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Ecrit et réalisé par Very Easy Kitchen                  Monastère de Tatev Voilà les vacances finies, vacances riches en découvertes d’un pays totalement méconnu. Nous connaissons bien sûr tous des arméniens issus de la diaspora mais demandez autour de vous de placer l’Arménie sur une carte... peu de personnes sauront la placer correctement dans le Sud Caucase. Malgré une grosse amputation de son territoire, c’est un pays riche d’une histoire oubliée et pourtant passionnante. Fier d’être le premier pays chrétien, fier de ses savants, de son écriture et des ses monastères médiévaux, nostalgique d’un empire qui fut envahi, occupé, partagé au prix d’un génocide, avant de s’endormir sous le joug soviétique pendant 70 ans. Aujourd’hui, durement soumise au double blocus turque à l’Ouest et azeris à l’Est, elle renait doucement. Membre du Conseil de l’Europe, elle occupe une position stratégique entre l’Iran et la Russie et partage les valeurs communes de démocratie et de droits de l’homme. Déclarations internationales et loi française sur la reconnaissance du génocide arménien L’Arménie est donc passionnante car elle mêle un héritage médiéval important en étant au carrefour de la Perse et de la Méditerranée. On peut aussi bien visiter des monastères antérieurs à nos église romanes que des restes de caravansérails rappelant qu’elle se trouvait sur l’une des routes de la Soie, ou se contenter de regarder les montagnes de cette petite "suisse" caucasienne. Cimetière de Noradous dont les plus anciennes pierres khatchkars  datent de l'an 800. Observatoire de Zorats Karer, datant du megalithique (équivalent à Carnac ou Stonehenge) Faisant partie du Caucase, de hautes montagnes dont le Mont Ararat (5 137 m) symbole biblique et nationaliste des arméniens, paradoxalement situé en terre turque (que l’on appelle Arménie historique), elle est un pays de volcans et de terribles tremblements de terre. Si l’on considère que la rivière Araxe délimitant la Turquie et l’Arménie est la frontière naturelle entre l’Europe et l’Asie, alors Ararat serait le plus haut sommet d’Europe, devant le Mont-Blanc. Les iraniens voisins qui viennent nombreux faire du tourisme en Arménie, la considèrent comme une petite Europe. Lac Sevan, 1/5 de la superficie du pays, 15°C au mois d'août car il est à 2000 m d'altitude mais poumon vert pour les arméniens. Mais pour nous Européens de l’Ouest nous voyons aussi malheureusement les douloureux restes des soviets : usines à l’abandon, HLM vétustes, tuyaux de gaz apparents, antiques Lada et Volga cotoyant des 4x4 luxueux, personnes âgées démunies, voiries défoncées par le gel, jardins publics figés dans un autre temps... partout ce même constat de délaissement dans les pays satellites que j’ai pu visiter en Asie Centrale. Fort d'Amber, Eglise Sainte Mère de Dieu, à 2000 m d'altitude au milieu des alpages Mais l’Arménie est surtout un pays de cocagne, un pays de vergers d’où proviennent nos cerisiers et autres abricotiers que l’on appelait Prune d’Arménie. Le mythe de l’Arche de Noé échouée sur le mont Ararat (de nombreuses enquêtes passionnantes sont à lire sur ce sujet) est toujours vivace et le jardin où la vie aurait reprise, se trouve à ses pieds en Arménie. Mont Ararat caché dans les brumes d'un orage, seul le petit Ararat à gauche est visible Le pays croule littéralement sous les arbres fruitiers, les grenadiers (fruit symbole de l'Arménie mais qui murit en septembre) les noyers et églantiers et les marchés regorgent de fruits plus beaux les uns des autres : fruits rouges, muriers, fraises des bois, prunes, pommes, cerises, griottes, pêches et abricots en juin. Toute l’agriculture est bio, les hivers très rudes détruisant toute vermine. Les fruits sont transformés en fruits secs ou confits sublimes comme dans toute l'Asie Centrale. Les montagnes sont couvertes de fleurs et les abeilles sont reines. On y déguste donc une cuisine fraîche, influencée par la Perse et la Méditerranée: tous les plats sont présentés en même temps sur la table : salade de tomates et concombres, tabuleh, muttaball (caviar d’aubergine), houmous, dolmas (feuilles de vignes ou de chou farcies), brochettes de viandes et pommes de terre (Khorovadz), etc. Et toujours des herbes fraiches, du yaourt, de la crème double ou de la crème aigre, divers fromages proches de la féta. On mange aussi des céréales comme le boulghour, le sarrasin et le riz pilaf servi avec des fruits secs à la mode persanne. Ou des mantis, sortes de raviolis que l’on avait découvert en Ouzbekistan.   Bien sûr au marché d'Erevan vous trouverez toutes les épices de l'Orient. J'aime l'ironie de cette photo: la machine à moudre le café s'appelle Georges... Les hivers sont durs et la soupe khashlama, mélange de pomme de terre et boeuf, parfumée avec de l’aneth est un vrai réconfort (nous y avons gouté par 35°C). Le pain arménien Lavash accompagne tous les plats. Je l’ai trouvé délicieux sortant du four, un peu moins bon après plusieurs jours (il se conserve deux mois si les fines feuilles de pain sont régulièrement humectées avec de l’eau). Les arméniens aiment aussi la viande séchée et les saucissons de boeufs secs et parfumés. L’eau du robinet est potable mais sinon bière et vin arméniens méritent d’être essayés même si les standards vinicoles ne sont pas encore les nôtres. Nous avons gouté à la truite Ichkhan du lac Sevan et aussi à de l’esturgeon grillé terriblement fondant. Enfin les délicieuses pizzas arméniennes Lahmajoun sont inévitables pour un repas sur le pouce, arrosées de tan, boisson d’origine persane à base de yaourt liquéfié et parfois gazeux. A moins que vous ne préfériez la vodka, héritage russe, même si les arméniens semblent beaucoup plus sages avec l’alcool que les russes. Tout le pays est d’ailleurs très calme. Les arméniens sont chaleureux, paisibles et aimables, un brin indolents sous la chaleur écrasante du mois de juin. Erevan est l’une des villes les plus sûres au monde et les terrasses sont pleines à la mode espagnole. Petit déjeuner à Goris Le fromage, omniprésent sur toutes les tables arméniennes. Pour le dessert, ce sont souvent les délicieux fruits qui sont proposés mais baklavas et brioche à la pâte de noix nous ont aussi été servis. Les confitures sont très présentes notamment la confiture de rose ou de grenade. Les arméniens sont plutôt sveltes car ils consomment beaucoup de légumes et fruits. McDo, Starbucks, KFC ne se sont pas encore implantés en Arménie... Mais les yeux des arméniennes sont fixées vers l'idole américaine : Kim Kardashian, même si l'on reconnait sa vulgarité bling bling, elle est un modèle de beauté pour les filles d'Erevan. Nous avons mangé de délicieux taboulés tous différents les uns des autres mais notre coup de coeur a été pour celui du restaurant Le Cilicia. Un taboulé d’herbes frais et citronné, délicieux avec des brochettes dont j’ai librement imaginé la recette. Taboulé d’herbes comme au Cilicia pour 4 personnes 1 bouquet de persil plat 1 bouquet de coriandre 1 bouquet de menthe 2 gros citrons jaunes 1 cuillère à thé de sumac 2 petits concombres avec peu de pépins 2 tiges d’oignons frais 150 g de boulghour 300 g d’eau chaude 2 tomates bien mûres sel et poivre huile d’olive ou huile d’arachide Rincez le boulghour à l’eau froide. Placez le dans un saladier et versez de l’eau chaude afin de le couvrir d’environ 1 bon centimètre. Ajoutez 1jus de citron. Laissez le gonfler pendant 1h30, le grain doit rester ferme. Attention le grain de boulghour ne doit pas cuire. Equeutez les herbes, et hachez les. Placez les dans un saladier. Hachez la moitié de la menthe et versez la dans le saladier avec les tiges d’oignons finement émincées. Coupez le concombre en petits cubes. Coupez la tomate en petits cubes et ne conservant que la partie ferme et sans pépin. Mélangez concombre et tomates aux herbes. Assaisonnez avec peu de sel, poivre, le jus du second citron et 4 cuillères d’huile d’olive. Une fois que le boulghour a absorbé l’eau, essorez le avec les mains afin de le rendre le plus sec possible. Mélangez le aux herbes. Saupoudrez de sumac et servez bien frais (le sumac légèrement citronné apporte un côté piquant pétillant très agréable). Je ne sais pas si je vous ai donné envie de visiter ce pays mais si un jour vous êtes invités à dîner chez des arméniens, vous comprendrez un peu plus leur culture et leur histoire. Un grand merci aussi à Tigran et à Astghik, qui nous ont guidés à travers leur pays. Manger Arménien à Paris : La Cantine de la Maison de la culture arménienne - Elle se cache au fond d'une jolie cour du IXe mais il n'y a pas besoin de sésame pour venir y déjeuner. L'accueil est chaleureux, la cuisine familiale, les tables occupées par des habitués - souvent membres d'associations arméniennes - qui s'y retrouvent. Plat du jour (aubergines farcies ou brochettes de poulet, 8 €), petit croissant fourré en dessert, c'est bon enfant et plein de gentillesse, dans un cadre de salle à manger vieillotte, aménagée en réfectoire pour grands. 17, rue Bleue, IXe.Tél. : 01 48 24 63 89 (le Figaro).

Source: veryeasykitchen.blogspot.com

Qui a dit que le poisson était compliqué à préparer? Aujourd'hui je vais encore vous prouver le contraire avec cette recette, complète et parfumée, de lotte cuite au four avec des pommes de terre. C'est le plat que j'ai préparé dimanche, avec le poisson que mon mari m'avait rapporté de Sète. Il va quelquefois travailler dans ce secteur et ne manque pas, s'il a le temps, d'aller faire un tour à la poissonnerie à côté de la criée. Il me passe alors un coup de téléphone pour me dire quelles sont les arrivages du jour et je passe commande... J'ai mon poisson tout frais dès le soir et j'ai souvent prévu une recette pour le préparer. Quand j'en ai une grande quantité, comme dans le cas de cette lotte, je coupe des morceaux que je congèle à plat, puis je les mets en sachet pour pouvoir les sortir en fonction du nombre de convives. C'est bien pratique et cela permet d'improviser un plat au dernier moment. Ce dimanche, les morceaux de lotte ont été sortis du congélateur le matin puis cuisinés pour le déjeuner. C'est un plat unique qui cuit tout seul au four. La préparation prend tout au plus 10 minutes. Ensuite le plat cuit tranquillement, presque sans surveillance. C'est idéal quand on reçoit, cela permet de consacrer plus de temps aux autres plats, ou tout simplement de passer du bon temps avec les invités, sans stress! Alors, convaincus? Il ne vous reste plus qu'à mettre ce plat au menu et me donner vos impressions. A la belle saison, remplacez les tomates séchées par des tomates fraiches. Vous pouvez également ajouter des olives ou des câpres. Présentez en accompagnement quelques carrés de citron et n'oubliez-pas de mettre au frais une bonne bouteille de vin blanc. Si on veut rester dans le même terroir, on peut servir en accompagnement un Picpoul de Pinet , vin blanc sec fruité et parfumé, avec un rapport qualité-prix imbattable! Vous connaissez Sète ? C'est avant tout une ville ouverte sur la mer que l'on nomme aussi "Venise languedocienne". C'est le premier port de pêche du littoral français méditerranéen. De loin elle apparait comme une ile, coincée entre la mer et l'étang de Thau. Les abords de l'étang ne manquent pas non plus de charme et d'attractions diverses: les villages de Bouzigues, Mèze, Marseillan, avec leurs parcs à huitres et l'arrivée du Canal du Midi... et bien sûr Sète dominée par le Mont Saint-Clair (182 m) qui fait penser à une baleine surplombant la mer, célébrée par Paul Valéry et Georges Brassens... Les herbes aromatiques apportent un parfum extraordinaire à cette recette. Ici il n'y a qu'à se baisser pour trouver au bord des chemins, selon la saison, du thym, du romarin, du fenouil sauvage... Autre solution pour ceux qui habitent en ville, et bien mieux que les herbes sèches, les petits pots de thym, romarin, origan ou marjolaine que l'on trouve dans toutes les jardineries. J'en ai toujours quelques pots dans ma cuisine. C'est très décoratif et plus durable que les fleurs... j'adore y passer la main pour que leur parfum embaume! Lotte Safranée au Four, Parfums de Garrigue Pour 4 personnes: 800 g de filets de lotte 2 oignons rouges 100 g de tomates séchées 8 pommes de terre 2 gousses d'ail 1 citron 1 bouquet d'herbes aromatiques 1 pincée de filaments de safran 10 cl de vin blanc 10 cl d'eau tiède 2 c. à soupe d'huile d'olive Sel, poivre Allumez le four th 6/180°C.  Épluchez l'ail, les oignons et les pommes de terre. Découpez la lotte en gros morceaux. Mettez les tomates séchées à tremper dans un peu d'eau chaude. Dans un grand plat allant au four, réunissez les pommes de terre coupées en rondelles assez fines, les oignons émincés, l'ail haché, le zeste de citron râpé et les tomates coupées en petits dés. Ajoutez les herbes et l'huile d'olive, du sel et du poivre, mélangez rapidement avec les mains. Posez les morceaux de poisson sur les légumes. Diluez le safran dans l'eau tiède. Ajoutez sur le poisson avec le vin blanc, salez, poivrez. Faites cuire au four pendant 45 minutes. Imprimez la recette

Source: devousamoi-dominique.blogspot.com

C ela commerçait avec le moule à charlotte que j’avais vu (dans des livres !) – des moules á charlotte en fer blanc, grands et petits, très rustique je trouve avec des petites cœurs-poignées… Alors pour voir comment fonctionner, j’avais appris les recettes de charlotte, et je suis amoureuse, et ainsi amoureuse de la charlotte russe … Que j’en avais envie… mais ici je ne trouve nulle part un moule á charlotte (et on ne le connait pas). L’envie est donc devenu la désespérance, comme tout, alors qu'elle aurait dû revenir de plus belle... Il est à distinguer entre la charlotte et la charlotte russe . Les deux sont un dessert moulé, préparé d’une croûte faite de tranches de pain, ou le plus souvent de biscuits à la cuillère (ou des boudoirs) ou encore d'une génoise. La charlotte à l’origine, est un dessert aux fruits (pomme, poire, ou pêche) cuit et servi chaud, alors que la charlotte russe, qui vint plus tard, est frais, garnie d’une crème crue avec la gélatine En Angletterre... Charlotte is a corruption of the Old English word charlyt meaning a "dish of custard." There is a lot of doubt surrounding the origins of the name "charlotte." Meat dishes that were known as charlets were popular in the 15th century. La charlotte russe - Un dessert anglo-russe à mode française... Antonin Carême , alors Chef de Bouche du tsar Alexandre de Russie à Saint Pétersbourg, décide d’adapter une recette anglaise, la charlotte, qu’il a découverte alors qu’il était au service du prince régent, futur Georges IV. Cette pâtisserie semble avoir été créée au début du XIXe siècle, en hommage à la reine Charlotte de Mecklembourg-Strelitz (1744-1818). épouse de Georges III (roi de Grande-Bretagne et l'Ecosse). Outre-Manche, la charlotte est réalisée à partir d’une compote de pommes, enveloppée dans des tranches de pain de mie grillées, puis beurrées. Antonin Carême propose de masquer le fond et les côtés du moule par une couche de biscuits à la cuiller, et nomme sa création '' charlotte à la parisienne'' , puis la rebaptise '' charlotte à la russe '' sous le Second Empire. Pour apporter légèreté et variété à la recette originale, Antonin Carême garnit sa charlotte d’abricots et autres fruits, de blanc-manger (sorte de flan au lait d’amandes), ou de ''fromage à la bavaroise''. Recette de jadis ... dans le texte 2nd Empire Dessert "Foncez un moule et garnissez-en les parois avec des biscuits à la cuillère ; remplissez le moule avec de la crème fouettée , et entourez le moule avec de la glace. Au moment de servir on frotte légèrement le moule, on le renverse sur un plat, la charlotte en sort , et on la sert aussitôt". (Extrait de : PERIGORD, A.-B., Le trésor de la cuisinière et de la maîtresse de maison, Paris, Comptoir des imprimeurs, 1852, p. 98-99) Recette d'aujourd'hui oOo Cour de Charlotte aux poires de ce matin Le prof nous a offert un cercle à entremet pour monter la charlotte La Charlotte est entourée de Biscuits à la cuillère La charlotte russe est fourrée d'une crème bavaroise (jadis la crème anglaise), et ma charlotte d'un bavarois aux poires (+ eau-de-vie Poire Williams et dés de poires),   blanche comme la neige de St-Pétersbourg... une charlotte (homemade aussi) que j'avais reçue de ma cousine      o                  O Ah mon moule à charlotte  !

Source: delicesetcaprices.blogspot.com

Macarons de Boulay Les macarons sont toujours à l'honneur dans mon blog : aujourd'hui, voyage jusqu'en Moselle avec les macarons de Boulay . La recette fut mise au point par Binès Lazard et son épouse Françoise en 1854. Encore une variante de l'alliance blanc d'oeuf - sucre - amandes, assez légère, avec comme particularité le dressage à la cuillère. Ils étaient prisés par le Général de Gaulle, le roi Georges VI, et l'Empereur Guillaume II. Ingrédients : - 200 g d'amandes en poudre - 200 g de sucre en poudre - 2 blancs d'oeufs (70 g) Recette : 1. Mélangez la poudre d'amande avec les blancs d'oeuf. 2. Mettez 50 g de sucre dans une petite casserole avec une cuillerée et demi à soupe d'eau. Faîtes bouillir jusqu'à obtenir un sirop (105° C, environ 1 min d'ébullition). Versez sur le mélange d'amandes en remuant. Lorsque le sirop est entièrement absorbé, ajoutez le sucre restant. 3. Mettez une feuille de papier sulfurisé sur une plaque de cuisson. Avec une petite cuillère, laissez tomber des tas espacés de pâte sur le papier. Laissez reposer 15 min avant. 4. Faîtes cuire dans un four préchauffé à 175°C pendant 15 min environ. Décollez après refroidissement. Sources : site de vente des macarons de Boulay ; Frédéric Marie-Claire, La ronde des macarons , ed. First, p. 40. Voir aussi : d'autres recettes lorraines sur recettes.de

Source: cc-cuisine.blogspot.com

Ici point de "poularde de Bresse au vin jaune et aux morilles" façon Georges Blanc... Dommage ! Mais pour me consoler de ne pas pouvoir en manger chez lui, voici au poulet au vin blanc et aux champignons de Paris : avec un poulet... banal, du vin... pas jaune, et des champignons des plus communs. Mais c'était quand-même délicieux. Non mais ! Ingrédients : - 4 cuisses de poulet - 330 ml de vin blanc - 600 g de champignons de Paris frais - 1 échalote - 1 cs d'huile d'olive - 20 cl de crème fraîche liquide * Dans une sauteuse avec 1 cs d'huile d'olive marquer les morceaux de poulet. Les réserver dès qu'ils sont dorés. * Faire revenir l'échalote finement ciselée dans la même sauteuse 3 minutes. * Ajouter les champignons émincés, et leur faire rendre leur eau de végétation. Les réserver. * Remettre le poulet et déglacer avec le vin blanc. * Ajouter la crème fraîche. Laisser mijoter 25 minutes à feu doux et à couvert. * Remettre les champignons. Finir la cuisson encore 5 minutes; * Servir bien chaud avec quelques pâtes.

Source: atable.blogspot.fr

Infos pratiques: - Quantité : 6 personnes - Difficulté : ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ - Préparation : 30 minutes - Cuisson : 35 minutes La liste de courses : - 1 kg de topinambours, - 4 pommes de terre, - 10 cl de crème fraiche liquide, - 6 tranches de bacon, - Huile d'olive (pour la décoration), - Sel et poivre. La liste des ustensiles : - 1 grande casserole, - 1 poêle, - 1 économe, - 1 mixeur plongeant. Ça faisait longtemps que je n'avais pas posté du salé, par ici... Malgré le retour du soleil, il fait encore nuit relativement tôt et la fraicheur s'invite encore régulièrement chez nous. Pour réchauffer un peu l'atmosphère, je vous propose une soupe (oui, encore une soupe, mais la soupe c'est bon, c'est facile à faire et ce n'est pas cher ! Comme dirait Georges, "what else ?" . Et puis, moi, la soupe c'est un peu ma marotte) . J'ai déterré cette recette d'un vieux magazine (sur les soupes, bizarrement) que j'avais acheté il y a plusieurs années ! C'est du Cyril Lignac, ce jeune chef aussi médiatique que sympathique et à l'accent chantant de l'Aveyron. Pas de tour de passe-passe ici, c'est simple mais succulent. Le topinambour est un vieux légume oublié au léger goût d'artichaut. Pendant la deuxième guerre mondiale, c'est lui qui remplaçait les pommes de terre et, depuis, il est un peu tombé dans l'oubli et c'est bien dommage... A la maison, tout le monde a vraiment adoré ce velouté original à la saveur si délicate que j'ai déjà refait plusieurs fois (et que je referai encore avant le retour des beaux jours !) ! Concrètement, cuisinons... 1. On commence par éplucher les topinambours et les pommes de terre, on les coupe en morceaux, on les rince et on place le tout dans une casserole remplie d'eau salée (pour l'eau, on en met juste assez pour recouvrir les légumes) . On porte à ébullition et on laisse cuire une petite demi-heure à feu doux : c'est prêt quand les légumes sont cuits. 2. On mixe la préparation jusqu'à obtenir une consistance très onctueuse. On ajoute alors la crème liquide et on remet un coup de mixeur. On rectifie l'assaisonnement. 3. Au moment de servir, on fait chauffer une poêle à blanc, c'est à dire sans matière grasse, et on fait faire un aller-retour à nos tranches de bacon que l'on réserve sur du papier absorbant pour ôter l'excédent de graisse. On découpe le bacon en lanière. 4. Dans l'assiette/le bol, on verse le velouté, on dépose quelques gouttes d'huile d'olive et les lanières de bacon. Servez bien chaud ! Astuces : - Cyril Lignac conseille, pour "plus de gourmandise" de servir ce velouté avec une chantilly au bacon (on mixe la crème liquide et le bacon et, ensuite, on monte tout simplement la crème). - Cette soupe est très simple à réaliser mais relativement longue. Qui ne s'est jamais attelé à l'épluchage de topinambours ne peut pas comprendre le pourquoi du comment... Ces petits tubercules tout biscornus sont une vraie plaie à éplucher. - Si on veut transformer ce velouté en soupe végétarienne, il suffit de ne pas ajouter le bacon au moment du service. On peut aussi imaginer en faire une entrée végétalienne, en n'ajoutant pas de crème. C'est excellent aussi et le goût de topinambour n'en sera que renforcé. En conclusion, dégustons !

Source: letabliergourmet.blogspot.com

Ce délicieux gâteau aux pommes, inspiré par Canotte du blog Cuisine campagne de France , a été réalisé avec deux de mes petites-filles. Quand on est des fillettes, il n'est pas si facile que ça de peler des pommes à l'économe, de casser des oeufs sans en renverser à côté du bol et d'être tout près de la mixette qui mène un train d'enfer alors qu'on a des oreilles encore toutes neuves! Créé par le chef français triplement étoilé Georges Blanc, ce gâteau aux pommes qui comprend des ingrédients qu'on a facilement à la maison a régalé mes petites-filles. Elles sont d'ailleurs reparties avec la moitié de leur petit chef-d'oeuvre, chacune toute fière de penser «C'est moi qui l'ai fait!» Une fois les morceaux de pommes caramélisés à la poêle, ils sont déposés dans le fond d'un moule à charnière avant d'être recouvert par l'appareil à gâteau. Gâteau aux pommes du chef Georges Blanc 6 portions 60 g de beurre 5 grosses pommes Cortland (ou autres pommes qui se tiennent bien à la cuisson) 50 g + 200 g de sucre 3 œufs 150 ml de crème à l'ancienne plus épaisse 15% 200 g de farine, tamisée 1 c. à thé d'extrait de vanille À noter que ce gâteau ne contient pas de poudre à pâte (levure chimique) Couper les pommes épluchées en cubes. Faire fondre le beurre dans une poêle, ajouter les morceaux de pommes, les saupoudrer de 50 g de sucre pour les faire caraméliser. Laisser cuire à feu assez vif environ 10 minutes en les remuant délicatement de temps en temps. Réserver. Dans un grand bol, battre les oeufs avec la crème de 2 à 3 minutes à haute vitesse. Ajouter le sucre restant, soit 200 g, et bien mélanger pendant 2 minutes. Incorporer peu à peu la farine et brasser à vitesse petite-moyenne jusqu'à ce que le mélange soit lisse. Ajouter l'extrait de vanille. Mélanger. Ne pas brasser trop longtemps ce qui contribuerait à faire durcir la pâte à la cuisson. Graisser et enfariner un moule à gâteau à fond amovible de 21 cm et tapisser le fond d'un papier parchemin. Déposer les cubes de pommes caramélisés dans le fond, puis verser la pâte dessus. Enfourner et cuire dans un four préchauffé à 350 degrés F (180 degrés C) environ 30 minutes ou jusqu'à ce qu'une lame plantée en son centre ressorte sèche. Commencer à surveiller le gâteau après 20 minutes de cuisson. Démouler le gâteau lorsqu'il est tiédi. Le déposer dans une assiette de service en veillant à ce que les pommes soient sur le dessus. Servir. Merci Canotte!

Source: augredumarche.blogspot.com

Aujourd’hui, c’est la chandeleur ! Alors forcément, je me dois de vous proposer une recette de crêpes :D Ces crêpes, légères, aérées, moelleuses, parfaites, ce sont les crêpes de la Mère Blanc, la grand-mère Élisa, du très célèbre chef Georges Blanc ! Les ingrédients 500 g de pommes de terre épluchées 50 ml de lait 10 g de sel 4 blancs d'oeufs 3 oeufs 3 cuillères à soupe de farine 2 cuillères à soupe de crème La recette Peler les pommes de terre et les mettre à cuire dans de l'eau salée (démarrer la cuisson à l'eau froide). Quand elles sont cuites, les égoutter et les écraser au moulin à légumes, en arrosant de lait. Laisser refroidir, ajouter la farine puis les trois oeufs un à un en mélangeant bien. Battre les quatre blancs : les faire mousser à la fourchette, mais ne pas les monter en neige ! Ajouter à la purée puis mettre la crème. Attention à ne pas trop remuer la pâte. Faire cuire dans une petite poêle avec une noix de beurre clarifié - ici on les fait à la crep' party, ça marche très bien !!! Les photos On peut préparer ces crêpes vonassiennes à l'avance : une fois cuites, les mettre dans un plat allant au four. Recouvrir de papier aluminium et faire réchauffer au four à 100° pendant une dizaine de minutes.

Source: le-mercredi-c-est-patisserie.blogspot.fr

1/2 cabri nettoyé (jeune chevreau de 4 kg.) soit environ 2 kg de viande, os inclus 1 kg de mousserons de la st Georges (tricolome printanier) à défaut, utilisez des morilles (fraîches ou séchées) 1 kg de tagliatelles fraîches 1 l de créme fraîche épaisse 1/2 l de vin blanc sec 2 têtes d'ail frais (nouveau) 2 feuilles de laurier (si possible fraîches) 2 branches de thym (si possible fraîches) 8 branchioles de persil plat (pour la décoration) beurre huile d'olive sel, poivre Préparation ÉTAPE 1 Coupez le cabri comme un lapin, en morceaux/portions. ÉTAPE 2 Faites dorer doucement dans une cocotte en fonte tous les morceaux au beurre et à l'huile d'olive (moitié/moitié), incorporez les gousses d'ail en fin d'opération. ÉTAPE 3 Quand ils sont bien colorés, salez et poivrez, mouillez avec le vin blanc, incorporez le thym et le laurier. Mettez le couvercle et laissez cuire 15 min. ÉTAPE 4 Ajoutez les champignons et la créme fraîche, mélangez doucement, et laissez mijoter 30 min à feu trés doux dés ébullition, à couvert. ÉTAPE 5 Faites cuire les tagliatelles (al'dente), égouttez-les, disposez-les sur assiettes chaudes en forme de nid. ÉTAPE 6 Disposez un morceau de cabri au milieu du nid de pâtes, la sauce et les mousserons autour. ÉTAPE 7 Pour mieux apprécier ce plat qui n'est autre que "Le petit Jésus en culotte de velours", je vous conseille un Chenin Blanc d'Afrique du Sud, trés frais.

Source: cuisineaz.com

Un petit plat tout simple avec les moyens du bord : les délicieux poivrons, les non moins délicieuses lentilles de notre Amap et quelques épices savoureuses de la marque strasbourgeoise Georges Colin que je vous conseille vivement, elles sont devenues une base dans ma cuisine ! Pour 4 personnes Pour les lentilles * environ 250 g de lentilles trempées quelques heures (facultatif, mais cela diminue un peu le temps de cuisson et rend les lentilles plus digestes) * 4 cuillères à soupe d'huile d'olive * 2 cuillères à soupe de vinaigre de vin blanc * un peu de sel et de poivre * un peu de zaatar Pour les poivrons * 4 beaux poivrons rouges * 2 oignons * 2 gousses d'ail * un peu d'huile d'olive * un peu de sel et de poivre * un peu de paprika fumé Faire cuire les lentilles dans de l'eau additionnée d'un peu de bicarbonate et de thym séché pendant environ 20 minutes. Egoutter. Assaisonner avec l'huile, le vinaigre, un peu de sel et de poivre et un peu de zaatar. Dans une poêle, faire revenir les poivrons, les oignons et l'ail émincés dans un peu d'huile d'olive avec un peu de sel, de poivre, de paprika fumé, pendant une dizaine de minutes. Si besoin, ajouter un petit peu d'eau. Mélanger les lentilles et les poivrons. Goûter pour ajuster les saveurs à votre convenance et se régaler !

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

J'aime beaucoup faire des tartes au chocolat que je customise en fonction des saisons, des sensibilités alimentaires, et surtout de mes envies !! Le chocolat se marie bien avec les fruits et j'en fais souvent des versions avec quelques fruits frais sur le chocolat pour lui apporter une touche de fraîcheur (en ce moment avec des quarties de clémentines, des rondelles d'orange, des graines de grenade, c'est un délice !). En cette période où Noël approche à grands pas, j'ai eu envie de lui associer des épices : j'ai utilisé le mélange d'épices Georges Loves Strasbourg de la marque alsacienne Georges Colin qui est composé de cardamome, cannelle, coriandre, fenouil, gingmebre, anis, badiane, macis et girofle. Si vous n'avez pas cet harmonieux mélange sous la main, un mélange type pain d'épices fera aussi très bien l'affaire ! Vous pouvez également réaliser votre propre mélange ou opter pour simplement l'une ou l'autre des épices, en fonction de vos préférénces et de ce que vous avez chez vous. J'ai utilisé de la farine de seigle, je trouve que sa saveur un peu typée se marie bien avec le chocolat et les épices (le pain d'épices est traditionnellement à base de farine de seigle, c'est dire !) et un petit peu de levain de seigle. Il rend la pâte plus digeste et un peu plus moelleuse : c'était un peu moins flagrant que dans mon essai de quiche aux poireaux avec du levain de blé et une pâte à base d'huile d'olive, mais il faut dire que le levain de blé était super actif quand je l'ai utilisé, alors que celui de seigle a un peu de mal à se rebooster selon mon chéri, avec ces températures plus fraîches. Si vous n'avez pas de levain de seigle, n'hésitez pas à le remplacer par du levain de blé ou à supprimer le levain, ça sera forcément différent, mais très bon aussi ! Dans ce cas, la pâte n'a pas besoin de reposer aussi longtemps qu'avec le levain. Si vous êtes sensible au gluten, pensez à l'alliance chocolat et farine de sarrasin. Si vous êtes sensible au lactose, vous pouvez remplacer la crème classique par de la crème de coco ou de soja. Pour une tarte de 24 à 26 cm de diamètre Pour la pâte * 200 g de farine de seigle T110 * 20 g de levain de seigle (facultatif, ça marchera aussi sans !) * 100 g de beurre doux ou demi-sel (à votre convenance) à température ambiante * 3 cuillères à soupe de sucre complet * 1 cuillère à café de mélange à pain d'épices * environ 50 g d'eau Pour la garniture * 200 g de chocolat de dessert à 70% de cacao * 200 g de crème liquide * 1 cuillère à café d'épices à pain d'épices * un peu de fleur de sel (facultatif) Préparer la pâte la veille pour le lendemain ou environ 8 h avant de réaliser la tarte, si vous utilisez le levain. Sinon, vous pouvez préparer cette pâte environ 1 h avant. Au robot ou à la main, pétrir les ingrédients, en ajoutant l'eau au fur et à mesure. En fonction de votre farine, il faudra sans doute ajuster un peu la quantité. Former une boule homogène et laisser reposer à température ambiante sans un saladier couvert, pendant environ 8h, version avec levain, pendant 1 heure, version sans levain. Préchauffer le four à 180°. Etaler la pâte sur un plan de travail fariné, en gardant un petit morceau pour quelques formes décoratives. Disposer dans le moule beurré. Piquer à la fourchette. Enfourner pour 20 minutes de cuisson à blanc. Former les petites étoiles, les disposer sur une petite plaque chemisée de papier cuisson et enfourner pour 10 minutes de cuisson. Laisser refroidir un peu. Préparer la ganache. Faire chauffer la crème à feu doux dans une petite casserole. Concasser le chocolat en petits morceaux. Quand la crème est bien chaude, retirer du feu. Ajouter les petits morceaux de chocolat, les épices et couvrir pour laisser fondre tranquillement le chocolat pendant 5 minutes. Fouetter ensuite le mélange pour bien incorporer le chocolat et obtenir une texture lisse. Verser sur le fond de pâte. Décorer avec les petites étoiles et un peu de fleur de sel si vous le souhaitez.

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

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