans la finesse, l’amertume du pamplemousse est canalisée par sa propre douceur due à la réduction ainsi qu’à celles du thon et de l’asperge. Très frais …

Source: paladar-lepet.blogspot.com

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