content | verrine crevette avocat boursin | punch ruhm banane kiwi | POTÉE paul bocuse | recettes24.fr | soupe benoit gagnon recette | soufflé thon et courgette marmiton | recettes de salsa
Se Connecter

Connectez-vous pour recettes24 pour enregistrer vos recettes préférées

Si vous n'êtes pas encore enregistré(e), inscrivez-vous maintenant!

Mot de passe oublié?

Bonjour! Aujourd'hui je participe pour la 1ère fois à Un tour en cuisine, dont le principe est: "Il faut s'inscrire à un tour. Tout internaute tenant un blog culinaire peut participer, quelque soit son style de cuisine, ses préférences sucrées/salées et/ou ses performances de photographe. Ce qui importe c'est de découvrir et de s'amuser. Le tour débute dès 20 inscriptions. Les participants s'engagent à réaliser et publier une recette du blog qui leur est attribué." Je devais donc choisir pour l'occasion une recette du blog Recettes & cie d'Emi95240 et c'est Cuisine et passions du blog Entre cuisine et jardin qui a été désignée pour choisir une de mes recettes :-) Un tour en cuisine m'a permis de découvrir ces deux blogs très sympa! J'ai eu franchement eu un choix énorme sur le blog d'emi: j'avais un gros faible pour la paella du chef Constant (que j'espère faire dans un avenir proche;-) mais là je me suis arrêté sur la recette des muffins à la framboise (j'avais justement des framboises;-) Un choix que je n'ai pas regretté vu qu'ils étaient vraiment délicieux!! Pour l'occasion j'ai sorti un de mes moules préférés: celui à barquettes ;-) La recette des muffins à la framboise (à laquelle je n'ai rien changé!) Ingrédients : 200gr de farine 75gr de sucre 2 c à s de poudre d'amande 1 sachet de levure 150ml de lait 1 oeuf 50gr de beurre fondu 200gr de framboises Préparation : Préchauffer le four à 180°. Dans un saladier mélanger la farine, le sucre, la poudre d'amandes et la levure. Dans un autre mélanger le lait, l'oeuf, le beurre fondu et les framboises. Verser le mélange à base de framboises dans le 1er mélange. Bien remuer jusqu'à obtenir une texture grumeleuse. Garnisser les moules à muffins/financiers... de cette préparation et faites cuire 15min environ En ce qui concerne la cuisson pour les muffins la prochaine fois ça sera plutôt 18min que 15 mais en ce qui concerne les barquettes 15min c'était parfait!

Source: kittiescuisine.blogspot.com

Hier, mine de rien, Paul me commande une pizza. Je rêve ou quoi ????? Quand il m'est arrivé de présenter une pizza toute prête les soirs où je rentre tard du boulot, ce n'est qu'une suite de : "y'a d'la tomate !" (quelle perspicacité !), "il est mauvais le fromage ..." ou "elle est trop dure ta pizza ..." . Et je vous épargne les "j'aime pas les oignons sur la tarte flambée", "y'a des morceaux" dans la bolognaise et "j'aime pas trop ces nouilles " dans un plat de ... nouilles ! Ahahah ! Paul, si on ne t'avait pas fait ... Mais j'ai trouvé la parade, gnarf gnarf, sauf quand je rentre tard du boulot. Parce que faire sa pizza, c'est fastoche, mais ça veut quand même dire faire sa pâte levée, et donc prévoir un rétro planning de deux bonnes heures avant d'entendre des "Hmmmm...", "C'est trop bon maman ..." ou "Encore un morceau s'il te plaît". Ça fait des années que j'utilise la recette de la pâte à pain du livre La cuisine de Jamie de Jamie Oliver : proportions parfaites, jolie texture et temps de levage assez constant. En général, je fais la recette avec 500g de farine ; ça me permet de cuisiner une pizza ronde (diamètre environ 30cm) et une rectangulaire (30 sur 40cm). Vous pouvez également doubler la recette, pré cuire des fonds de pizza pendant 5 mn puis les congeler pour quand vous rentrez tard du boulot (tiens, c'est bizarre, pourquoi j'y avais pas pensé :) ???). Ou alors faire une deuxième pousse et cuire un pain pour le lendemain. Ou alors inviter des amis. Pizza spéciale Paul. Les tomates sont sur ma partie. Pâte à pain de Jamie O. et pizza spéciale Paul Ingrédients - 1 sachet de levure de boulanger déshydratée - 15g de miel - 30cl d'eau tiède - 500g de farine (j'ai utilisé 300g de farine de blé, 100g de farine complète et 100g de seigle) - 15g de sel Délayez la levure et le miel dans la moitié de l'eau tiède. Dans un grand bol, assemblez les farines et le sel, puis creusez un puits. Ajoutez la levure délayée et hydratez la farine autour. Ajoutez le reste de l'eau tiède et mélangez avec vos mains. Vous allez obtenir une boule assez collante. Sur un plan de travail fariné, pétrissez la pâte quelques minutes dans tous les sens. La pâte doit gagner en texture et ne plus coller aux doigts ; rajoutez un peu de farine si nécessaire. Replacez la pâte dans le bol, couvrez d'un torchon propre et oubliez dans un endroit non ventilé (par exemple dans le four à micro onde, c'est très bien). Au bout de une à une heure et demi, la pâte devrait avoir doublé de volume. Sur un plan de travail fariné, pétrissez la un bref instant pour en chasser l'air, prélevez environ la moitié et étalez sur environ 0,75cm à la taille de votre plaque de cuisson. C'est le moment de préchauffer votre four à 220°C ou 200°C chaleur tournante. Le temps du préchauffage correspond en gros aux 10mn de pousse que votre pâte à pizza nécessite encore. Profitez également de ce temps pour préparer la garniture de votre pizza. Pour la spéciale Paul :  de la sauce tomate (maison ou pas, la barilla au basilic me convient bien, et un petit pot suffit pour la pizza ronde), 2 tranches de jambon coupées finement et une boule de mozza détaillée, le tout saupoudré  de parmesan râpé, d'origan et de basilic (pas trop, sinon le Paul va s'offusquer de "ces petits bouts verts"). Pour la pizza rectangulaire : 3 garnitures pour 4 personnes. Sauce tomate, basilic, origan et parmesan pour tous. Puis, une spéciale Paul à gauche, figues du déshydrateur, champignons et chèvre au milieu, et champignons, coppa préalablement grillée et mozza à droite. Garnissez la pâte juste avant d'enfourner pour environ 10 mn, ou jusqu'à ce que le fromage soit bien doré. Mmmmm, dis donc, ça sent drôlement bon dans cette cuisine ! Édit du soir bonsoir : Paul n'aime pas les tomates MAIS il adore la sauce tomate. Si quelqu'un a reçu par erreur le mode d'emploi de cet enfant, qu'il me le renvoie IMMÉDIATEMENT !

Source: secotinemaligne.blogspot.com

Ingrédients : * 1 kg viande de dinde, coupée en morceaux * 2 oignons moyens        * 2 gousses d'ail * 2 carottes         * 2 persils à grosse racine * 100-150 g de haricots verts * 1 feuille de laurier       * 1 branche de thym *1 cuillère à soupe d'huile d'olive * 1 branche de persil ou de cerfeuil * 8 feuilles de gélatine alimentaire * 1 verre de bon vin      * sel       * poivre * 2 œufs durs       * olives Placez la dinde garnie de la moitié du bouquet de persil dans une marmite. Recouvrez-la d'eau froide, portez à ébullition en écumant. Ajouter les oignons pelés et coupés en 4, les deux gousses d'ail écrasées, la feuille de laurier, la branche de thym, un peu de poivre, une cuillère à café de gros sel, le persil ou le cerfeuil ciselé. Ajouter également les carottes et les racines de persil coupés en rondelles, les haricots verts et le verre de vin blanc. Puis rajouter de l'eau jusqu'à recouvrir le tout, mais pas plus. Couvrir et laisser mijoter à feu très doux environ 1 h 30 à 2 heures tout en surveillant le niveau d'eau qui doit rester constant (rajouter un peu d'eau si nécessaire). Lorsque la dinde est bien cuite, la laisser refroidir, puis enlever saignement tous les os en mettant tout les morceaux dans une terrine ou un autre bol. Filtrer le bouillon de cuisson, prélever les carottes, les racines de persil, les haricots verts et les rajouter aux morceaux de la dinde. Faire tremper les feuilles de gélatine dans un bol d'eau froide jusqu'à les ramollir. Prélever un peu de bouillon dans une casserole et mettre à chauffer doucement, y incorporer les feuilles de gélatine ramollie, lorsqu'elles sont diluées, rajouter le restant du bouillon, bien remuer. Versez 1 cm de gelée refroidie, mais liquide dans une terrine. Faites prendre 15 min au frigo. Remplissez de la dinde, des carottes, des racines de persil et des haricots verts en couches alternées. Parsemez du persil ciselé entre chaque couche. Décorer avec des morceaux d'œufs durs et des olives. Recouvrez de gelée, cela doit recouvrir le tout. Laisser prendre au froid au réfrigérateur, au minimum 12 heures. La terrine est bien meilleure le lendemain. A servir avec une salade verte, ou quelques rondelles de tomates.

Source: lesplatsroumaines.blogspot.com

Malgré la  température caniculaire , je ne peux m’empêcher de faire le mijoté du dimanche… L’osso buco testé… Jarret de veau à la ménagère, façon Ossobuco à la milanaise Veau 2 rouelles épaisses de jarret de veau farine beurre 2 gousses d’ail 1 bouquet de romarin 1 bouquet de thym 2 branches de sauge 25 cl. de vin blanc sec 50 cl. du bouillon de veau Sauce 1 carotte (ou 1 botte de carottes fanes) une branche de céleri-rave 1 oignon jaune 2 gousses d’ail beurre pour la cuisson 1 cuillère à soupe de purée de tomates 2 tomates, coupées en dés 200 g de tomates concassées 50 cl. de jus de cuisson de veau 5-10 cl. de jus d’orange 1 cuillère à café de romarin et de thym maïzena (si nécessaire) Gremolata 3 cuillères à soupe de persil grossièrement haché du zeste de citron 1   cuillère à soupe d’ail finement haché Veau  : fariner légèrement  les morceaux de veau et les faire rissoler avec le beurre dans un faitout, jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés. Ajouter l’ail et les herbes aromatiques. Verser le bouillon de veau de manière à recouvrir la viande, puis garder ce niveau constant tout au long de la cuisson en ajoutant de l’eau. Compter environ 2 heures de cuisson. Sauce  : couper la carotte, le céleri et l’oignon en dés de quelques centimètres et les faire brunir dans du beurre en remuant sans cesse. Ajouter l’ail et la purée de tomates. Faire suer pendant encore 2 ou 3 minutes, puis ajouter le vin blanc, les tomates concassées et le jus de la cuisson de veau. Faire mijoter pendant environ 15 minutes et, si nécessaire, lier avec un peu de Maïzena. Assaisonner avec le jus d’orange, du sel et du poivre. Au moment de servir, mélanger aux dés de tomates de parsemer de romarin et de thym haché. Dresser sur une assiette avec de la  gremolata  par-dessus et du  risotto  à côté (ou accompagné avec des galettes de  polenta ). Servir avec une salade de tomates finement tranchées. Bon dimanche ! O      o O oOo

Source: delicesetcaprices.blogspot.com

Oeuf Fabergé revisité façon Chef Constant suite à l'épisode 2 de la deuxième saison de Top Chef. oeuf "Constant-Fabergé" de macaronis farcis aux spaghettis d...

Allez, il est temps de "remonter" un peu à Paris, comme on dit dans ma province ! ;o) Un petit voyage de début d'été, pour permettre aux prochains voyageurs de découvrir, peut-être, des choses nouvelles ... Et pour les autres de se promener un peu, tout simplement ... Moi, quand je viens à Paris, je retourne habiter chez ma maman. C'est à Boulogne, vous le savez sans doute maintenant ... ;o) Et la première promenade que je fais, c'est en général le premier matin que je la fais. Je me lève très tôt et je file toute seule dans les rues de Boulogne explorer des ruelles qui m'auraient échappées durant les 40 dernières années ... Vous savez sans doute aussi, au fil des années que vous avez passées à lire ce blog, que le patrimoine architectural y est immense ... surtout lorsque l'on aime autant que moi les Années 30 ... Je profite de ces longues balades matinales pour remonter le temps ... Pour passer devant ce qui fut mon collège ... ... La belle mairie où je me suis mariée un jour ... ;o) La grande cheminée devant laquelle je passais chaque jour en allant en cours ... sans jamais avoir vraiment su à quelle usine elle avait un jour appartenu ... Une blanchisserie, peut-être ? Savez-vous que Boulogne fut durant des siècles LA ville des blanchisseries ... Louis XIV, en créant une route pavée (l'actuelle avenue Jean-Baptiste Clément pour les initiés) pour faciliter ses trajets entre le Louvre et Versailles, permit l'essor de la ville. Les courtisans laissaient au passage leur linge aux blanchisseuses des couvents boulonnais. Plus tard, l'activité se développa au niveau industriel ... Mais je vous reparlerai de ce volet majeur de l'histoire de Boulogne un autre jour ... Je vous reparlerai aussi de ces odeurs terribles de pain d'épice qui venaient nous chatouiller les narines en allant à l'école ... La Biscuiterie Française n'était pas bien loin et, suivant le sens du vent, l'air des rues se saturait en entêtantes odeurs de cannelle, de girofle et autres épices ... Un joli souvenir ... Je ferai aussi avec vous cet intéressant "parcours industriel", en vous racontant combien Boulogne fut importante pour l'industrie française ... Avec Renault pour l'automobile et Farman pour l'aéronautique ... mais pas seulement ... Nous irons jeter un oeil à l'ancienne usine LMT (Le Matériel Téléphonique, qui installa en 1927 en haut de la Tour Eiffel l'émetteur le plus puissant de l'époque...) en bord de Seine), et puis nous irons faire un tour sur l'Île Seguin, aussi, qui hébergea jusqu'à il y a quelques années les fameuses usines Renault, aujourd'hui détruites ... Nous aurons de quoi nous occuper, je peux vous l'assurer ... o:) Après cette rituelle balade matinale dans la ville de mon enfance, on file en général faire un tour à So Ouest, pour faire plaisir aux garçons ... Entre deux magasins, on mange un petit truc au café de Marks and Spencer ... C'est en général très bon ... et très anglais ! ;o) Cette fois, ma copine Rachel est avec nous ... Je pense que l'aventure ne plaît pas qu'à Clément ! ;o) Après ces deux moments importants de nos visites parisiennes, le séjour peut vraiment commencer ... Quoi de mieux qu'une balade dans l'un des parcs parisiens pour renifler l'air de Paris ? Le parc Monceau, qui n'est pas très loin de chez ma maman, est très agréable. On y entre par la rotonde, en général, en bordure Nord du parc, au niveau du boulevard de Courcelles. On s'y balade tranquillement le long d'allées fleuries ... Un joli coin de campagne au milieu du tumulte urbain ... En fin de printemps, les amateurs de botanique viennent y admirer les arbres en fleurs ... Dans un coin, on a installé des ruches. Comme dans beaucoup d'endroits dans Paris, finalement ... L'ambiance est bucolique, c'est sûr ... Quel bel endroit pour s'asseoir dans une pelouse toute verte, au milieu des rhododendrons ... Tenez, même Cendrillon vient s'y promener, parfois ! ;o) Profitons-en pour rendre visite à quelques grands hommes ... Peut-être arriverez-vous à entendre quelques notes du "Hamlet" du compositeur Ambroise Thomas ? Ou bien d'autres du joyeux aria de la Marguerite du Faust de Gounod ... "Ah, je ris de me voir si belle en ce miroir ..." ... Avec le dramaturge Édouard Pailleron ... ... , vive "Le monde où l'on s'amuse" ... On laissera "Le monde où l'on s'ennuie" à d'autres, pour aujourd'hui ! ;o) On prendra un instant la place de cette femme alanguie aux pieds de Guy de Maupassant, rêveuse après la lecture de Bel Ami ... Soit dit en passant, il a fière allure, le Maupassant de Raoul Verlet ! Quant à la dame, même si elle a perdu un morceau de son nez, elle n'en est pas moins ravissante ... J'aime de plus en plus la sculpture, moi. Pas vous ? Ah, retour dans le monde de la musique ... ... avec cet hommage à Frédéric Chopin. Et c'est donc sur ces quelques notes que nous continuons notre promenade ... Le pépiement des moineaux parisiens nous accompagne. Et ça pépie fort, un moineau parisien ! ;o) En parlant des animaux, il y en a tout plein, des bestioles, dans les parcs parisiens ... Même des renards, vraisemblablement ! Il y a des enfants, aussi. Et des enfants heureux, qui jacassent et criaillent pas mal aussi, je peux vous l'assurer ! ;o) Bon, cette photo est juste pour moi. C'est là que parfois, nous venions faire du patin à roulette lorsque j'étais petite ... Pour ceux qui auraient connu ça, regardez cette petite vidéo-là . Saut dans le temps garanti ! Rien n'a changé ... sauf les patins ! C'est étonnant ... On s'arrête un instant sous ce gros arbre-là ? Ses grosses branches sont accueillantes ... Petit coup d'oeil derrière les grilles du parc ... Photo de mode ou vrai mariage ? Revenons à nos paysages de campagne ... Contournons la naumachie, avec son petit lac tranquille et sa jolie colonnade corinthienne, rescapée de l'église Notre-Dame de la Rotonde, à Saint-Denis, détruite en 1719 ... Au bord de l'eau, quelques iris apportent une jolie touche de couleur ... Ce jardin est un vrai tableau ... Ce beau pigeon ramier va-t-il sauter à l'eau ? Le saut était à la mode, fut un temps, dans le parc Monceau ... Levons maintenant un peu le regard en longeant les bordures du parc. Les bâtiments sont de superbes hôtels particuliers, tous plus imposants les uns que les autres ... Celui-ci, au 5 de l'avenue Van Dyck, est particulièrement réussi. C'est l'Hôtel Menier, du nom du chocolatier français, construit entre 1872 et 1874. Un ensemble baroque de toute beauté qui reflète bien l'opulence dans laquelle vivaient ces barons de l'industrie et du commerce du XIX ème siècle... Le Parc Monceau était un endroit très fréquenté par le beau monde, avant ... Quelques clichés volés au milieu des feuilles qui commencent à couvrir les arbres ... et à cacher ces merveilles d'architecture ... Il faudra revenir en plein hiver pour les redécouvrir pleinement ... On notera alors d'amusants détails ! ;o Après cette petite marche dans le Parc Monceau, retour dans le centre de Paris ... Le long des quais de la Seine ... C'est toujours un plaisir ... Nous terminons la journée dans le quartier du Marais ... Quelques instants de recueillement dans la belle église Saint-Gervais-Saint-Protais ... ... et puis un délicieux dîner, comme toujours, chez nos copains Juliette et Daniel ! On est toujours hyper-gâtés, chez eux ! Ils sont adorables et Juliette cuisine divinement. Ce soir-là, en plus, nous avons droit à des boulettes sorties tout droit du Jérusalem de Yotam Ottolenghi ! Pouvait-elle me faire plus plaisir, ma copine ? ;o) La deuxième journée de mon petit séjour commence sous le soleil ... Les choses se gâtent un peu lorsque de gros nuages arrivent ... Je dégaine mon parapluie ... Celui qui résume ma vie ... ;o) Paris et la Riviera ... On s'engouffre dans la Crypte Archéologique ... ... dont l'entrée se trouve sous Notre-Dame ... La Crypte archéologique du parvis Notre-Dame présente les vestiges archéologiques découverts lors des fouilles réalisées ici entre 1965 et 1970. Elle permet une découverte unique de l’évolution urbaine et architecturale de l’île de la Cité, qui fut de tout temps le cœur historique de Paris. Ici, tout est prévu pour nous permettre de remonter le temps ... On découvre les bâtiments qui se sont succédés sur le site, de l’Antiquité au XXe siècle. On revit l'histoire ... Quai du port de l’antique Lutèce ... Établissement gallo-romain de bains publics ... Restes médiévaux de la rue Neuve Notre-Dame ... ... ou encore fondations de l’Hospice des Enfants-Trouvés, tracés des égouts haussmanniens, aussi, le passé, antique, médiéval et classique, revit sous nos pieds. Avec une scénographie parfaite, la Crypte ranime la mémoire d’un des plus anciens quartiers de Paris et montre comment la ville, depuis plus de deux mille ans, n’a cessé de se reconstruire sur elle-même. Un très beau témoignage, qui éclairera désormais mes promenades parisiennes ... Heureusement, Notre-Dame est toujours là ! ;o) Le ciel est redevenu bleu. Le soleil frappe à nouveau ! L'air se réchauffe ... La Seine est tranquille ... Le touriste est heureux ! Les bouquinistes rouvrent leurs étals ... ... et les habitants, leurs fenêtres ... Le pingouin de la rue de la Huchette va bientôt crever de chaud ! ;o) Il aurait dû choisir l'étroitissime rue du Chat qui Pêche pour s'installer. Celle-là, elle est toujours à l'abri du soleil ! Comme toujours dans la rue de la Huchette ... ... on déjeune d'un gyros ... Toujours au même endroit. Ma seule infidélité m'a un jour valu une gastro bien carabinée ! ;o))) On partage avec une colonie d'étourneaux plutôt collante ! ... et on repart en marchant, le nez en l'air, à la recherche de l'image insolite ... ... et des souvenirs ... La fontaine Saint-Michel est toujours bien en place ... Me voilà rassurée. Il y a toujours de très beaux hôtels particuliers, bien planqués derrière de lourdes portes ouvragées ... J'aime ce mystère ... Il y a à chaque pas quelque-chose à découvrir. Dans une boutique ... Dans le ciel ... ... ou même tout bêtement le long des trottoirs ! Amateurs d'architecture ... ... et d'Histoire ... ... vous êtes servis !!! Chaque époque ... ... a laissé ses traces ... ... dans les rues de Paris. Petite digression pour vous montrer comment parfois, j'élabore mes prochaines invitations ... Je pique les idées à la devanture des restaurants, réinterprétant ensuite un peu les choses, bien sûr, mais enfin, j'aime bien l'idée que quelqu'un ait réfléchi avant moi à l'élaboration du repas parfait ... Ce brunch méditerranéen m'inspire bien, pas vous ? On arrive devant la statue de Danton, au métro Odéon ... Un peu de lèche-vitrine ... Ça ne peut pas faire de mal ... ... de regarder de jolies choses ! Petit arrêt chez Gérard Mulot ... ... à côté du très beau marché Saint-Honoré. Quelques belles devantures encore ... comme cette ancienne boucherie conservée en parfait état, avec encore ses gros crochets auxquels on suspendait les bestioles ! ;o) ... ou cet étendage de chaussettes, simple, certes, mais très élégant ! ;o)) On arrive à notre but, l'église Saint-Sulpice, dont nous visiterons les cryptes exceptionnelles dans un petit moment. On s'arrête d'abord sur la place ... Une averse commence à tomber ... On grimpe à l'étage d'un vieux bistrot que j'aime bien ... Un vrai bistrot à l'ancienne... On sort nos provisions ! ;o)) ... et le petit café prend tout de suite quelques lettres de noblesse ! ;o) La flotte tombe à seaux ... On s'en fiche, on est à l'abri ! On traverse quand même la place assez vite ... On a rendez-vous avec notre conférencière et il ne faudrait pas être en retard ... L’Église Saint-Sulpice est l’une des plus belles églises de Paris. Le monument actuel daterait du 17e siècle, mais sa construction fut interrompue à de multiples reprises et l'église ne fut terminée qu'en 1870. Après avoir fait un tour de l'église et admiré ses plus belles pièces ... dont cette superbe chapelle dédiée à la Vierge avec, entourée de colonnes de marbre et surmontée d'une coupole rococo, une magnifique statue de la vierge et l'enfant écrasant le serpent de Jean-Baptiste Pigalle. Tout comme ce bénitier ... ... particulièrement réaliste ! Le but de notre visite, c'est la découverte des cryptes. On ne peut les visiter que sur rendez-vous et c'est un truc assez exceptionnel ... Extrêmement vaste, elle abrite en son centre les fondations de l'église primitive. Je ne vous en raconte pas plus. Inscrivez-vous à une visite. Vous ne le regretterez pas ... Lorsque l'on ressort, deux bonnes heures plus tard, le ciel est de nouveau tout bleu ... Je vous montre un peu mieux la grande fontaine située au milieu de la place. C'est l'œuvre de Louis Visconti ... ... installée en 1847 en l’honneur de quatre grands hommes d’Eglise et de lettres du 17e siècle, Bossuet, Fénelon, Fléchier et Massillon. Un dernier coup d'œil à ce bâtiment d'exception ... ... - Paris regorge décidément de merveilles - ... ... et nous voilà devant le jardin du Luxembourg. Créé en 1612 à la demande de Marie de Médicis pour accompagner le Palais du Luxembourg, il appartient désormais au domaine du Sénat. On peut s'y promener ... Le long de l'Orangerie, c'est superbe ... ... ou trouver des partenaires pour jouer aux échecs. Il y a de belles fontaines ... ... et peut-être de séduisants - ou pas - vieux sénateurs ! ;o) Devant le Palais du Luxembourg s'est installée ... Une exposition sur la firme Michelin durant la Première Guerre Mondiale. Autour d'une carte de France géante listant les divers champs de bataille, divers panneaux explicatifs racontent comme la firme participa à la guerre. Des photos d'époque ... ... et de petits textes intéressants ... ... l'ensemble est plutôt bien intéressant. Une dernière chose à ne pas rater avant de ressortir du jardin ... La série des "Reines de France et Femmes illustres", qui regroupe vingt sculptures disposées sur la promenade surplombant le parterre central et le grand bassin, devant le palais du Luxembourg. Superbe ! On jette un oeil à l'exposition sur les Droits de l'Homme inaugurée hier ... Intéressante ... On remonte la rue Soufflot pour admirer cette sculpture digne d'un Botero et que je ne connaissais pas. L'œuvre, surnommée "Le Gros Tout-Nu" par les étudiants de la Sorbonne voisine, a été offerte par son auteur, le sculpteur chinois Hong-Biao Shen, à la Sorbonne, où il a fait une partie de ses études. La statue est là pour une exposition temporaire mais il semblerait qu'elle déchaîne les passions ! ;o))) Il faut dire que son style tranche un chouilla avec le classicisme extrême du quartier ! Passons maintenant, avant de rentrer à Boulogne, devant le Collège de France, devant lequel trône la statue de l'humaniste Guillaume Budé ... Il faudra que je vous reparle de cette vénérable institution ... Mais pour l'instant, partageons une margarita, un mojito ou un tequila sunrise pour fêter ... pour fêter quoi, au fait ? La vie, tout simplement ? ;o) Fin de la journée devant la tour Eiffel éclairée. Rachel y tient beaucoup. Clément et sa grand-mère aussi ! ;o) Jour suivant ... On démarre notre périple au Pont Neuf. Devant la Samaritaine. Enfin, feu la Samaritaine ... On va un peu tourner autour, histoire que je vous en détaille quelques points sympathiques ... Sa grande façade Art Déco qui donne sur le Seine, d'abord ... Sa belle signalétique très Art Nouveau, aussi, avec l'enseigne signée Eugène Grasset ... ... et les belles plaques en lave polie et émaillée ... ... aux décors floraux ... ... qui annoncent joliment au passant ce qu'il trouvera à l'intérieur. Et ça, c'est vraiment tout un programme ... Même les bateaux-mouches ralentissent, devant la Samaritaine ... Suivons maintenant le quai de la Mégisserie en direction de l'Hôtel de Ville. C'était une récompense, quand on y venait, lorsque j'étais petite ... Rien n'a vraiment changé. Des animaux et des plantes ... Comme avant ... De bons souvenirs ... Avez-vous déjà vu l'arrière du Théâtre de la Ville, rue Adolphe Adam, et son joli balcon ? Enfonçons-nous dans le Marais ... Observons les anciennes indications de rues, gravées dans la pierre ... Promenons-nous sans but précis ... ... sinon celui de voir de jolies choses ... Bientôt midi, nous avons rendez-vous au métro Étienne Marcel ... C'est au pas de course que nous dépassons le Centre Pompidou ... ... non sans noter quand même les expositions du moment ... Et nous voilà quelques minutes plus tard devant notre restaurant, les Pâtes Vivantes, que Gracianne m'avait fait découvrir l'année dernière ... Voici une autre succursale, plus pratique d'accès pour nous aujourd'hui. Je veux faire goûter ces pâtes délicieuses à Rachel et à Clem, qui nous a rejointes ... Un petit coup d'œil dans la vitrine, où l'on prépare ces bestioles (c'est un peu cela, tant elles ont l'air vivante lorsqu'on les fait tournoyer en l'air ...) ... ... et l'on entre vite croquer dans de délicieux gyozas ... ... en attendant que nos plats arrivent ! Un délicieux moment, que vous devez absolument essayer vous aussi ... Tiens, je vous donne l'adresse de leur site ... Vous vous ferez une idée, comme ça ... C'est par ici ... et c'est remarquablement peu cher, en plus ! Que demande le peuple, hein ? ;o)) Pendant que l'on déjeune, dehors, c'est la tempête. Un orage brusque et violent ! On sort quand même, pour voir ... Quelques minutes plus tard, c'est terminé ! Et c'est tant mieux car se promener sous des seaux d'eau ... très peu pour moi ! ;o) Nous étions à la Samaritaine, nous voilà au BHV ... Pour la petite histoire, Le Bazar de l'Hôtel de Ville est installé ici aujourd'hui grâce à un commerçant lyonnais, Xavier Ruel qui, en 1856, constatant que les articles de bonneterie qu'il faisait vendre par des camelots dans les rues ne partaient jamais aussi bien qu'ici, au coin de la rue de Rivoli et de la rue des Archives, décide d'installer un petit magasin à cet endroit précis. Des fois, on a du nez ! En 1855, alors que l’impératrice Eugénie passe devant le magasin, les chevaux de son attelage s’emballent brutalement. Xavier Ruel, qui voit l'incident se produire, réussit à maîtriser les chevaux, ce qui lui vaut une belle récompense qui lui permettra d'agrandir significativement sa boutique, qu'il baptisera alors "Bazar Napoléon". Des fois, on a de la chance !! Xavier Ruel meurt en 1900, laissant derrière lui quelques 800 employés de son magasin. Son petit-fils Henri Viguier prend alors la relève et parachève l’œuvre de son grand-père. Il supervise de vastes travaux en 1912, qui donneront au bâtiment l'aspect qu'on lui connaît aujourd'hui. Le magasin devient dès lors l'un des grands magasins parisiens de la mode. Pour ceux qui ne connaissent pas, je vous ferai un jour visiter son fameux rayon consacré au bricolage !!! En ressortant, on passe la tête dans l'enceinte du très joli cloître des Billettes, au 24 de la rue des Archives ... Une exposition curieuse s'y tient ... Comme souvent ... Mais le cadre est tellement joli ... Vous saviez que c'était le dernier cloître du Moyen-Âge à subsister dans Paris ? Les maisons qui surplombent les galerie sont, elles, "un peu", plus récentes ... Toujours ce très beau portail dans l'angle du Square Sainte-Croix de la Bretonnerie ... ... et la délicieuse boutique "Moustache", pour nos amies les bêtes ... ;o) Quelques tags ... ... divertissants ? ;o))) ... et des poteaux joliment décorés ... ... dans la rue des Blancs-Manteaux ... Les petits détails qui rendent une promenade vivante ... ... et ludique ! Comme j'aime, quoi ... ;o) Étonnants aussi, ces trois nez qui sortent d'une vitrine ... La librairie des Archives, dans laquelle j'adore aller farfouiller, est fermée ... Tant pis ... J'en profite pour photographier d'un peu plus près sa pancarte vintage ... Encore un peu de marche et nous voilà devant le Cirque d'Hiver ... Il est étonnant, ce bâtiment ... Il date quand même de 1852, s'appelle alors le Cirque Napoléon et est essentiellement voué à l'art équestre.. C'est ici que se produit le 12 novembre 1859 le Toulousain Léotard, premier « artiste volant », qui invente l’art du trapèze volant. En 1873, il devient le Cirque d'Hiver. Au début des années 1900, Pathé transforme l'endroit en "Temple de l’Art Nouveau" ... Mais nous en reparlerons. D'un petit coup de métro, revenons dans le centre de Paris ... Rue de l'École de Médecine, plus exactement. En face de la maison où naquit Sarah Bernhardt se trouve une petite pâtisserie où tous les étudiants du Quartier Latin viennent refaire le monde depuis près de 100 ans ! Je veux y faire entrer ma copine Rachel, dans la série "À la découverte de mon Paris à moi" ... ;o) Oui, l'espace d'un instant, vous êtes à Vienne ... La salle est minuscule, le confort, un peu spartiate mais sur les tables, cafés et chocolats débordent d'une crème fouettée épaisse qui dégouline immanquablement dans la soucoupe ... Quant aux pâtisseries, ah les pâtisseries ! Je prends depuis toujours celles au pavot. Pomme-pavot, cerise-pavot, pavot-pavot ... ;o)) J'aime la petite amertume de ces graines-là ... Ils ont une forêt-noire délicieuse, aussi ... Avis aux amateurs ! ;o) On continue de tourner et virer dans le Quartier Latin ... Nous voilà à l'angle de la rue Boutebrie et de la rue de la Parcheminerie. Au numéro 29 de cette dernière, n'hésitez pas à entrer dans cette toute petite échoppe, au-dessus de laquelle flotte un drapeau canadien. Vous êtes ici à l'Abbey Bookshop, tenue par un sympathique Canadien anglophone ... Des piles de bouquins, neufs ou d'occasion, rangés sur les immenses étagères de couloirs étroits ... ... ou juste posés par terre, empilés çà et là ... Une vraie caverne d'Ali Baba pour qui aime lire en anglais ... On peut prendre son temps, recueillir des conseils avisés si l'on veut agrandir son champ de connaissance en matière de littérature anglo-saxonne ... et même boire un thé ou un café, toujours chauds au fond du magasin ... Un vrai régal que cet endroit-là ! Je vous montre la mignonne vitrine de la bibliothèque "l'Heure Joyeuse", dans la rue Saint-Séverin. Une bibliothèque qui fut, à sa création en 1924, dans la toute proche rue Boutebrie, la première bibliothèque de France consacrée à la littérature pour la jeunesse ... On ne peut pas passer devant l'église Saint-Séverin sans y entrer ... Elle la plus ancienne des églises paroissiales de la rive gauche de Paris et l'une des plus belles dans le style gothique flamboyant. Elle offre une large collection de vitraux du XIXème siècle ... ... et du XXème, avec, le long du déambulatoire, des vitraux de Jean Bazaine, sur le thème des sept sacrements. C'est le curé d'alors, Alain Ponsard, qui les commanda à l'artiste en 1966. Je les trouve impressionnants ... ... même si bien moins figuratifs ! ;o) En ressortant de Saint-Séverin ... Attention aux gargouilles, cependant ... ... on repart par la rue Galande. Il m'arrivait de venir dans ce cinéma, lorsque je vivais encore à Paris. Et si vous êtes nostalgique du cultissime Rocky Horror Picture Show, ne manquez pas de venir assister à l'une des séances du soir du vendredi et du samedi ... armés d'une bouteille d'eau et d'un sac de riz ! ;o)) Regardez avant d'y aller ce petit reportage . Cela achèvera de vous convaincre ! ou pas ! ;o)) Marchons vers la Seine. Voici Notre-Dame, encore une fois. Et un petit moineau parisien. Voilà la librairie Shakespeare and Co, que je ne vous présente plus ... Les cadenas du Pont de l'Archevêché ... On aime ou on n'aime pas ... Le Mémorial des Martyrs de la Déportation, tout au bout de l'Île de la Cité ... Les belles façades du Quai d'Orléans ... Un lieu propice à la détente ... À la rêverie, aussi ... Retour vers l'Hôtel de Ville par les Quais ... On en profite pour regarder un peu en détail les statues qui ornent la façade du bâtiment. Je découvre à cette occasion celle de Mme Roland, qui fut l'égérie des Girondins pendant la Révolution Française et qui termina, comme beaucoup, guillotinée ! Ici, elle a encore sa tête ! ;o)) Nous voilà sur le parvis, plutôt désert en cette fin d'après-midi ... Levez la tête et tenez-vous droit ! ;o) Fin de la journée. Vous pouvez rentrer vous reposer ! ;o)) Demain sera un jour chargé ! ;o) Chargé, certes, mais on commencera la journée par un déjeuner délicieux. Chez Miznon, au coeur du Marais. Au 22 rue des Écouffes, plus exactement ... Sur une idée d' Hélène , que nous retrouvons avec toujours autant de plaisir ! La street food de Telaviv qui débarque à Paris ... ... avec son cortège de produits frais ... ... et délicieux ! Le simple fait d'entrer dans la petite boutique met les papilles en alerte ... Ici, la pita est à l'honneur ... Le chou-fleur, aussi. Ce chou-fleur rôti dont je vous parlais il y a peu ... Avec de la sauce tarator ou quelques condiments, c'est le bonheur assuré ! Ce chou-fleur, on peut l'avoir rôti, à partager, ou bien brisé, dans une pita toute moelleuse ... C'est l'option pour laquelle j'opte aujourd'hui. Je partagerai un autre jour ! ;o) Les autres se régalent d'excellentes keftas très parfumées ... Bon, bref, on se régale tous. Le vin est bon, en plus ! Après cette belle entrée en matière, il est temps de tester les desserts. Même principe ... La pita banane et chocolat est superbe ! Celle aux pommes façon tatin, choisie par Clément, est fabuleuse aussi ... Miznon, une adresse à garder bien précieusement. Vraiment. Nous voilà prêts à aller satisfaire nos envies de culture ... La Galerie des Bibliothèques de Paris, toute proche, propose une intéressante exposition : "Paris 14-18, La Guerre au Quotidien" . Le reportage inédit d’un photographe peu connu, Charles Lansiaux (1855-1939), qui donne une bonne idée de Paris durant ce conflit majeur. Au travers de ces photographies prisent sur le vif durant cette période troublée, il offre une image étonnamment vivante des rues d'un Paris qui, sauvé du siège par la bataille de la Marne, n'a en fait qu'une perception assez assourdie d'un conflit qui lui semble lointain. Les quelques deux cents photographies de l'exposition déroulent devant nos yeux l'histoire de l'installation de la guerre dans le quotidien des Parisiens. S'ajoutent aux clichés divers documents d'époque qui rendent l'exposition encore plus vivante ... et passionnante ! On quitte le quartier du Marais ... pour retrouver le XVIème arrondissement. J'ai habité juste à côté pendant 25 années mais je me rends compte aujourd'hui qu'il est beaucoup plus attachant que je ne l'imaginais alors ... Je déambule volontiers au hasard dans ses rues et fais toujours de jolies découvertes ... Que ce soit dans l'avenue Georges Mandel, l'avenue Victor Hugo, l'avenue Henri Martin ... ... en levant un peu la tête ... ... et en regardant autour de soi ... ... on a toujours de bonnes surprises ! Celle que vous voyez ci-dessous, sise au 11 rue de Longchamp, n'est pas pour moi une grande surprise ... ... mais un endroit toujours agréable à retrouver ... ;o) C'est la fin de l'après-midi, on y fait quelques emplettes ... On tourne autour du Lycée Janson de Sailly ... Il est immense, le lycée Janson de Sailly. J'y ai passé mon Bac ... Autant vous dire que j'ai un peu occulté la beauté des lieux, à l'époque ... Je le regrette aujourd'hui ! ;o)) Continuons à marcher sur l'avenue Georges Mandel, en la remontant jusqu'à la Seine ... Si vous aimez les belles demeures, vous devez un jour de beau temps aller marcher par là-bas ... Impossible d'être déçu ! Les plus beaux immeubles cossus de Paris sont dans ce coin-là ... On en prend plein les yeux. Je me crois à chaque fois dans une de ces sagas littéraires qui retracent la vie de grandes familles bourgeoises au XIXème siècle ... Allez savoir pourquoi ! ;o))) On arrive assez vite au Trocadéro. Notez au passage ce joli hôtel particulier, à l'angle de la rue Greuze. Notez aussi cette cascade de roses qui dégringole le long des fenêtres de cet immeuble ... Et tout cela à deux pas de la Tour Eiffel ! Avez-vous déjà regardé d'un peu près ce monument au Morts de la place du Trocadéro ? Il est assurément très impressionnant ! Quant Palais de Chaillot, je ne vous le présente plus ! Cet endroit est toujours aussi enchanteur ... L'esplanade est aujourd'hui occupée autant par les touristes ... ... que par des groupes venus protester contre l'enlèvement des jeunes lycéennes au Nigeria. Le ciel de cette fin de journée est somptueux ... Ce moment est juste magique ... Quel meilleur endroit pour prendre enfin ... ... notre goûter tardif ? ;o) Deux jolies boîtes roses de la Pâtisserie des Rêves ... Dedans, de véritables trésors ... Saint-Honoré ... Paris Brest ou Éclair au chocolat ... ... il y en a pour les goûts de chacun ! Je ne vous ferai pas plus de publicité pour la Pâtisserie des Rêves de Philippe Conticini, tant vous savez déjà combien grand est son talent ! Et ça, ça se confirme à chacune de mes visites ! ;o)) Fin de la journée ... ... à remonter ces belles rues ... ... à la recherche ... ... comme toujours ... ... d'éléments architecturaux ... ... et de petits détails ... ... qui m'auraient jusqu'alors échappés ! Une mention à ces entrées d'immeubles en demi-cercle, qui permettaient aux voitures, à cheval ou à moteur, d'entrer d'un côté, de déposer personnes et bagages, et de ressortir de l'autre côté sans faire le moindre demi-tour ! Quelle élégance ! Une autre mention aux énormes corniches d'immeubles, signe incontestable de puissance, et d'une certaine ... comment dirais-je ... mégalomanie ? ;o)) Et puis toujours, sans doute pour moi des réminiscences de mes lectures "Zola-esques", ces entrées de service, sur le côté des immeubles cossus, derrière lesquelles se passèrent tant de choses terribles ... Relisez donc Pot-Bouille, pour vous remettre cela en mémoire ! ;o) En tout cas, quelles que soient vos références, vous ne pourrez qu'aimer ces balades dans les quartiers de Paris. Ils sont tous si différents qu'il faudrait plus d'une vie pour tous les découvrir ! Un petit salut à Alphonse de Lamartine en passant ... Retour à la maison, en traversant le Bois de Boulogne ... C'est joli, le Bois de Boulogne ... Bucolique à souhait ... enfin, presque partout ! ;o) Aujourd'hui, il est calme. Il commence à se faire tard. Les barques sont rangées, attendant de se prêter, demain, à d'autres promenades romantiques ... Mais nous, demain, nous ne serons plus au Bois de Boulogne. Demain, nous serons de l'autre côté de Paris, même, dans un autre endroit que les enfants adorent ! Et comme on a été enfant aussi et que l'on appréciait plus que tout les balades au Jardin des Plantes ... ... pourquoi ne pas vous y emmener vous aussi faire un tour ? Le Jardin des Plantes est un endroit merveilleux. Commençons, comme souvent, par un peu d'histoire, pour bien mettre les choses en place et vous dire que ce n'est pas un endroit comme les autres, mais un lieu chargé d'histoire ... On commence en 1781, quand le naturaliste Buffon, alors surintendant du Jardin du Roy, l'un des plus grands centres de recherche scientifique de son temps, a l’idée d’ouvrir une Ménagerie. Ce n'est en fait qu'en 1793, sous l'administration de Bernardin de Saint-Pierre, que les premiers animaux arrivent dans ce parc que l'on appelle désormais, depuis la Révolution, Jardin des Plantes : la Convention vient de décider que les montreurs d’animaux qui exercent dans Paris doivent cesser toute activité. Leurs animaux, ours, fauves, aigles, singes ... leur sont confisqués et sont placés au Muséum. On engage même, paraît-il, les propriétaires de ces animaux comme gardiens. Puis ce sont les animaux de la Ménagerie de Versailles, après la chute de la Monarchie, qui arrivent à la Ménagerie le 26 avril 1794. Parmi eux, un lion. Le 27 mai 1794, d'autres animaux arrivent de la Ménagerie du duc d’Orléans. Leur accueil se fait dans des conditions déplorables. En 1802, l’architecte du Muséum, Jacques Molinos, inspiré par la forme de la croix de la Légion d’Honneur de Bonaparte, alors Consul, établit le plan de la Rotonde, dont la construction se termine en 1812. Dès lors, les naturalistes du Muséum vont rapporter de leurs voyages à travers le monde de nombreux animaux. Des personnalités officielles font également des dons au zoo. Une girafe est offerte en 1826 par le Pacha d'Égypte Méhémet Ali au roi Charles X. Cette girafe traversera la Méditerranée, entre Alexandrie à Marseille sur le brigantin « I due Fratelli ». Elle va parcourir ensuite à pied, en 41 jours et sous bonne escorte, les 880 km qui séparent Marseille de Paris. C'est Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, naturaliste et titulaire de la chaire de zoologie au Museum d'Histoire Naturelle, qui l'accompagne. Le lendemain de son arrivée, elle est présentée au roi dans son domaine de Saint Cloud. Il lui offre des pétales de roses. Elle retournera ensuite à la Ménagerie. De 1870 à 1874, on construit le "Palais des Reptiles" ... Devant ce beau bâtiment récemment rénové ... ... on est accueilli par le Charmeur de Serpent de Georges Arthur Bourgeois (1838-1886) ... À l'intérieur, le bassin des reptiles suscite toujours auprès du public des réactions mêlées de fascination, de peur et de répulsion ... Il faut dire que les habitants du lieu sont plutôt du genre à glacer le sang ... ;o) Les "cages" du vivarium n'ont pas changé depuis tout ce temps... Je me revois petite regardant au travers, à la fois subjuguée ... et passablement dégoûtée ! ;o) En 1881, Jules André, architecte du Muséum, construit une faisanderie ... Attendez, je vous la montre mieux, elle est très belle ... Je vous la montre même sous toutes ses coutures. En 1888, c'est la Grande Volière que l'on construit, à l’occasion de l' Exposition Universelle de 1889. Elle est l'œuvre de l'architecte Alphonse Milnes-Edwards ... Ses 900 m² ... ... abritent encore de bien beaux volatiles ... Connaissez-vous celui-là ? En 1910, la Ménagerie possède 407 mammifères, 636 oiseaux, 216 reptiles, 237 batraciens et 197 poissons. Elle est devenue l'une des attractions les plus fréquentées de la Capitale ... En 1926 est créé un vivarium par le laboratoire d’entomologie du Muséum. Ce bâtiment Art Déco existe encore ... Il vaut bien qu'on regarde ses murs décorés ... ... autant que ce qui y est présenté, insectes, amphibiens et reptiles de petite taille ... que les enfants adorent ! Moi, pas trop, par contre ! ;o)) Dans les années 30, la grande serre des forêts tropicales est édifiée, en style Art Déco, par René Berger. Superbe, non ? Celle-ci, l'une des orangeries du jardin, est plus ancienne ... La singerie que l'on voit aujourd'hui date de 1934. Elle remplace un premier bâtiment, édifié, lui, en 1837. Elle est magnifique ! Elle vient d'être restaurée ... Elle abrite quantité de singes mais les stars du lieu sont incontestablement les Orang-Outans de Bornéo ... La vieille Nénette, bien sûr, née en 1969 ... ... mais aussi le jeune Joey ... ... redoutable prédateur sexuel, j'en ai aujourd'hui la preuve ! ;o)) Tamu est toute jeune, 10 ans à peine ... Facétieuse comme tout, elle fait les vitres ... bien mieux que moi ! ;o)) Et puis après, une petite sieste ? ;o) Nous voilà maintenant en 1937... La fauverie est entièrement refaite et remplace celle de 1821. Encore un très beau bâtiment. Des bas-reliefs du plus pur style Art Déco. La découverte des contrées exotiques ... On entre ? Fut un temps, avant sa restauration, la fauverie était une puanteur ... Aujourd'hui, on pourrait dire que cela sent presque bon ! ;o) Regardez cette somptueuse verrière ... Et la coupole ! Comme il fait beau, les fauves sont plutôt dans la galerie extérieure ... Voici Aramis, le Jaguar ... Et Karu, si je ne m'abuse ... Une superbe panthère des neiges ... .... que je préfère vraiment voir depuis l'autre côté de la barrière vitrée ! Même si elle a l'air d'une grosse peluche ! ;o))) Maintenant que nous avons fait le tour de pas mal de bâtiments, laissons-nous aller à regarder ces animaux, la plupart de petite ou de moyenne taille, et menacés pour la plupart de disparition ... Partons au fil des allées ... Imaginons-nous tels Paul et Virginie dans une luxuriante forêt tropicale ... ... et partons à la rencontre de toutes ces jolies bestioles ... Enfant, on adorait cette promenade. Voyons si c'est toujours pareil ... Pour aujourd'hui, nous choisirons la ménagerie, vous l'aurez compris. Le cabinet d'histoire, ce sera pour une autre fois. Il s'y tient toujours d'intéressantes expositions. Saluons le wallaby, bien tranquille et pas très sauteur, ce matin ... Passons devant toutes ces petites constructions érigées lors des deux siècles derniers ... À l'ombre de l'une d'entre elle, vous croiserez cette petite famille ... Les bébés gambadent allègrement autour de leur mère ... Cette maisonnette a un charme certain ... C'est celle du baudet du Poitou. En passant, jetons un œil à ces jardins extraordinaires ... le Jardin des Plantes est l'héritier du Jardin Royal des Plantes Médicinales créé en 1635 par Louis XIII et les plantes y sont encore largement à l'honneur ... On œuvre pour la biodiversité, aussi ... Cette petite mangouste est adorable et fait le clown devant nous. Quant aux flamands roses ... Pardon, je reprends ... Quant aux flamands rouges des Caraïbes ... ... au plumage superbe ... ... ils se livrent devant nous à des ablutions matinales ... ... tout à fait impressionnantes. On les quitte pour se diriger ... ... vers l'enclos du cheval de Przewalski, une autre espèce en voie de disparition. La promenade vous plaît ? L'arbre creux en béton doit dater de la fin du XIXème siècle, j'imagine. Je n'en trouve trace nulle part sur le net ... Toi, ne me crache pas dessus pendant que je te photographie ! ;o) Passons au milieu des vignes ... ... pour remonter finalement vers la galerie de zoologie, aujourd'hui appelée la Grande Galerie de l'Évolution ... Les parterres de fleurs, en constant remaniement au fil des saisons ... ... sont absolument magnifiques. J'ai un petit faible pour les pavots, en règle général. Avec ce parterre-là, mon bonheur est complet ! Avant de ressortir du Jardin, saluons Buffon, qui trône au beau milieu de son œuvre ... ... et remercions tous ces naturalistes qui, jusqu'à aujourd'hui, nous ont permis d'avoir accès à la vraie diversité de la nature ... Quittons maintenant le Jardin des Plantes. Après une telle promenade, ce serait un crime que de ne pas passer à la Grande Mosquée ... ... pour déjeuner ! Dehors, il fait bon ... ... mais l'intérieur est tellement plus attractif ! J'adore déjeuner sur ces grands plateaux dorés ... Nos voisins en sont au dessert ... On en salive d'avance ... Avec un petit thé à la menthe, ce sera juste parfait. Vous prendriez quoi, vous ? Pour moi, ce sera une brick au thon et une salade de carottes à l'orientale ... Pleine de jus d'orange et de fleur d'oranger ... Mes trois comparses s'en tiennent au traditionnel couscous. Excellent. Et voilà le dessert. Notre plateau à nous !!! Rassurez-vous, nous serons raisonnables ... Un par personne. Un petit délice mais un délice quand même ... elles sont très bonnes, les pâtisseries de la Mosquée. On garde quelques graines de couscous, histoire de montrer ce joli spectacle à Rachel ... En ressortant, on contourne la mosquée ... Magnifique sous le ciel bleu ponctué de nuages floconneux ... Comme je vous y ai déjà emmenés, c'était par là" , on passe note chemin ... On marche encore un peu, en direction de la Seine. Ma maman nous a donc, vous l'avez constaté, rejoints pour aller voir l'exposition incontournable du moment à l'Institut du Monde Arabe ... Au passage, j'adore ce bâtiment de Jean Nouvel, avec ses 240 moucharabieh ponctuant à intervalles réguliers la façade Sud et dont le mécanisme, actionné électroniquement, ... ... permet l’ouverture des diaphragmes, réajustée toutes les heures pour s’adapter à la luminosité extérieure et créer un jeu de lumière à l’intérieur du bâtiment. Fabuleux ! Bon, revenons à nos moutons ... L'exposition, c'est celle-ci ... "Il était une fois l'Orient-Express" ... À cette occasion, on a apporté sur le parvis de l'IMA une locomotive et quelques wagons du train le plus célèbre du monde. L'exposition est passionnante ... Une scénographie superbe ... Deux étages du musée consacrés à des reconstitutions du train mythique ... ... qui vaudraient à elles-seules la visite ... Mais aussi des histoires aussi véritables que fantastiques ... Que de personnages aux destins extraordinaires sont montés dans l'Orient-Express ! Oui, l'Orient-Express a une histoire. Avec tous ces objets et documents d’archives, affiches, films et photographies, souvent montrés dans d’immenses malles-cabines-vitrines, on a tout pour vraiment la connaître ! L'Orient-Express n'a pas fini de nous faire rêver ! J'aime beaucoup ces affiches-là ... Les regarder, c'est voyager un peu, déjà ... Les riches voyageurs à la découverte des contrées lointaines de l'Orient avaient besoin d'être logés ? Qu'à cela ne tienne, on en construisait ... et de vraiment luxueux ! Des petits déjeuners comme ça en bonne compagnie, j'en aurais bien pris quelques-uns, moi ! Quant à ces étiquettes d'hôtels, celles qu'on collait sur les grosses malles de voyage, elles m'ont toujours fait rêver ... Après cette visite fort instructive, on comprend mieux les origines de l’Orient Express ainsi que ses aspects techniques, sociaux, culturels et même géopolitiques. On peut ensuite embarquer dans quelques wagons ... Là aussi, on découvre de jolies choses. L'attente devant le premier wagon permet de se renseigner un peu mieux ... Ce panneau attire mon attention. J'attends avec impatience de découvrir in situ ces décors luxueux ... Encore quelques petites histoires, pour se mettre dans l'ambiance ... On grimpe dans cette voiture Flèche d'Or de 1929 ... La magie opère instantanément ... Ils sont ravissants, les panneaux de verre de René Lalique, LE joaillier de l'Art Nouveau, maître verrier de génie ... Et ces plafonniers, ne sont-ils pas vraiment élégants, tout en rondeurs ? Les lampes en bronze poli sont du décorateur très en vogue à l'époque René Prou ... Les parois du wagon sont lambrissées en loupe de bouleau de Finlande ... Les naïades lascives de René Lalique dansent dans la pâte de verre sur fond de boiseries d'acajou de Cuba. Le confort des wagons doit faire oublier la longueur du voyage ... Un périple de 3000 km, quand même ... Quatre-vingt-une heures pour relier Paris à Constantinople ... Dans ces voitures luxueuses, vous pourrez voyager aux côtés de Pierre Loti ... Cela vous dirait-il de partager une tasse de thé avec lui ? La presse est embarquée à bord ... Il est important de se tenir au courant de la situation internationale ... Ces messieurs préfèreront sans doute partager un verre de Cognac ... ... ou une coupe de champagne avec Joséphine Baker ... ... ou bien avec Asmahan, cette princesse syrienne, l'une des actrices et chanteuses les plus célèbres du monde arabe dans l'entre-deux-guerres ... N'essayez pas d'embarquer un cendrier. Cela serait du plus mauvais genre ... ;o) Ni cette vieille mais mignonne machine à calculer. Il suffira de commander ce que vous voulez au "conducteur", qui aura à cœur de rendre votre voyage délicieux ... Ça vous tente ? Un pianiste jouera sans doute un peu de musique ... La voiture-restaurant, dite « Train bleu », est décorée par René Lalique, encore, de splendides bouquets de fleurs sur fond d'argent incrustés, comme une marqueterie, dans des boiseries de platane. De gros fauteuils tendus de cuir moelleux attendent ces messieurs ... Le voyage sera bon. Si vous y êtes invité, n'hésitez pas à vous asseoir à la table d'Agatha Christie. C'est une habituée ... Elle accompagne en effet volontiers son archéologue de mari sur ses terrains d'exploration ... Il paraît que ça lui donne des idées de romans ! ;o)) Moi, ça me donne des envies d'évasion, en tout cas. Peut-être un jour prendrai-je place aussi dans ce train de légende ? Croisons les doigts ... ... et continuons notre découverte des joies de Paris. Longeons les quais en remontant vers le Quartier Latin. Remarquez les vieilles enseignes peintes sur les murs ... Le centre de Paris n'était pas que touristique, avant ... Nous voilà derrière Notre-Dame. Je croise un joli magasin. Il y en a beaucoup, par ici ... Il est temps de boire quelque-chose. Nous allons finir complètement déshydratés, sinon ! ;o) Nous nous arrêtons dans un petit café-galerie répondant au nom amusant de "Aux Arts etc ..." ... Un accueil sympathique, bavard et chaleureux, et d'après Clément, le seul à y goûter, de divins et énormes cookies au chocolat ! ;o)) Se rafraîchir devant la Seine ... Un vrai privilège ... Un bateau mouche passe sous nos pieds. La troupe est encore vaillante. Les gargouilles de Notre-Dame aussi. On flâne devant les étals des bouquinistes ... On regarde la vie sur les quais de la Seine ... Tout est tranquille. Les gens profitent de l'instant ... Fin d'une journée active. Demain sera notre dernière journée parisienne ... Dernière journée que nous commençons parmi les pâquerettes ... Nous voilà garés de bon matin devant le restaurant Ledoyen ... ... juste derrière le Petit Palais ... Construit pour l’Exposition Universelle de 1900, comme son voisin le Grand Palais, il est l'œuvre de l'architecte Charles Girault. Girault, souhaite faire de ce palais une vitrine à la gloire de Paris et de l'Art. D'où des décorations insensées qui font de la visite de ce bâtiment (gratuite hors grandes expositions) un vrai régal ! Nous voilà donc devant les grands escaliers de l'entrée. Pas mal de monde ... Il faut dire que l'exposition que nous irons voir aujourd'hui, "Paris 1900, La Ville Spectacle" , on en parle dans le monde entier ... En attendant de pouvoir entrer, je photographie l'affiche de cette expo-là, que nous n'aurons pas le temps d'aller voir, pour ma copine Marielle. Et puis je tourne la tête de l'autre côté, pour admirer les sculptures qui coiffent le toit du Grand Palais voisin. Quel spectacle ! Voyez cette somptueuse grille d'entrée du Petit Palais, maintenant ... Dessinée par Girault lui-même, elle fut saluée dès l'ouverture du palais ... ... pour son élégance et la virtuosité de son exécution. Entrons maintenant dans le vestibule ... Grandiose ! Le spectacle va pouvoir commencer ! J'aurais adoré vivre cette Exposition Universelle-là ... Aujourd'hui, je serai presque exaucée ! ;o) En visitant l'exposition « Paris 1900, la Ville Spectacle », en effet, le promeneur est invité à revivre les heures fastes de la ville au moment où elle accueille cette Exposition Universelle qui inaugure de façon éclatante le XXème siècle. Aux yeux du monde entier, Paris s'affiche comme la cité du luxe et de l’art de vivre. Par le biais d'une scénographie étonnante, on nous invite à refaire le voyage que firent les quelques cinquante-et-un millions de touristes qui affluèrent à Paris pour l'évènement et à y participer, dans une certaine mesure. C'est à cette occasion, d'ailleurs, que la première ligne du Métropolitain, avec ses décorations d'Hector Guimard, est mise en service. Tout comme les toutes nouvelles gares de Lyon, d'Orsay ou encore des Invalides. Plus de six cents œuvres (affiches, peintures, objets d'art, meubles, bijoux, sculptures, photographies, films …) permettent cette extraordinaire plongée au cœur du Paris de la Belle Époque. Le parcours est organisé autour de six "pavillons". Le premier s'intitule " Paris, Vitrine du Monde " et évoque directement l’Exposition Universelle. L'occasion de présenter au monde les innovations techniques autant que la vivacité culturelle de la capitale .. Dans le second "pavillon", on découvre les créations des inventeurs de l’Art Nouveau, Gallé, Guimard, Majorelle, Mucha, Lalique … Il y a quelques beaux exemplaires de ce mobilier typique de la Belle Époque ... Et cette somptueuse Allégorie de la Nature de Mucha ! C'est, je dois vous l'avouer, ma partie préférée ! Je dois dire que les paravents et autres tapisseries me fascinent ... Celle-ci est incroyable ... Lisez un peu le panneau explicatif ... ... et jetez un œil à la tapisserie en elle-même. Pas assez de recul pour la photographier en entier. Vous n'en aurez donc que quelques bribes ... Les Noirs d'Afrique, dans le coin inférieur gauche ... ... et la France civilisatrice, qui surplombe la composition ... Toute une époque en image ... La troisième section s'intéresse aux Beaux-Arts et montre la place centrale qu'occupe Paris sur la scène artistique. On sait déjà qu'à cette époque, tous les artistes de talent montent à Paris pour étudier dans les ateliers, exposer dans les Salons artistiques et tâcher de vendre leurs œuvres par le biais des galeries d'art, qui font à cette époque une percée décisive. L’accrochage de cette section présente des œuvres de Cézanne ... Ici, un portrait de son marchand Ambroise Vollard ... Il y a aussi Renoir ... ... Maurice Denis, chef de file du nouveau mouvement des Nabis ... ... Rodin ... Des sculptures plus belles les unes que les autres ... Elles sont confrontées aux toiles de peintres à l'Académisme tant acclamé telle l' "Armenonville, le Soir du Grand Prix" de Gervex ... Le visiteur découvre ensuite les créations d’une mode parisienne triomphante. Les maisons de couture parisiennes ... ... attirent les riches élégantes du monde entier. On crée des modèles étonnants ... ... à diffuser même loin de Paris ! Les Grands Magasins ont le vent en poupe ... la Samaritaine ... Le Printemps ... Tous ont l'ambition de se distinguer dans cette Exposition des Arts de la Femme ... Et il faut dire que les objets qui résultent de cette course à l'élégance sont souvent ravissants ! La Parisienne est élégante. Le monde entier le saura ... Les deux derniers pavillons offrent une plongée dans le Paris des divertissements ... Avec Sarah Bernahardt au théâtre, Yvette Guilbert au café-concert, Debussy et ses opéras, on sait s'amuser à Paris ... Même les rois savent se divertir, figurez-vous ! Pour preuve, ce "fauteuil de volupté" spécialement réalisé pour les plaisirs du Roi Édouard VII, dans sa maison close favorite, Le Chabanais ... Les lieux mythiques comme le Moulin Rouge ou le Chat Noi r ... ... deviennent les sujets favoris d’artistes comme Toulouse-Lautrec. Les distractions ne manquent pas ... Comme le montrent ces quelques affiches de l'époque ... ... on n'a que l'embarras du choix ! ;o) Ce sont les début du cinéma ... Une vraie révolution et un immense succès ! Pour terminer la visite, on sort faire un tour dans les jardins du Petit Palais. Un jardin semi-circulaire bordé d’un péristyle richement orné qui abrite un fabuleux décor peint et sculpté réalisé entre 1903 et 1925. Les voûtes du portique du jardin sont couvertes de fresques de Paul Baudouin, qui fut élève de Puvis de Chavannes. Au milieu d'un décor de treilles, des médaillons représentent les Mois de l'année, alternent avec les Heures du jour et de la nuit. Le sol est couvert d'une mosaïque exécutée par Giandomenico Facchina, célèbre mosaïste d’origine italienne. L'endroit idéal pour se rafraîchir ... ... autour des trois bassins couverts d'un décor de petits cubes de marbre. ... sur lequel de grassouillets étourneaux se posent volontiers pour venir quémander quelques miettes au pied des tables du café ... Il y en a qui ont la vie belle, n'est-ce pas ? ;o)) Allez, je vous laisse pour aujourd'hui, avec une merveilleuse recette de mon cuisinier fétiche, Yotam Ottolenghi ... Elle est issue de sa série télévisée, "Mediterranean Feasts", dans l'épisode consacré à la Tunisie ... Une série à mourir ... de gourmandise ! ;o)) Salade de Maquereaux Grillés Légumes croquants et Croûtons au Curcuma, Sauce à l'Harissa ... Ingrédients pour 4 à 6 personnes : - 1 baguette moyenne, croûtes retirées, déchiré en morceaux de 2 cm (110 g net) - 1 cuillère à café de curcuma en poudre, mélangé avec 2 cuillères à soupe d'eau - 230 ml d'huile d'olive , et un peu plus pour terminer - 6 filets de maquereaux, coupés transversalement en tranches de 2 cm (350 g net) - 1 laitue iceberg, feuilles arrachées en gros morceaux - 1 petit oignon rouge, pelé et émincé très fin(90 g net) - 3 poivrons rouges rôtis, refroidis, épépinés et coupés en tranches de 2 cm ( ou bien utilisez des poivrons grillés en bocal) - 50 g d'olives noires dénoyautées et coupées en deux - 200 g de haricots verts, parés, blanchis pendant 4 minutes, rafraîchis et bien drainés Pour la sauce : - 50g de harissa - 3 cuillères à soupe de jus de citron - 1 cuillère à soupe de feuilles de persil hachées grossièrement - 4 oeufs mollets, pelés et coupés en quartiers - Sel et poivre noir NB : Les variétés de harissa commerciale peuvent varier. Si le vôtre n'est pas très épicée, ajoutez un peu de poivre de Cayenne. Préparation : 1. Placez les morceaux de baguette dans un saladier et mélangez avec votre main pendant que vous versez lentement dessus l'eau mélangée au curcuma. Essayer de faire en sorte d'obtenir que tous les morceaux de pain soient colorés. Mettez de côté. 2. Mettez 200 ml d'huile d'olive dans une grande sauteuse et placez sur un feu moyen. Faites frire les morceaux de maquereau en 2 lots, 1 à 2 minutes à chaque fois, jusqu'à ce qu'ils soient légèrement recourbés et cuits. Sortez-les de l'huile avec une écumoire sur du papier absorbant, assaisonnez légèrement de sel et de poivre noir et mettez de côté. 3. Ensuite, ajoutez les morceaux de baguette dans l'huile chaude, faites-les frire en remuant pendant 3-4 minutes, jusqu'à ce qu'ils soient croustillants et dorés. Retirez-les de l'huile avec l'écumoire et laissez refroidir avec le poisson. 4. Ne jetez pas l'huile restante. Dans un grand bol mettez ensemble la laitue, l'oignon rouge, les poivrons, les olives et les haricots. Ajoutez le poisson, les croûtons, 2 cuillerées à soupe d'huile d'olive et du poivre noir. Mélangez délicatement, puis transférez dans un grand plat de service peu profond. Fouettez la harissa dans un petit bol avec 1 cuillère à soupe de l'huile de cuisson et le jus de citron. Versez sur la salade, saupoudrez de persil et disposez enfin les quartiers d'œufs sur le dessus. Terminez la salade avec une pincée de sel et de poivre et un autre filet d'huile d'olive. Régalez-vous ! Ce plat est une vraie tuerie ! Bon appétit et à très vite !

Source: questcequonmange.blogspot.com

Une amie m’a invité à déjeuner au Bistrot Constant et là, grande découverte, sa fameuse tarte au chocolat ! Défi lancé, la recette est sur son site. En toute franchise, la réalisation de la pâte m’a bien fait "galérer", trop molle, j’ai dû rajouter un peu plus de farine. L’étaler, n’a pas été de la tarte, non plus ! Quelques malencontreuses bulles dans le miroir, mais au final un goût qui frôle la perfection. J’ai certainement manqué de technique, normal, je ne suis pas un Chef ! Merci Monsieur Constant d’avoir partagé votre recette. Pour la pâte 40 g de beurre - 15 g de sucre semoule - 15 g de poudre d’amandes - 1 œuf - 50 g de farine - 1 c. à café de poudre de cacao Pour la ganache 250 g de chocolat noir - 125 g de chocolat au lait - 3 jaunes d’œufs - 25 cl de lait écrémé - 25 cl de crème liquide - 80 g de sucre semoule Pour le miroir 50 g de crème liquide - 35 g de poudre de cacao - 110 g de sucre semoule - 6 cl eau - 2 feuilles de gélatine Préparez la pâte : Battre au mixer à petite vitesse le beurre et le sucre. Ajouter la poudre d’amandes, l’œuf, la farine et le cacao. Formez une boule et aplatissez-la légèrement entre vos mains. Réservez-la au réfrigérateur pendant 30 minutes. Préchauffer le four à 180 °C (th 6). Étalez la pâte sur 3 mm d’épaisseur environ et déposez-la dans un plat à tarte. Faites cuire au four pendant 12 minutes. Réalisez la ganache : Concassez les deux chocolats et mélangez-les. Portez le lait et la crème à ébullition. Dans un saladier, fouettez les jaunes d’œufs avec le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Versez le lait et la crème bouillants par-dessus. Transvasez le tout dans une casserole et laisser cuire la préparation quelques minutes jusqu’à ce qu’elle nappe la cuillère. Versez cette crème sur le chocolat concassé et mélangez bien. Recouvrez le fond de tarte de ganache et réservez au frais pendant 3 heures. Confectionnez le miroir : Dans une casserole, mélangez 6 cl d’eau, avec la crème, le cacao et le sucre. Portez à ébullition en remuant avec une spatule en bois. Faire ramollir les feuilles de gélatine dans un bol d’eau froide. Essorez-les et ajoutez-les dans le mélange à base de cacao. À l’aide de la spatule, remuez délicatement le tout afin d’éviter les bulles d’air. Versez le miroir sur la tarte au chocolat refroidie et réservez-la au réfrigérateur pendant 20 minutes.

Source: patissi-patatta.blogspot.fr

On abandonne (quelques jours !) notre tour du monde pour faire une tournée des chefs … Christian Constant sera à l’honneur cette semaine avec cette soupe de saison gourmande au potiron, aux châtaignes et aux ravioles de Royans. Riche, crémeuse, onctueuse… Les ravioles de Royans ou Romans, regroupées sous l’appellation de « ravioles du Dauphiné » (Drôme et Isère) sont de toutes petites ravioles au comté, fromage blanc (caillé de lait) et persil. Au départ, légume du pauvre fourré de raves, la raviole s’est embourgeoisée en s’empiffrant de fromage, et s’est démocratisée au XXe siècle avec la révolution industrielle et la machine à fabriquer les ravioles mise au point par un certain Emile Truchet . Si vous voulez aller plus loin dans votre exploration de la raviole, je vous recommande ce petit livre aux éditions de l’Epure : « Les ravioles de Romans, 10 façons de les préparer » . Alors plusieurs solutions : Vous avez une patience d’ange, un moule à ravioles et un weekend entier devant vous (tout lecteur de ce blog sait que les raviolis sont pour moi une épreuve, a fortiori quand ils font à peine 1 cm de côté) et vous les faites vous-même. Il faut avouer que les recettes de courageux ne pullulent pas sur le web, mais celle de The Pink lady est magnifique. Allez donc jeter un œil, même si vous finissez par les acheter. Vous habitez le Dauphiné ou une grande ville et pourrez donc les acheter fraiches chez un traiteur. Vous habitez le Trouducudumonde et Picard vous sauve la vie avec ses ravioles du Dauhiné Label Rouge. Maintenant que vous avez le Graal en main, attaquons la soupe… 1 kg de potiron 150 g de ravioles du Dauphiné 1 oignon ciselé 100 g de châtaignes entières cuites 2 tranches de pain de mie 1 litre de bouillon de volaille 25 cl de crème liquide entière (C.Constant en met 50cl, même moi je trouve ça too much !) Huile d’Olive Sel et poivre Épluchez et coupez le potiron en cubes. Dans un faitout, faites revenir l’oignon dans une CS d’huile d’olive jusqu’à ce qu’il soit translucide. Ajoutez le potiron, le fond de volaille, sel, poivre et laissez cuire 30 min à feu doux. Mixez en rajoutant la crème fraîche. Goûte et rectifiez l’assaisonnement. Réservez. Préparez les croûtons en taillant les tranches de pain de mie en petits cubes, faites les dorer dans une poêle avec un peu d’huile et réservez. Plongez les ravioles dans une casserole d’eau bouillante salée, et faites-les cuire 1 minute. Servez le velouté parsemé de marrons émiettés, de croûtons et de ravioles. Décorez avec un trait d’huile d’olive. J o y e u x a p p ét i t

Source: humour-gloire-et-beaute.blogspot.com

À part Noël, nos soirées de fêtes de fin d'année se déroulent en mode "apéro dinatoire" pour mon plus grand plaisir, quand on est nombreux je trouve que c'est plus convivial, tu peux bouger, papoter, jouer, boire et manger ce que tu veux, suivant tes goûts et ton appétit, sans être obligé de rester assis des heures à table pour un repas trop long et trop copieux (mais chacun son truc). Par contre, vu l'accroissement constant de notre famille, il faut penser à des préparations variées, facile à transporter, dresser et servir. En parcourant le livret Saveurs & Valeurs je me suis souvenue des délicieux petits rouleaux de chou rave et truite fumée d'Ondenval que nous avait préparé Thomas Troupin lors du banquet GW . L'idée est là même si la recette n'est pas celle du chef, c'est une version "famille nombreuse" très simplifiée mais réalisée avec de bons produits pour un résultat délicieusement léger et très frais, que demander de plus ? Rouleaux de chou rave et truite fumée (pour 20 petits rouleaux) 1 chou rave - 1 càs de vinaigre de riz - 150gr de truite fumée - 1 càc de mayonnaise légère au citron - herbes fraiches pour garnir Trancher le chou rave à la mandoline le plus finement possible, déposer les tranches dans un bol avec le vinaigre de riz, mélanger, réserver. Effilocher le filet de truite à l'aide de deux fourchettes et mélanger avec la mayonnaise, il faut en mettre très peu, elle sert juste de liant, le but n'est pas d'avoir une sauce, il faut retrouver toute la mâche de la truite, sa saveur, la finesse et la texture de sa chair. Déposer ½ càc de farce et rouler les tranches de chou, décorer d'un peu d'herbes fraiches et réserver au frais jusqu'au moment de servir.

Source: pourquoi-pas-isa.blogspot.com

250 g de pois chiches en conserve 2 gousses d'ail 2 c. à soupe de tahini (purée de sésame) 1/2 citron jaune 1/2 c. à café de graines de cumin 1/2 c. à café de paprika huile d'olive quelques feuilles de persil plat sel, piment d'Alep Préparation ÉTAPE 1 Versez le contenu de la conserve de pois chiches dans un saladier. Transvasez l’équivalent de 5 cl de jus de pois chiches dans un verre et réservez. Recouvrez les pois chiches d’eau, puis roulez-les entre vos mains afin d’en ôter les peaux. L’opération est un peu longue… ÉTAPE 2 Épluchez les gousses d’ail. Pressez le jus du demi citron. Égouttez les pois chiches, placez-les dans le bol de votre robot et ajoutez l’ail, le jus de citron et le tahini. Mixez l’ensemble, tout en versant un petit filet d’huile d’olive constant, jusqu’à obtention d’une d’une pâte homogène. Salez, assaisonnez de piment d’Alep et goûtez. ÉTAPE 3 Si la préparation vous semble trop compacte, ajoutez un peu de jus de pois chiches réservé en début de recette afin de la rendre plus onctueuse. Dressez le houmous dans un petit bol. Saupoudrez de graines de cumin et de paprika en poudre. Parsemez de persil fraîchement ciselé. ÉTAPE 4 Servez le houmous en apéritif, accompagné de pain pita ou encore de tranches de pain frais.

Source: cuisineaz.com

Les petits plats de notre quotidien avec le leitmotiv constant de travailler les légumes de saison issus de nos paniers de l'Amap (on en prend deux !). Je me réjouis chaque mercredi de découvrir la récolte de la semaine et d'imaginer nos repas autour d'elle. Je suis ravie aussi de dresser de jolies tables, de choisir avec soin le récipient qui accueillera chaque préparation : c'est l'Alsace qui tient le haut du panier avec cette tablée, trois potiers de Soufflenheim, un peu de vaisselle chinée et les toujours très jolis couverts auvergnats (l'autre région de mon coeur !). Pour 4 personnes Pour le millet * environ 200 g de millet * un peu de sel, de poivre, d'herbes de Provence * un peu d'huile d'olive Pour la salade de betteraves * 2 belles betteraves cuites * environ 100 g de feta émiéttée * 2 cuillères à soupe d'huile d'olive * 1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre * un peu de sel et de poivre * quelques herbes fraîches Pour la salade carottes-radis * quelques carottes * 1 radis * 3 cuillères à soupe d'huile de colza * 1 cuillère à soupe de moutarde à l'ail des ours (ou autre moutarde de votre choix) * le jus et le zeste d'un citron * 2 cuillères à soupe de levure maltée Cuire le millet selon vos habitudes. Assaisonner avec un peu de sel, de poivre, d'herbes et d'huile d'olive. Couper les betteraves en petits cubes. Ajouter la feta et assaisonner. Goûter pour ajuster à votre convenance. Râper les carottes et le radis. Assaisonner. C'est prêt !

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

Recettes24 is a recipe search engine that find recipes with advanced filters like ingredients, categories and keywords.
Recettes24 does not host recipes, only links to other sites. | FAQ | Privacy