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Le Gà Rô-Ti est vraiment un de ces avatars de la présence française en Indochine qui a marqué la gastronomie vietnamienne. Même le nom (Gà, pour poulet et Rô -Ti, qui est la prononciation tonale de rôti) est porteur de cette influence, et traduit vraiment la descendance de ce plat peu banal. Au moment de la colonisation du Vietnam par la France, les fours électriques étaient rares, un vrai luxe dont peu de cuisinières vietnamiennes pouvaient profiter. La plupart des femmes utilisaient alors une sorte de boîte en métal chauffée indirectement par une masse de charbon. La chaleur obtenue était inégale, et le four en lui-même, dangereux. On se contentait donc de rôtir le poulet sur une source de chaleur directe, avec un peu de liquide pour préserver l'humidité de la chair, ou sur les braises d'un feu ou d'un barbecue au charbon. Lorsque la guerre du Vietnam s'est terminée, en 1975, les GI désertant les camps ont laissé derrière eux plusieurs fournitures qui ont permis à certains foyers d'équiper leur cuisine de façon plus moderne. C'est à peu près à cette époque que le Gà Rô-Ti est devenu un classique de la cuisine vietnamienne, la fiabilité des sources de chaleur permettant maintenant un meilleur contrôle sur le rôtissage de la viande. C'est l'histoire mondiale qui est reflétée par ce simple poulet ! La marinade se prépare rapidement, et elle a une odeur fabuleuse qui nous donnerait envie de nous plonger le doigt dedans, si nous n'étions pas terrorisés par la salmonelle. On peut utiliser un poulet coupé en huit morceaux ou de simples cuisses de poulet: j'ai utilisé deux poitrines de poulet avec dos que j'avais acheté en spécial au début de l'été. Allez-y avec ce que vous avez sous la main: ce serait aussi très bon avec des ailes de poulet. Ce qu'il vous faut: - 1 poulet coupé en huit morceaux ou 6 belles cuisses de poulet - 4 gousses d'ail, écrasées - 2 cuillères à soupe de miel - 1/2 cuillère à thé de sel - 1/2 cuillère à thé de poivre du moulin (ou un peu plus, pour la chance) - 3 1/2 cuillère à soupe de sauce soja ou de sauce Maggi - 2 1/2 cuillère à soupe d'huile d'arachide Modus: Mélanger l'ail, le miel, le sel, la sauce soja et l'huile. Déposer dans un grand plat et incorporer le poulet. Touiller pour enrober et arroser de marinade. Si vous utilisez un poulet entier ou des poitrines, remplir la cavité avec de la marinade. Laisser reposer au frigo au moins 4 heures et jusqu'à 24h. Retourner la viande périodiquement et arroser à nouveau. Préchauffer le four à 400. 30 minutes avant de rôtir le poulet, le sortir du frigo et le laisser tempérer. Doubler une plaque à biscuit de papier d'aluminium. Vaporiser d'enduit anti-adhésif. Déposer le poulet, peau vers le bas, sur la plaque et cuire 15 minutes où jusqu'à ce qu'un grésillement constant se fasse entendre dans le four. Lorsque le poulet grésille, le retourner, peau vers le haut, et rôtir jusqu'à ce que la peau soit croustillante et que les jus de cuisson qui s'écoulent de la chair soient transparents. Pour un repas vietnamien complet, servir avec des nouilles à l'ail et une salade de légumes marinés.

Source: exila.blogspot.com

Malgré la  température caniculaire , je ne peux m’empêcher de faire le mijoté du dimanche… L’osso buco testé… Jarret de veau à la ménagère, façon Ossobuco à la milanaise Veau 2 rouelles épaisses de jarret de veau farine beurre 2 gousses d’ail 1 bouquet de romarin 1 bouquet de thym 2 branches de sauge 25 cl. de vin blanc sec 50 cl. du bouillon de veau Sauce 1 carotte (ou 1 botte de carottes fanes) une branche de céleri-rave 1 oignon jaune 2 gousses d’ail beurre pour la cuisson 1 cuillère à soupe de purée de tomates 2 tomates, coupées en dés 200 g de tomates concassées 50 cl. de jus de cuisson de veau 5-10 cl. de jus d’orange 1 cuillère à café de romarin et de thym maïzena (si nécessaire) Gremolata 3 cuillères à soupe de persil grossièrement haché du zeste de citron 1   cuillère à soupe d’ail finement haché Veau  : fariner légèrement  les morceaux de veau et les faire rissoler avec le beurre dans un faitout, jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés. Ajouter l’ail et les herbes aromatiques. Verser le bouillon de veau de manière à recouvrir la viande, puis garder ce niveau constant tout au long de la cuisson en ajoutant de l’eau. Compter environ 2 heures de cuisson. Sauce  : couper la carotte, le céleri et l’oignon en dés de quelques centimètres et les faire brunir dans du beurre en remuant sans cesse. Ajouter l’ail et la purée de tomates. Faire suer pendant encore 2 ou 3 minutes, puis ajouter le vin blanc, les tomates concassées et le jus de la cuisson de veau. Faire mijoter pendant environ 15 minutes et, si nécessaire, lier avec un peu de Maïzena. Assaisonner avec le jus d’orange, du sel et du poivre. Au moment de servir, mélanger aux dés de tomates de parsemer de romarin et de thym haché. Dresser sur une assiette avec de la  gremolata  par-dessus et du  risotto  à côté (ou accompagné avec des galettes de  polenta ). Servir avec une salade de tomates finement tranchées. Bon dimanche ! O      o O oOo

Source: delicesetcaprices.blogspot.com

Ah...le bonheur d'une bonne glace :-) Même sous la neige en mars, c'est un plaisir qui ne se boude pas. C'est pour cette recette que j'ai fait le lemon curd de Patrice Demers présenté hier et la combinaison donne une texture crémeuse, veloutée, avec une touche subtile acidulée qui a beaucoup plu chez-moi. J'ai testé en solo et en sandwich avec des speculoos pour un résultat très très concluant. INGRÉDIENTS 130g de sucre 5 jaunes d'oeufs 240ml de crème 35% 200ml de lait 50g de lemon curd (voir le lien vers la recette ci-haut) zeste d'un citron (j'ai opté pour un citron Meyer) 15ml (1 cuillère à table) de jus de citron (et oui...Meyer encore) Verser le lait dans une casserole et amener à un léger frémissement tout en remuant. Pendant ce temps, dans un bol de taille moyenne, battre ensemble les jaunes d'oeufs et le sucre jusqu'à l'obtention d'une texture épaisse et d'une couleur jaune pâle. Tempérer les oeufs en y versant le lait chaud à un rythme lent et constant le tout en remuant sans arrêt. Remettre le mélange dans la casserole et remettre sur feu doux. Remuer constamment jusqu'à ce que la cossetarde épaississe légèrement et qu'elle couvre le dos d'une cuillère (environ 170F). Retirer du feu et laisser reposer. Ajouter le lemon curd et le zeste de citron à la cossetarde chaude, mélanger pour intégrer complètement. Déposer une pellicule plastique sur la cossetarde et réfrigérer toute une nuit. Mettre la sorbetière au congélateur. Retirer la cossetarde du frigo (note: à ce stade, vous pouvez filtrer pour retirer le zeste - je n'ai pas fait car j'aime bien la texture). Dans un cul de poule froid, battre la crème jusqu'à ce qu'elle double de volume et qu'elle forme des pointes. Replier la crème dans le mélange de cossetarde et ajouter le jus de citron. Retirer la sorbetière du congélateur, y verser le mélange et baratter selon les indications du fabricant. La crème glacée aura une texture crémeuse à la fin du barattage, la transférer dans un contenant approprié et remettre au congélo quelques heures pour une texture parfaite. Source: Blog Tracey's Culinary Adventures Une chanson remplie de soleil pour accompagner cette gourmandise: Chan Chan de Buena Vista Social Club. Bon week-end et bonne semaine de relâche à ceux qui comme moi, sont en vacances :-)

Source: stephjoueauchef.blogspot.com

Oeuf Fabergé revisité façon Chef Constant suite à l'épisode 2 de la deuxième saison de Top Chef. oeuf "Constant-Fabergé" de macaronis farcis aux spaghettis d...

Hier, mine de rien, Paul me commande une pizza. Je rêve ou quoi ????? Quand il m'est arrivé de présenter une pizza toute prête les soirs où je rentre tard du boulot, ce n'est qu'une suite de : "y'a d'la tomate !" (quelle perspicacité !), "il est mauvais le fromage ..." ou "elle est trop dure ta pizza ..." . Et je vous épargne les "j'aime pas les oignons sur la tarte flambée", "y'a des morceaux" dans la bolognaise et "j'aime pas trop ces nouilles " dans un plat de ... nouilles ! Ahahah ! Paul, si on ne t'avait pas fait ... Mais j'ai trouvé la parade, gnarf gnarf, sauf quand je rentre tard du boulot. Parce que faire sa pizza, c'est fastoche, mais ça veut quand même dire faire sa pâte levée, et donc prévoir un rétro planning de deux bonnes heures avant d'entendre des "Hmmmm...", "C'est trop bon maman ..." ou "Encore un morceau s'il te plaît". Ça fait des années que j'utilise la recette de la pâte à pain du livre La cuisine de Jamie de Jamie Oliver : proportions parfaites, jolie texture et temps de levage assez constant. En général, je fais la recette avec 500g de farine ; ça me permet de cuisiner une pizza ronde (diamètre environ 30cm) et une rectangulaire (30 sur 40cm). Vous pouvez également doubler la recette, pré cuire des fonds de pizza pendant 5 mn puis les congeler pour quand vous rentrez tard du boulot (tiens, c'est bizarre, pourquoi j'y avais pas pensé :) ???). Ou alors faire une deuxième pousse et cuire un pain pour le lendemain. Ou alors inviter des amis. Pizza spéciale Paul. Les tomates sont sur ma partie. Pâte à pain de Jamie O. et pizza spéciale Paul Ingrédients - 1 sachet de levure de boulanger déshydratée - 15g de miel - 30cl d'eau tiède - 500g de farine (j'ai utilisé 300g de farine de blé, 100g de farine complète et 100g de seigle) - 15g de sel Délayez la levure et le miel dans la moitié de l'eau tiède. Dans un grand bol, assemblez les farines et le sel, puis creusez un puits. Ajoutez la levure délayée et hydratez la farine autour. Ajoutez le reste de l'eau tiède et mélangez avec vos mains. Vous allez obtenir une boule assez collante. Sur un plan de travail fariné, pétrissez la pâte quelques minutes dans tous les sens. La pâte doit gagner en texture et ne plus coller aux doigts ; rajoutez un peu de farine si nécessaire. Replacez la pâte dans le bol, couvrez d'un torchon propre et oubliez dans un endroit non ventilé (par exemple dans le four à micro onde, c'est très bien). Au bout de une à une heure et demi, la pâte devrait avoir doublé de volume. Sur un plan de travail fariné, pétrissez la un bref instant pour en chasser l'air, prélevez environ la moitié et étalez sur environ 0,75cm à la taille de votre plaque de cuisson. C'est le moment de préchauffer votre four à 220°C ou 200°C chaleur tournante. Le temps du préchauffage correspond en gros aux 10mn de pousse que votre pâte à pizza nécessite encore. Profitez également de ce temps pour préparer la garniture de votre pizza. Pour la spéciale Paul : de la sauce tomate (maison ou pas, la barilla au basilic me convient bien, et un petit pot suffit pour la pizza ronde), 2 tranches de jambon coupées finement et une boule de mozza détaillée, le tout saupoudré de parmesan râpé, d'origan et de basilic (pas trop, sinon le Paul va s'offusquer de "ces petits bouts verts"). Pour la pizza rectangulaire : 3 garnitures pour 4 personnes. Sauce tomate, basilic, origan et parmesan pour tous. Puis, une spéciale Paul à gauche, figues du déshydrateur, champignons et chèvre au milieu, et champignons, coppa préalablement grillée et mozza à droite. Garnissez la pâte juste avant d'enfourner pour environ 10 mn, ou jusqu'à ce que le fromage soit bien doré. Mmmmm, dis donc, ça sent drôlement bon dans cette cuisine ! Édit du soir bonsoir : Paul n'aime pas les tomates MAIS il adore la sauce tomate. Si quelqu'un a reçu par erreur le mode d'emploi de cet enfant, qu'il me le renvoie IMMÉDIATEMENT !

Source: secotinemaligne.blogspot.com

On abandonne (quelques jours !) notre tour du monde pour faire une tournée des chefs … Christian Constant sera à l’honneur cette semaine avec cette soupe de saison gourmande au potiron, aux châtaignes et aux ravioles de Royans. Riche, crémeuse, onctueuse… Les ravioles de Royans ou Romans, regroupées sous l’appellation de « ravioles du Dauphiné » (Drôme et Isère) sont de toutes petites ravioles au comté, fromage blanc (caillé de lait) et persil. Au départ, légume du pauvre fourré de raves, la raviole s’est embourgeoisée en s’empiffrant de fromage, et s’est démocratisée au XXe siècle avec la révolution industrielle et la machine à fabriquer les ravioles mise au point par un certain Emile Truchet . Si vous voulez aller plus loin dans votre exploration de la raviole, je vous recommande ce petit livre aux éditions de l’Epure : « Les ravioles de Romans, 10 façons de les préparer » . Alors plusieurs solutions : Vous avez une patience d’ange, un moule à ravioles et un weekend entier devant vous (tout lecteur de ce blog sait que les raviolis sont pour moi une épreuve, a fortiori quand ils font à peine 1 cm de côté) et vous les faites vous-même. Il faut avouer que les recettes de courageux ne pullulent pas sur le web, mais celle de The Pink lady est magnifique. Allez donc jeter un œil, même si vous finissez par les acheter. Vous habitez le Dauphiné ou une grande ville et pourrez donc les acheter fraiches chez un traiteur. Vous habitez le Trouducudumonde et Picard vous sauve la vie avec ses ravioles du Dauhiné Label Rouge. Maintenant que vous avez le Graal en main, attaquons la soupe… 1 kg de potiron 150 g de ravioles du Dauphiné 1 oignon ciselé 100 g de châtaignes entières cuites 2 tranches de pain de mie 1 litre de bouillon de volaille 25 cl de crème liquide entière (C.Constant en met 50cl, même moi je trouve ça too much !) Huile d’Olive Sel et poivre Épluchez et coupez le potiron en cubes. Dans un faitout, faites revenir l’oignon dans une CS d’huile d’olive jusqu’à ce qu’il soit translucide. Ajoutez le potiron, le fond de volaille, sel, poivre et laissez cuire 30 min à feu doux. Mixez en rajoutant la crème fraîche. Goûte et rectifiez l’assaisonnement. Réservez. Préparez les croûtons en taillant les tranches de pain de mie en petits cubes, faites les dorer dans une poêle avec un peu d’huile et réservez. Plongez les ravioles dans une casserole d’eau bouillante salée, et faites-les cuire 1 minute. Servez le velouté parsemé de marrons émiettés, de croûtons et de ravioles. Décorez avec un trait d’huile d’olive. J o y e u x a p p ét i t

Source: humour-gloire-et-beaute.blogspot.com

(photo : google) Pour répondre au souhait ou à la curiosité de certaines bloggeuses ou de certains visiteurs, je publie pour vous ma bonne vieille recette de dessert à l'eau de rose qui ne nécessite que vos bras sans ledit robot thermomix. Vous allez adorer comme ma douce moitié. Mais attention, allez-y délicatement avec l'eau de rose pour la touche finale afin de ne pas tout gâter et là, je parle par expérience. Ce sera simple comme bonjour, le plus difficile pour certaines étant de trouver l'ingrédient principal. Le met qui vous semblât sophistiqué hier n'est en quelque sorte qu'un simple blanc-manger. L'eau de rose est pour moi une eau merveilleuse pour ne pas dire «des dieux». L'odeur et la saveure, j'aime tout d'elle sans oublier le fait qu'elle est invisible. On la retrouve dans les pâtisseries du Moyen-Orient, un cigare aux amandes ou un gâteau (dans mes publications antérieures), sans oublier le loukoum. On fait aussi des gelées aux pétales de roses ou au cynorrhodon, le fruit de l'églantier, une source de vitamine C inestimable. J'ai fait jadis de cette gelée avec le fruit cueilli au lendemain du premier gel, en août-septembre comme il se doit pour la réussite de la chose. Une expérience réalisée avec mon ami Réjean. Pour les photos du dessert c'était hier (sans le colorant alimentaire, bien entendu)! Descendez votre curseur plus bas! 3 c. à soupe ou 45 ml de fécule de maïs 2 tasses ou 500 ml de lait froid 2 c. à soupe ou 25 ml de sucre glacé tamisé 1 c. à soupe ou 15 ml d'eau de rose (s'il n'y en a pas à votre épicerie ou supermarché, explorez du côté des épiceries d'alimentation saine ou naturelle ou encore à la pharmacie car l'eau de rose est parfois utilisée pour la peau...) pistaches broyées graines de grenade fraîche Mettre la fécule dans une petite casserole. Verser un peu de lait et remuer jusqu'à dissolution complète de la fécule (il faut éviter la formation de grumeaux). Verser le reste du lait en un filet constant, out en remuant. Chauffer la casserole à feu moyen et cuire en remuant constamment mais délicatement pendant 10 minuites ou jusqu'à ce que la préparation soit très chaude, qu'elle ait la consistance d'une crème épaisse et qu'elle adhère un peu au fond de la casserole. Retirer du feu. Mettre dans des bols à dessert et laisser refroidir complètement. Couvrir les bols, puis les laisser quelques heures au réfrigérateur ou jusqu'à ce que la masse soit froide et ferme. Une croûte se formera à sa surface. Servir directement au sortir du réfrigérateur saupoudré d'un peu de sucre glace et arrosé de quelques gouttes d'eau de rose (un peu seulement sinon ce sera peut être trop!). Garnir de pistaches et de graines de grenades (moi, je n'en ai jamais mis). source : livre inconnu ou égaré

Source: marieestdanssonassiette.blogspot.ca

Le caviar d'aubergine est une des préparations typiques de la Provence. Il doit y avoir autant de manières de le préparer qu'il y a de taureaux en Camargue ou de verres de pastis bus sous les platanes. Il y a néanmoins un élément constant: c'est un plat préparé à base de chair d'aubergine cuite et réduite en purée. Il se déguste froid souvent en apéritif ou en hors d'oeuvre sur des toasts mais peut aussi être utilisé comme sauce pour des pâtes ou peut même remplacer la moutarde pour accompagner la viande ou des légumes. J'ai toujours acheté mon caviar d'aubergine mais avant hier j'ai décidé d'apprendre à le préparer moi même. J'ai utilisé une des recettes les plus simples que j'ai trouvées sur Internet et comme le résultat était un peu fade, je l'ai ajusté à ma façon. Suivez moi pour devenir un expert en préparation du caviar d'aubergines. Ingrédients 2 aubergines Curcuma 3 à 4 gousses d'ail pendant cuisson Huile d'olive Sel, poivre une douzaine d'olives noires dénoyautées une gousse d'ail après cuisson Épices suivant votre préférence (J'ai utilisé du curry mais on doit pouvoir aussi utiliser du cumin en poudre, du piment, du Colombo, etc.) Préparation Préchauffer le four à 170°C. Enlever la queue des aubergines, les couper en deux dans le sens de la longueur. Faites des entailles dans la chair des demie-aubergines. Épluchez et couper en 4 les gousses d'ail "cuisson" et insérez les morceaux résultants dans les entailles précédemment faites. Arroser d'un filet d'huile d'olive et saupoudrer la chair de curcuma en poudre. Enfermer chaque demie aubergine dans une papillote de papier d'aluminium et enfourner 1/2 heure à 170°C. Sortir du four, laisser un peu refroidir et extraire la pulpe à l'aide d'une cuillère. Écraser avec une fourchette pour obtenir une pâte relativement homogène. Mettre au réfrigérateur. La recette originelle s'arrêtait ici. Quand j'ai goûté ce "caviar" bien frais je l'ai trouvé fade. Cela pourrait surprendre vu la quantité d'ail présent pendant la cuisson mais il faut savoir que l'ail non haché et cuit à l'étouffée perd beaucoup de sa "force" si typique et devient un légume "comme les autres": dans la recette à venir d'agneau boulangère, je vous donnerai ma recette pour faire une purée d'ail. J'ai donc ajouté et incorporé dans la pulpe d'aubergine, une "pâte" obtenue en mixant une douzaine d'olives noires et une gousse d'ail cru avec un peu d'huile d'olive. (En fait j'avais utilisé deux gousses mais c'est un peu trop et le résultat final devrait être mieux avec une seule gousse). Ajouter l'épice choisie (Dans mon cas du curry). Goûter et rectifier l'assaisonnement. Pour mieux apprécier l'ajoût requis de pâte olives/ail et épices, travailler de préférence sur la pulpe d'aubergine sortant du réfrigérateur et non sur la pulpe encore tiède. On peut garder quelques jours ce caviar au réfrigérateur. Ce sera tout pour aujourd'hui. Bon appétit et à bientôt pour une nouvelle aventure.

Source: pvgourmand.blogspot.fr

250 g de pois chiches en conserve 2 gousses d'ail 2 c. à soupe de tahini (purée de sésame) 1/2 citron jaune 1/2 c. à café de graines de cumin 1/2 c. à café de paprika huile d'olive quelques feuilles de persil plat sel, piment d'Alep Préparation ÉTAPE 1 Versez le contenu de la conserve de pois chiches dans un saladier. Transvasez l’équivalent de 5 cl de jus de pois chiches dans un verre et réservez. Recouvrez les pois chiches d’eau, puis roulez-les entre vos mains afin d’en ôter les peaux. L’opération est un peu longue… ÉTAPE 2 Épluchez les gousses d’ail. Pressez le jus du demi citron. Égouttez les pois chiches, placez-les dans le bol de votre robot et ajoutez l’ail, le jus de citron et le tahini. Mixez l’ensemble, tout en versant un petit filet d’huile d’olive constant, jusqu’à obtention d’une d’une pâte homogène. Salez, assaisonnez de piment d’Alep et goûtez. ÉTAPE 3 Si la préparation vous semble trop compacte, ajoutez un peu de jus de pois chiches réservé en début de recette afin de la rendre plus onctueuse. Dressez le houmous dans un petit bol. Saupoudrez de graines de cumin et de paprika en poudre. Parsemez de persil fraîchement ciselé. ÉTAPE 4 Servez le houmous en apéritif, accompagné de pain pita ou encore de tranches de pain frais.

Source: cuisineaz.com

Bar croustillant au amandes, une recette du chef Christian Constant Ça y est, j'ai réalisé la recette du chef Christian Constant, le "bar croustillant aux amandes". Ce plat figure dans son livre "Mes meilleures recettes", dont je vous parlais il y a quelques jours ( voir l'article ). Au lieu des pavés, j'ai cuisiné des filets entiers que mon poissonnier m'avait gentiment levé. Malheureusement je n'avais pas de jus de volaille pour la sauce, j'ai donc utilisé du bouillon pour poissons ... mais je pense que le résultat n'est pas du tout le même ! (ça me fera une occasion de recommencer ...) C'est quand même très bon, c'est donc un plat que je vous recommande vivement ! Bon appétit ! Les ingrédients : 40 g de câpres 4 pavés de bar (de 150g chacun, sans la peau) 4 tranches de pain de mie 2 œufs ½ bouquet de persil 80 g de cornichons 50 d’amandes effilés torréfiées 2 citrons 10 cl de jus de volaille 100 g de beurre 200 g de pousses d’épinards 1 échalote 2 cuillères à soupe de vinaigre de Xérès 1 cuillère à café de vinaigre de vin vieux 20 cl d’huile d’arachide 1 cuillère à café de moutarde forte La recette : Dessalez les câpres dans l’eau froide pendant 3 heures. Égouttez-les. Pelez et ciselez l’échalote. Lavez et hachez le persil. Pelez les citrons à vif, prélevez les quartiers et coupez-les en dés. Préparez une vinaigrette en mélangeant la moutarde, la moitié de l’huile d’arachide et les deux vinaigres. Salez et poivrez. Lavez et équeutez les pousses d’épinards. Enlevez la croûte des tranches de pain de mie et coupez-les en dès de 5mm de côté. Réservez dans un plat creux. Battez les œufs en omelette, salez et poivrez. Assaisonnez de sel et de poivre les pavés de bar. Trempez un côté dans l’œuf puis dans les dés de pain. Appuyez dessus pour bien faire adhérer le pain à la chair. Dans une poêle, à feu très doux, colorer les pavés avec le reste d’huile. Commencez par le côté pané pendant 4 à 5 minutes. Puis retournez les pavés pour 2 minutes. Sortez du feu et réservez au chaud. Dans la poêle qui a servi à la cuisson du bar, faites fondre le beurre et ajoutez les câpres dessalés, les cornichons coupés en dès et les dès de citron. Hors du feu, ajoutez le jus de volaille et le persil. Mélangez les pousses d’épinards avec la vinaigrette et l’échalote. Déposez les épinards dans les assiettes et, par-dessus, les pavés de bar. Parsemez d’amandes effilées et arrosez de sauce aux câpres. Assaisonnez de fleur de sel et de poivre du moulin.

Source: jecuisineatoulouse.blogspot.com

Les petits plats de notre quotidien avec le leitmotiv constant de travailler les légumes de saison issus de nos paniers de l'Amap (on en prend deux !). Je me réjouis chaque mercredi de découvrir la récolte de la semaine et d'imaginer nos repas autour d'elle. Je suis ravie aussi de dresser de jolies tables, de choisir avec soin le récipient qui accueillera chaque préparation : c'est l'Alsace qui tient le haut du panier avec cette tablée, trois potiers de Soufflenheim, un peu de vaisselle chinée et les toujours très jolis couverts auvergnats (l'autre région de mon coeur !). Pour 4 personnes Pour le millet * environ 200 g de millet * un peu de sel, de poivre, d'herbes de Provence * un peu d'huile d'olive Pour la salade de betteraves * 2 belles betteraves cuites * environ 100 g de feta émiéttée * 2 cuillères à soupe d'huile d'olive * 1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre * un peu de sel et de poivre * quelques herbes fraîches Pour la salade carottes-radis * quelques carottes * 1 radis * 3 cuillères à soupe d'huile de colza * 1 cuillère à soupe de moutarde à l'ail des ours (ou autre moutarde de votre choix) * le jus et le zeste d'un citron * 2 cuillères à soupe de levure maltée Cuire le millet selon vos habitudes. Assaisonner avec un peu de sel, de poivre, d'herbes et d'huile d'olive. Couper les betteraves en petits cubes. Ajouter la feta et assaisonner. Goûter pour ajuster à votre convenance. Râper les carottes et le radis. Assaisonner. C'est prêt !

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

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